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elijah nyx caedreach ; la nuit de l'âme.
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Elijah Nyx Caedreach
the crow : right hand of secret lust
Elijah Nyx Caedreach
Race Race : Vampire Supérieur
Habite à Habite à : Novigrad.
Couronnes Couronnes : 37479
Messages Messages : 469
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the crow : right hand of secret lust
Sam 14 Juil - 16:23
déchu dans l’obscurité, sur le chemin des damnés
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ELIJAH NYX CAEDREACH

ft.  Jesse Williams
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nom: Caedreach, un vieux nom que tu portes comme le fardeau d'une famille qui n'est plus à ta portée, un nom symbolisant le respect parmi ton clan, les Tdet ; prénom: Elijah est ton premier prénom, celui par lequel tu réponds lorsque l'on t'appelle, Nyx est ton second prénom donné par ton père, celui par lequel tu te fais appeler quand il s’agit d’affaires officieuses ; âge: D'un point de vue biologique, tu cumules les 626 années d'existence, tandis que physiquement, tu ne dépasses pas les trente-cinq ; lieu de naissance: tu es né dans le monde des vampires, dans une famille très respectée dont le rudesse d'éducation était le mot d'ordre ; lieu d'habitation: Novigrad, la cité libre. Il n'est pas rare cependant de te voir courir les rues d'Oxenfurt ainsi que celles de Nazair. Tu es un voyageur ayant comme point de ralliement Novigrad mais tu vas là où les affaires t'emmènent ; date de naissance: Selon le calendrier de ce monde, tu es né en plein juillet, sous le soleil cuisant  ; race: Tu fais partie de la race très détestée des Vampires Supérieurs ; profession: Officiellement, tu travailles pour le compte de Francis Bedlam aussi dit le roi des mendiants en tant que thanatopracteur. Officieusement, tu tiens un petit hôtel des ventes dans le marché noir, vendant des antiquités le jour et officiant un trafic de Fisstech, d'organes et d'êtres humains parfois, la nuit ; situation amoureuse: ton coeur s'est fermé à de nombreuses reprises et tu ne l'ouvres que très rarement, cependant cela ne t'empêche pas d'apprécier les plaisirs de la luxure humaine et non-humaine ; situation financière: tu n'es ni riche ni pauvre, l’argent que tu gagnes étant généralement réinvestis ailleurs ; orientation sexuelle: au fil de tes nombreuses années d'existence, tu as appris à apprécier les courbes langoureuses des femmes ainsi que les courbes sèches des hommes, tu te définis comme bisexuel, allant avec ceux ton humeur intéresse ; groupe: tu aurais pu faire partie des militaires, mais tu fais partie des citoyens viciés de ce monde

you're a storyteller
This is what you do, love. Stride across the centuries, and death follows, churning in your wake.

