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Krolia Vir Vithinsul (F) + Golden Mother + Libre
Jodariel Egregori
Ní meór an'tiarmé aetrú.
Jodariel Egregori
Race Race : Dragon
Habite à Habite à : Navigue un peu partout, mais surtout à Novigrad
Couronnes Couronnes : 29775
Messages Messages : 162
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Ní meór an'tiarmé aetrú.
Mar 5 Mar - 22:23
Krolia vir Vithinsul
ft. Angelina Jolie / Charlize Theron (négociable)
nom: vir Vithinsul, Vir sert de préfixe à son nom draconique qui est Vithinsul (négociable); prénom: Krolia (négociable) ; âge: entre 700 et 1000 ans, la quarantaine physiquement ; lieu de naissance: Zerrikania ; lieu d'habitation: Beauclair, Toussaint ; date de naissance: Un jour d'orage, en plein automne ; race: Dragon doré, à l'apparence humaine sous forme non draconique ; profession: Espionne et bras droit d'Edora Sighrist pour le duché de Toussaint, utilisant sa couverture de Chevalière Errante pour cela  ; situation amoureuse: Veuve ; situation financière: Aisée ; orientation sexuelle: Au choix ; groupe: Militaire
you're a storyteller
the story begins with blood on your hands

- Krolia a vécu dans une famille heureuse, aimante, accompagnée de deux soeurs et deux frères qu'elle perdit de vue bien des années plus tard. Son enfance et son adolescence sont baignés de la chaleur et de la douce de Zerrikania, là où les dragons sont vénérés et non chassés, bien qu’ils vivent reclus, ne se mêlant aux humains que sous leur forme « humaine ».
- Dragon d’or de souche et pur, elle hérite des pouvoirs de cette race ancestrale en termes de polymorphie. Sa première forme est celle draconique, recelant de la beauté des écailles dorées mais également de la furie du feu comme arme de prédilection. Sa seconde forme est celle qui lui permet de camoufler auprès des êtres humains et non humain, une forme humaine qu'elle chérit mais qu'elle aime à changer en elfe selon les circonstances. Sa troisième est animale et laisser à votre soin.
- Elle a appris très vite à se mêler aux humains, et bien qu’elle soit restée près de deux cent ans auprès de sa terre natale, elle ne tarda pas à voyager : passant quelques années à Ophir, puis à Skellige et s’arrêta finalement à Nilfgaard pour y rester un siècle ou deux, son apparence de camouflage permettant la folie de rester aussi longtemps qu’il lui plaisait. Elle apprit de nombreux métiers mais celui sur lequel elle s’arrêta demandait rigueur, force et permettait à son sang-chaud de se dévoiler : guerrière, chevalière, soldat, qu'importe le nom. Elle aimait à se battre pour sauver les autres ou pour quelques pièces, tout comme elle apprécia le délice d'apprendre des informations sur tout le monde.
- Ainsi, elle connaissait les secrets de nombreux hommes de la haute aristocratie Nilfgaardienne, s'amusant à ne les garder que pour elle tandis qu'elle servait comme garde du corps pour certaines de ses familles. Néanmoins, elle ne pouvait rester éternellement à Nilfgaard et sa position devenait de moins en moins avantageuse alors qu’elle prenait de l’âge.
- Ses aventures la guidèrent alors à Toussaint pour la première fois, son âge commençant à peser sur la durée de ses voyages. Elle y rencontra un autre dragon dont le métissage complexe rendait difficile ses transformations humaines ; il était un dragon noir et blanc, avec des racines d’or. L’homme était chevalier, un chevalier errant qui parcourait les plaines du duché en quête de contrats et de personnes à aider sur son chemin. C'est son métier qui lui donna la passion, plus tard, de prendre le même chemin.
- Leur rencontre se scella par un mariage quelques années plus tard, et peu après, une première portée, de deux œufs, deux garçons qu’elle vit grandir et éduqua avec le plus grand soin. Néanmoins, Toussaint était cependant risquée pour son mari et ils décidèrent de rejoindre les Nazair, pour quelques temps. Il pouvait continuer son travail auprès des autres, et Krolia avait laissé ses garçons à Toussaint, en âge de vivre seuls.
- Une nouvelle portée arriva, un seul œuf cependant. Une petite fille qui vint cueillir le bonheur de sa mère en 1191, mais seulement pour un temps. Son mari décéda, chassé par des chasseurs de dragons qui n’avaient que faire de la religion qui se déliait autour de cette espèce, laissant ainsi une mère et une fille seules. Sa petite fille venait d’avoir tout juste la cinquantaine, et Krolia ne pouvait la regarder tant elle ressemblait à ce mari perdu. Elle trouva un mage, à Nazair, lui demandant d’effacer tout souvenir de la jeune adolescente, pour qu’elle reparte sans l’image de sa mère dans un futur où la douleur n’y serait pas. Elle lui demanda également, si cela était possible de fracturer au possible ses pouvoirs de polymorphie, pour qu’elle grandisse comme une enfant auprès des humains, qu’elle vive avec les humains et non pas avec son espèce.
- Elle n’était pas une mère exemplaire, elle ne pouvait l’être avec son enfant, elle ne pouvait lui donner l’amour qu’elle devait mériter amplement, mais cette déchirure, cette rupture était beaucoup trop forte. Elle la laissa au mage de Nazair, disparaissant dans le reste de l’univers, qui emmena la petite là où elle savait qu’elle sera nourrie et où elle grandirait sans connaître sa mère : à Skellige. Un endroit que Krolia ignorait, pour ne pas ressentir le besoin de retourner la chercher, s'obligeant à abandonner derrière elle le dernier fragment qui lui rappelait l'âme soeur qu'elle avait perdue mais aussi parce que sa fille était brisée, autant qu'elle. Elle était la douceur et à la mort du père, elle était devenue furie si bien que même elle, même sa propre mère, ne réussissait plus à l'aider, à la contenir. Il était plus simple que d'effacer sa mémoire, qu'elle revienne aux bases.
- C’est ainsi qu’elle retourna à Beauclair et se plongea dans ce qu'elle savait faire : se battre. Il était difficile d'être elfe auprès des habitants de Beauclair, mais en tant que Chevalière Errante, elle fit rapidement ses preuves afin d'être décorée de l'ordre de Vitis Vinifera. Quelques années après, elle devint Espionne, utilisant son titre et son poste de Chevalière Errante comme couverture lorsque cela était nécessaire, devenant rapidement le bras droit de la maître-espionne en charge des affaires Beauclairoises.