Ton histoire, comme celle de bon nombres de vampires, commença dans les cendres. Ton monde était comme un champ de guerre permanent visible par le prisme d’un kaléidoscope. Tu en conserves des images très nettes de ton monde et en même temps, elles sont déformées par un filtre coloré qui t’empêches de les observer distinctement, comme si les souvenirs étaient brouillés et modifiés par la magie. Les contours sont nettes mais les images vibrantes d’une nouvelle luminosité, de nouvelles saturations que tu as du mal à discerner. Tu ne t’imaginais pas que ton monde était si brillant de lumière et de couleurs lorsque tu es parti, lorsque la magie t’a forcé hors de ton monde avec une partie de ton clan. Tu as le souvenir de serpents à deux têtes courant sur ta peau, plantant leur crocs dans ta chair tandis que le sang glissait contre tes lèvres, un élixir de jouvence que tu aimais et dont le souvenir le montre plus brillant et saturé que tu ne l’imaginais auparavant. Tu te souviens de la naissance de ta petite sœur, dont les deux iris bleutés brillaient dans le noir comme des étoiles dans une toile sombre, des boucles brunes et une peau halée comme la tienne, hurlant son besoin d’élixir. Tu vois ton frère aîné, aux iris vertes, brandir le serpent à double tête vers ton corps et celui de ta sœur, comme le lien incassable de votre fratrie, ce symbole unificateur de votre clan, cet animal transcendant les dimensions et les mondes. Mais le souvenir le plus saturé que tu possèdes et que tu ressens encore aujourd’hui si brutalement est celui de ta naissance dans un monde qui n’était pas le tien. Le goût du métal dans la bouche, la cendre sur ton visage, les images se mouvant à vitesse folle sans que tu puisses faire quoi que ce soit, le sang sur tes mains, sur tes genoux, ton corps entier fébrile d’une magie que tu ne connaissais pas. Pire, la cendre du sol se mêlant à tout ce que tu ne connaissais pas ; la peur d’un inconnu immonde qui t’emportes vers les tréfonds et la cruelle réalité que la magie t’a emmené là où tu jurais de ne jamais aller : dans le monde des envahisseurs, celui des humains dont le monde avait été aspiré il y a bien longtemps. Ce n’est pas la première conjonction qui t’arracha à ton monde mais les différentes ouvertures temporelles qui se firent à travers le temps ; la première conjonction t’enleva ton frère aîné et toi, perdu dans la cendre de guerres futiles, dans le sang d’êtres dont tu ignorais l’existence jusqu’ici, la peur dans les entrailles et l’abysse ouvrant ses portes pour toi. Le désespoir, la tristesse, le manque, la peur, l’intimidation, l’appréhension, le désir, l’angoisse, la détresse. Tu hurlas, comme jamais, contre ses émotions si vibrantes de douleur, si incandescentes de ton désarroi. Tes mains se pliaient contre les herbes cendrées, ton corps se confondaient presque avec le sang dans lequel tu baignais, ignorant s’il s’agissait du tient ou celui d’un autre. Ton souvenir le plus coloré, c’est bien celui de ta naissance dans un monde qui n’était pas le tient, qui t’arracha à tout ce que tu connaissais et qui te laissait pour mort dans une lagune de sang et de cendres. Le roi de la nuit était déchu, abandonné à son sort dans une spirale éternelle vouée à l’anéantissement.

Tu ne te souviens pas exactement combien de temps tu resté là, le corps meurtri par cette nouvelle forme, par ces nouvelles images et par la douleur qui irradiait de tout ton corps. Tu n’avais qu’un siècle de vie, tu n’avais pas eu le temps de découvrir entièrement ton propre monde qu’il t’était arraché pour un autre que tu refusais de reconnaître. Il t’était totalement hostile, les couleurs t’agressaient, tu te sentais menacé et torturé, une proie qui ne pouvait s’échapper, piéger sous des regards curieux et inquisiteurs. Le souvenir dont tu te souviens plus clairement est d’être porté par un homme, de quatre cent ans ton aîné, te portant comme si ta vie était entre ses mains et qu’il se devait de te sauver. Tu n’étais pas en danger, tes organes allaient bien, c’était à l’intérieur que tout mourait. Ton esprit ne pouvait enregistrer un tel changement.  Tu étais aveuglé par la nouveauté, par la perdition dans laquelle tu étais entraîné et tout ce que tu voulais, c’était retrouver ton monde, le tien. Celui dans lequel tu étais considéré comme le roi de la nuit, respecté, aimé et dans lequel ta famille vivait. Mais non, tu étais là, bloqué contre le corps d’un autre vampire, cherchant finalement le réconfort dans ton corps inerte, meurtri dont l’esprit n’enregistrait encore rien. Tu te souviens d’avoir fermé les yeux, de t’être laissé endormir et que lorsque tes yeux se sont rouverts, tu étais couverts d’une chemise sale et d’un pantalon l’étant tout autant, dans une forteresse de pierres, entouré d’autres vampires aussi désabusé que toi. Tu rencontras le doyen, de loin, accueillant les nouveaux vampires. Tu appris, plus tard, qu’il était rare qu’il s’éloigne de sa caverne si longtemps pour voir les nouveaux arrivants. Tu appris également qu’une partie de ton clan avait voyagé ailleurs, et que les quelques membres actuels qu’il restait comptait suivre leurs traces. Tu t’étais levé, les avais suivit, marchant comme un bon petit soldat pour retrouver ceux qui avaient disparus, découvrant par la même occasion des paysages et des couleurs qui t’étaient inconnues. Tu appris la langue de ce monde, les coutumes au fur et à mesure que vous marchiez, découvrant les monstres qui vous attaquaient et ceux qui baissaient la tête. L’est du monde, au-delà de ce qu’ils appelaient les montagnes bleues, un monde inconnu encore pour toi. Tu sentais encore la cendre sous tes pieds et le métal dans la bouche, ton regard vitreux, à double couleur, cherchant le moindre réconfort dans un paysage qui n’était si hostile et si irrégulier.  Tu abandonnas une partie de ton clan au pied des montagnes, ne souhaitant pas aller plus loin. Tu restas avec deux autres vampires qui ne souhaitaient pas non plus faire ce voyage, vous partirent, à l’aide d’un paysan passant avec une charrette, dans ce qu’ils appelaient l’Empire du Nilfgaard.

L’un des souvenirs cuisant que tu as de ce voyage fut une soirée, au coin du feu, où un tatoueur itinérant passa, restant avec vous pour quelques heures avant de repartir. Il proposa ses services, contre une grosse pièce de viande et tu présentas ton bras. Pour la première fois, tu étais curieux de ce qu’une aiguille et de l’encre pouvait faire sur ta peau. Tu lui indiquas ce que tu voulais exactement. Tu l’avais dessiné, à ton arrivée ici, peu après ton ressaisissement. La douleur fut presque atroce au départ, l’aiguille s’enfonçant dans ta chair de façon brutale et incontrôlée, mais tu le laissa faire. Tu observais les flammes de feu qui s’embrasaient autour du bois crépitant tandis que l’homme dessinait un serpent et une main. Le symbole éternel de ton appartenance à un groupe, le dernier fil te reliant à ton monde d’origine. Tu étais peut-être perdu, mais tu espérais que cela te permettrait un jour de retrouver ton chemin.

Tu restas un temps à Nilfgaard, apprenant à vivre auprès d’humains dont la langue t’échappait toujours et tu t’instruisais de la culture vivant dans ses terres tandis que ton regard demeurait fasciné par la luminosité des hautes tours de la capitale. Tu habitais dans un grenier, planqué comme un criminel alors que tu travaillais avec un commerçant des plus légaux. La nuit, tu sortais par la fenêtre, t’installait sur le toit, les fesses installées contre les tuiles d’argiles tandis que ton regard cherchait le réconfort de la lune. Parfois, tu t’endormais sur les tuiles ou tu laissais ta forme vampirique prendre le dessus sur celle humaine, jouant de tes griffes contre les tuiles. Tu aurais pu rester longtemps ici, sous un prénom qui n’était pas le tien, celui de Rael, mais tu savais que ce n’était pas le pays que tu préférais et tu souhaitais retrouver ton frère, abandonné, seul quelque part dans ce monde dont tu ignorais tout. Tu allais partir, après vingt ans de vie dans cet empire, lorsque tu te retrouvas bloqué par d’autres vampires, certains nouveaux, d’autres non. Tu avais ton sac sur l’épaule, la rage au ventre et tu fis la seule chose qui était interdite par le code des vampires. Tu tuas l’un deux, l’empêchant à jamais de revivre, de renaître des centres et du sang de sa vie. Tu te souviens de tes griffes transperçant son thorax, des couleurs saturés du sang coulant sur le sol et des regards effrayés des autres vampires, qui aurait pu te tuer en échange. Tu lâchas le cœur du vampire sur le pavé, le cri d’une souffrance éteinte résonnant dans tes oreilles en même temps que les mots annonçant ton exil. Plus jamais un pied tu ne devais mettre dans ce royaume, sous aucune excuse. Tu étais banni, à nouveau, exilé pour avoir fait l’impensable. Tu quittas Nilfgaard, abandonnant derrière toi l’identité de Rael pour reprendre celle de Nyx, ton second prénom t’offrant la discrétion dont tu avais besoin parmi tes pairs. Celle du vampire supérieur que l’on connaît aujourd’hui, au cœur froid, perdu dans les abysses et cherchant le réconfort dans les souvenirs trop vifs de ton passé.