- D’un point de vue du caractère, Krolia est une femme forte, au caractère bien trempé mais en même temps d’une discrétion légendaire. Elle parle peu, garde une partie de ses mots pour elle, estimant qu'il n'est pas toujours nécessaire d'élever la voix pour marquer un opinion. Seulement, si elle ressent le besoin de l'exprimer, elle fera en sorte que quiconque l'entende. Elle met un point d'honneur à ce qu'elle soit respectée par ses paires, crainte par ses ennemis et ceux qui pourraient l'être. Créature très fière, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et elle protégera très férocement ce qu'elle considère être à elle. Malgré ce côté froid qui peut lui être attaché à son silence, elle demeure une tête brûlée, au sang chaud, particulièrement impulsive. Ce n'est pas le seul trait qu'elle partage avec sa fille, puisque comme elle, elle est un esprit libre, bien qu'elle se soit installée et qu'elle se soit fixée à Beauclair. Elle déteste est prisonnière de quelconques ordres ou lieux, c'est pour ça qu'elle voyage énormément, ayant ce besoin de ne pas toujours rester au même endroit même si Beauclair demeure son point de ralliement. Le reste de son caractère est laissé à l'appréciation du joueur !

friends & foes

 



Jodariel Egregori ; Embrace Thee as my Daughter
Parfois, quand tu te regardes dans le miroir, tu te demandes comment les choses auraient tournées si tu ne l’avais pas laissé à ce mage de Nazair, cet homme compréhensif qui voyait au-delà de la douleur et de l’abandon, qui voyait la mère endeuillée que tu étais devenue en quelques temps. Il savait qui tu étais, ce que tu étais, et il avait compris sans sourciller. Néanmoins, tu te demandais comment votre relation aurait grandie ? Seriez-vous en bonne entente ? Heureuses à Bauclair ? Toutes ces questions revenaient parfois. Tu n’avais pas abandonné ton enfant par gaieté de cœur, loin de là mais il s’était avéré une nécessité quand tu te rendais compte que tu ne pouvais regarder ta fille sans voir le visage de ton époux, de ta moitié. C’était douloureux. Tu n’avais pas cherchée à la trouver pendant toutes ces années, 30 années passées dans l’ignorance. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, tu étais venue à Novigrad, suite à une requête d'Edora, et tu avais profité d’une soirée pour profiter de la représentation si célèbre faite par la troupe d’Irina Renarde. Et tu l’avais vu, tu l’avais sentie. La jeune fille aux cheveux bleus, récitant son texte avec une ferveur incroyable et la peau marbrée de tatouages, c’était ta fille. Tu pouvais reconnaître ce visage parmi tous, celui qu’elle avait avant que tu ne décides de la faire redevenir une enfant pour le bien de ce monde. C’était elle. Tu ne savais quoi faire, alors tu avais quitté la pièce, et tu étais rentrée à Beauclair aussi vite que possible, essayant d’oublier la maigreur de cette jeune femme, les tristes cernes décernées sous ses yeux et l’impossible vérité en face de tes yeux : tu avais peut-être laissée ta fille, ta chair, dans le désarroi d’une vie qu’elle ne méritait pas. Un sentiment naissait : celui d’aider ta fille, de récupérer le temps que tu avais perdu, quitte à ce qu’elle te déteste pour avoir pris une décision qui n’aurait pas dû être la tienne.