Tu rallias Beauclair, pour un temps, et les terres vastes de Toussaint, te fondant dans la masse comme un spectre. Tu travaillais dans les carrières, en tant qu’ouvrier, ou dans les vignes pour les riches de ce pays, commençant à te faire un petit pécule tandis que tu naviguais de greniers en greniers pour les nuits sombres. Tu ne t’approchais pas de tes pairs vampires, n’estimant pas le besoin de faire leur connaissance ni même de reconnaître leur identité. Tu n’étais pas là pour ça. Tu cherchais ton frère, grappillant par-ci par-là des informations sur où est-ce qu’il pouvait être auprès des humains. Les informations tombaient au compte goûtes, se contredisant parfois entres-elles, rien de concret, des murmures de comptoir, des ragots d’esclaves. Tu quittas Beauclair après 15 ans de service auprès du duché. Tes pieds t’amenèrent à Angren, où tu trouvas à nouveau du travail auprès d’un médecin légiste qui t’enseigna les travaux pour devenir thanatopracteur ou légiste. Tu appris à t’occuper des corps humains, à soigner les plaies pour pouvoir embaumer le corps et le présenter aux familles des défunts. Ce n’était pas très intéressant, tu devais bien l’avouer mais cela aurait pu être pire. Tes prénoms s’enchaînaient, donnant des identités différentes à chaque voyage. A Angren, pour les dix années passées là-bas, tu étais Castis ; à Vengerberg, où tu restas 23 ans, tu étais Kastiel, un pauvre trafiquant de fisstech dans une bande de malfrats qui t’avait acceptée sans sourciller ; à Ard Carraigh, pour 37 ans de vie là-bas, tu étais Azlan, un commerçant de rue, vendant ce que les aventuriers te donnaient quand ils possédaient trop et ce qui était inutile. Tu ne faisais pas de vagues, on entendait assez peu parler de toi. Tu étais une ombre passagère sur des terres inconnues qui t’étaient toujours aussi peu familières, toujours aussi mystérieuses et hostiles. Il n’était pas rare de te voir te battre contre des humains, ivres, qui cherchaient l’excitation d’un inconnu tout comme il n’était pas impossible d’apercevoir ton ombre dans l’alcôve d’un bordel, une main sur la poitrine d’une femme elfe tandis que l’autre glissait sur les abdominaux d’un homme. Tu découvrais, tu admirais parfois, mais tu t’empêchais d’apprécier tout ce qui t’entourait. Tu subissais ce monde, le fardeau trop lourd de ta vie trop longue sur tes épaules, tes pouvoirs grandissant de jours en jours tandis que ton envie de vivre perdait d’ampleur au fur et à mesure que les informations se révélaient fausses.

Une information te poussa à quitter Ard Carraigh, prenant ton second prénom comme identité factice pour ton corps humain. Tu rallias Nazair, au bord des flammes, retrouvant dans ce pays l’odeur de ta naissance : le sang, le métal et les cendres. Tu avais appris, d’un vampire trouvé au hasard, que ton frère se trouvait ici, qu’il avait décidé de s’arrêter ici pour quelques années. Lysandre était là, à priori, et c’est pour cela que tu avais décidé de rejoindre la capitale de Nazair, trouvant du travail rapidement auprès des docks. Tu trouvas ton frère, travaillant au palais comme serviteur, et ce fut le meilleur moment que tu vécu depuis longtemps, trouvant le réconfort du corps de ton frère comme une bulle au milieu d’une eau tumultueuse. Vous décidâtes de passer quelques d’années à Nazair, ensemble, profitant du peu de tranquillité que vous pouviez avoir.  Ce temps écoulé, tu repris tes affaires et vous partirent en chemin pour Cintra, lorsque la guerre menaçait le royaume dans lequel vous couliez des jours plus tranquilles, plus seuls. Ce fut à Cintra que le malheur le plus abject arriva, celui où tu te retrouvais dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit.

Après plusieurs années passées là-bas, travaillant pour se nourrir et vivre pleinement, la guerre frappa. Ton frère se retrouva aux prises de soldats Nilfgaardiens, empalé sur plusieurs piques d’argent. Tu te souviendras à jamais de cette vision d’horreur. Les pieds marchant dans la cendre, le sang, le goût du métal dans la bouche après avoir déchiqueter nombres corps de soldats pour arriver jusqu’à la place. Tu as vu, ton frère, les mains liées, les pieds liés, le visage déformé par des blessures d’argent, le corps transpercé d’une pique, son corps plaqué contre une bâtisse de pierre. Pour la première fois de ta vie, tu te mis à vomir, vomir de rage, de dégoût, de haine. Tu sentais de nombreuses choses bouillir en toi. Ton frère, Lysandre, incapable de se dépêtrer car trop faible, malade, soumis à la volonté humaine, te suppliant de l’achever, de le laisser mourir, de retourner à la cendre. Et tu lui accordas. Une main sur son visage, l’autre dans sa poitrine, tu lui enlevas le cœur, les larmes et le sang se mélangeant, la cendre flottant autour de vous comme une aura invincible. Tu restas quelques heures devant le pique, attendant la décomposition totale de son corps en un amas de cendre dont tu ne pouvais rien faire. Tu pris quelques cendres avec toi, les cachant dans une fiole discrète que tu gardais sur toi tandis que la voix impassible du doyen annonçait à nouveau ce que tu attendais tristement : un nouvel exil, un nouveau bannissement. Le prochain serait la mort pour toi, tu le savais. Tu portais maintenant la marque du doyen sur toi, une cicatrice partant de ton épaule et descendant jusqu’au milieu de ton dos. Tu laissas une femme s’occuper de toi, pansant la plaie avant de partir, la rage au ventre. Le corps lourd, le poids de l’exil, tu te laissais entraîner dans une charrette jusqu’à Novigrad, une ville où tu pourrais peut-être vivre quelques années et où tu décidas de reprendre ta véritable identité. Celle d’Elijah. Le prince déchu, gravant le chemin des damnés, les cendres, le sang et le métal suivant chacun de tes pas comme un fléau incontournable. A Novigrad, tu trouvas refuge auprès de Francis Bedlam, qui se faisait appeler le Roi des mendiants, qui te confia un travail de Thanatopracteur dans une de ses morgues. Tu ne t’en plaignais pas, ce n’était pas trop mal.

Petit à petit, l’argent coulait dans ta bourse et tu achetas une maison qui était, selon les dires, hantée dans un quartier ni pauvre ni riche de Novigrad. Avec l’aide de quelques membres du bosquet putride, tu retapas la demeure afin d’en faire un lieu de vie et de travail. Le premier étage et le grenier était à toi, le rez-de-chaussée était une petite salle d’enchère tandis que la cave servait de stockage de tes marchandises. Antiquités, tableaux et épées côtoyaient fisstech, organes et êtres humains parfois. Il y a de cela deux ans, tu retrouvas ta petite sœur, amenée dans ce monde par la seconde conjonction. Tu aimais ta petite sœur, suffisamment pour lui cacher la mort de votre frère aîné, surtout qu’elle était de ta main. Tu la protégeais du coin de l’œil, demandant une protection en plus au roi des mendiants, quitte à perdre la tienne. Tu étais ravi de voir qu’elle était étudiante, qu’elle voulait comprendre ce monde plus que toi.

Mais aujourd’hui, comme il y a de cela des années, tu te perds à prendre du fisstech, à t’allonger sur le toit de ta maison, à ressasser les souvenirs sous le regard inquisiteur d’une lune qui n’a fait que te cracher à la figure depuis ton arrivée. Parfois, un sourire se dessine, parfois, tu ne regrettes pas d’être en vie, parfois, tu aimerais que ce soit ton frère qui soit là à ta place, lui qui avait tant compris de ce monde quand toi tu te sentais encore prisonnier. Un prisonnier, boulet au pied, avançant sur un chemin pavé de damnés, de corps, de cendres, de métal et de sang.  

state of mind
Peace is an illusion and no matter how tranquil the world seems peace doesn't last long. Peace is a struggle against our very nature. A skin we stretch over the bone, muscle and sinew of our own innate savagery