Edora Sighrist ; Well, master-spy, what can you tell with your little eye?
La maître-espionne de sa Majesté. Une drôle de personnalité que tu rencontras au fil de tes années de service, et qui se révélait être similaire à ce que tu étais : perfectionniste, un besoin de contrôle et une exigence exemplaire. Elle te ressemblait en plein de points. Si votre relation était d'abord basée sur un respect mutuel au vu de vos distinctions mutuelles, il est bien vite devenu évidement que tu étais un atout non négligeable pour elle. Tu détestais la diplomatie, tu préférais le terrain et pouvoir traquer directement les informations. Vous étiez complémentaires et tu ne tardas pas à devenir son bras droit tant ton travail était bon et les résultats présents, jusqu'à même devenir son amie, peut-être l'une des plus proches, si tu osais le penser. Il arrive que tu l'entraînes, lorsque ton esprit est embrumé par la honte de tes actes passés, dans les bars de la ville pour boire, pour essayer de lui donner un peu plus de légèreté et dérider ses traits.
 


Adam Ulver Isenhart ; Is that a smile that I see?
Tu n’as jamais réellement aimé rester en place, attachée à un endroit précis. Tu aimes déployer tes ailes pour voir le monde et ton travail te le permet à loisir. Entre les missions que te confia ta supérieure et amie et ton statut d’intermédiaire entre l’ambassadeur de Toussaint à Novigrad et le service d’espionnage de Beauclair. Alors il n’est pas rare que tu te rendes dans la cité libre pour ton travail mais pas seulement depuis que tu as découvert que ta fille s’y trouvait également. C’est d’ailleurs lors d’une journée où tu étais venue garder un œil sur elle que tu rencontras Adam. C’était un homme discret, fuyant et tu pouvais même allait jusqu’à le qualifier de farouche. Il était venu refaire la charpente du théâtre d’Irina Renarde, visiblement pressé d’en finir pour quitter la ville mais tu cherchas tout de même à l’aborder pour percer le mystère de sa personne. Car un échange de regards vous avait suffi pour comprendre que vous n’étiez ni humain, ni elfe. De toute évidence, cet homme t’intriguât. Déformation professionnelle sans doute. Quoi d’autre ? Quoi qu’il en soit, il te parut judicieux de te rapprocher des monstres de Novigrad qui pouvait être de bonnes sources d’informations et tu avais entendu parler d’un vampire bien informé. Tu compris bien vite que ce n’était pas lui tant il ne semblait pas porter grand intérêt aux affaires humaines. Mais qu’importe, l’homme semblait être un cas intéressant d’autant plus qu’il semblait caché bon nombre de squelettes dans ses placards et derrière son travail anodin de forestier menuisier. Alors tu entrepris de le faire parler non sans mal et ce malgré le fait qu’il fuyait en permanence ton regard comme s’il ne voulait pas te voir, comme si tu lui rappelais quelque chose de néfaste. Mais tu parvins à lui arracher quelques mots en prétextant avoir besoin d’un toit pour la nuit et pas les moyens de te payer une auberge, ce qui de toute évidence était faux. Tu crus premièrement qu’il allait refuser mais contre toute attente, il accepta et depuis, lorsque tu es de passage à Novigrad, tu séjournes chez cet homme étrange et taciturne. C’est lors d’un de tes récents séjours que tu sentis d’ailleurs les reliquats d’une odeur semblable à la tienne, celle de ta fille, flotter dans son salon. Tu te mis alors à te questionner et peut-être qu’en plus d’assouvir ta curiosité sur sa personne et de glaner des informations sur les événements de Novigrad tu pourrais en apprendre plus sur ta fille et les rapports qui les lient. C’était du moins tes seuls intérêts au début mais depuis quelque temps tu te surpris à t’intéresser à lui non plus comme une curiosité mais pour ce qu’il était, un homme brisé, souffrant de la même blessure que toi, la perte d’un être cher. Cet intérêt te sembla finalement réciproque et vous avez fini par passer de longue soirée à simplement parler assis sur les fauteuils de son salon.

Depuis quelque temps, tu remarquas d’ailleurs un changement imperceptible au début : Adam s’était mis à sourire, bien plus naturellement et un peu plus souvent qu’avant. Est-ce un événement en particulier qui raviva légèrement son étincelle de vie ou était-ce ta présente qui finit par lui paraître bien plus douce ? Ou peut-être est-ce les deux ? Qui sait ?


prénom + nom ; titre
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Jodariel Egregori
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