Enfant, tu étais turbulent. Le jeune petit vampire toujours à faire des bêtises, des blagues mais également le petit vampire qui se cachait trop souvent derrière ses parents. Tu étais un enfant terrifié par bien des choses. Tu n’étais pas peureux, non, mais tu avais de nombreuses peurs, de nombreux doutes sur ton existence même. Quand tu n’étais pas avec tes parents, tu étais avec ton grand frère, Lysandre. Mais tu étais un enfant curieux, curieux de la nature de ton existence, de ta race, de ton univers, de la hiérarchie, de ton clan, d’histoire. Tu voulais tout apprendre, tout savoir, mais tu n’étais pas bon élève. Tu n’écoutais pas toujours les anciens, ceux que l’on appelait déjà les doyens. Ceux dont la vie ressemblait à une éternité de souvenirs enfermés dans une enveloppe corporelle meurtrie, des souvenirs de guerres, d’amour, de familles, de séparations et de magie. Tu étais juste un enfant turbulent, que disait ta génitrice, tu n’écoutais pas toujours, tu faisais beaucoup de bêtises, mais tu étais curieux, souriant et à l’écoute des autres. Ta mère posait beaucoup d’espoir dans ton esprit curieux, ta mère espérait tant de toi, peut-être même que tu deviennes un doyen, que tu sois un leader pour la tribu à laquelle tu appartenais, que tu sois de ceux qui voyaient le juste en chacun et qui brandissaient ses griffes lorsque l’injustice se répandait. Tu sais qu’aujourd’hui elle serait déçue en te voyant ainsi, aux antipodes de ce que tu étais. Adolescent, tu n’étais plus si curieux, mais toujours plus turbulent. Tu aimais à te baigner dans le sang, pour l’ivresse de la soif ou pour l’adrénaline du combat, tu abandonnais le juste et tu riais de ceux dont le combat t’était égal. Tu ressemblais à ton père : sang-chaud, impulsif, brutal parfois. Un vampire que l’on craignait mais que l’on aimait pour sa franchise et sa prise en main de choses. Tu étais ce vampire. Tu n’étais plus l’enfant curieux aux yeux bicolores qui observaient tout d’un œil nouveau et fasciné. Grandissant, on t’appela le prince de la nuit ; un jeune adulte respecté par ses pairs, adulé par les brouxes et alpyres, s’amusant avec les Katakans et Nosferats. Ta mère avait repris espoir en toi, voyant en ce jeune adulte, en ce jeune prince le futur leader du clan Tdet. Tu avais repris la curiosité enfantine que tu possédais, reprenant sérieusement les leçons données par les doyens. Tu en côtoyais certains, t’enrichissant de leurs souvenirs tandis que tu oubliais les histoires facétieuses que l’on t’avait compté jusqu’à présent.

La disparition de ton frère aîné brisa quelque chose en toi, quelque chose demeurant brisé, irréparable. Tu n’avais plus la notion du juste, de ce qui était droit de faire. On t’avait enlevé ton grand frère, la magie n’en avait que faire de la vie de ceux qui étaient présents dans ce monde, alors pourquoi devais-tu en avoir quelque chose à faire d’elle ? Tu repris de bonnes vieilles habitudes : l’ivresse, l’adrénaline, le combat, l’alcool, la baise. Tu ne tuais pas, tu ne te le permettais pas. Tu combattais pour ressentir la douleur. Tu n’étais pas encore ce que tu es aujourd’hui. Mais tu possédais déjà des traits propre à ton caractère actuel : l’homme aimant les plaisirs de la chaire, aimant à attraper les cœurs et les garder pour lui le temps d’une nuit, laissant ses doigts caresser les corps inconnus, s’aimant à draguer et s’engouffrer dans une spirale de désir dont tu ne sortais qu’aux premières lueurs du jour, t’empêchant déjà de t’attacher trop, tu avais déjà peur.

C’était sans compter ta disparition dans le monde qui avait avalé ton frère. Il y avait, tous les cent ans, des ouvertures temporelles qui s’ouvraient ci et là par la magie, par la conjonction, et tu t’étais retrouvé aspiré. Tu changeas, diamétralement. L’enfant turbulent devint le prince froid, l’homme dont le cœur se ferma complètement, l’homme qui arrachait la chair humaine sans broncher, sans sourciller ne serait-ce qu’une seconde. Tu étais un soldat enfermé dans une cage de verre, le moindre de tes mouvements attirant l’attention de quelqu’un, fissurant chaque jour un peu plus la prison. Tu devins tout ce que ta mère aurait pu détester : violent, antipathique, apathique, perdu, froid, désespéré et dont la douleur guidait chacun de ses pas. Tu détestais ton corps humain, mais tu te devais te fondre dans la masse donc tu le gardais. Tu ne supportais pas la fragilité humaine, cela te répugnait plus que tout au monde, tu détestais leur longévité de vite, si courte. A peine arrivés qu’ils disparaissaient déjà. Tu avais le temps de voir des milliers de guerre avant de pouvoir lâcher ton dernier souffle. Tu n’étais pas suicidaire, mais il t’arrivait souvent de te faire souffrir suffisamment pour que la mort soit proche. Tu étais bourré de regrets, hanté par des souvenirs, par des failles dans ta mémoire. Cette dernière se désagrégeait et tu te perdais à contempler son abysse.

Tu erres dans les ténèbres comme une âme en peine, perdu dans la désillusion apportée par ce monde, par ton exclusion. Tu ne supportais pas cette discrimination raciale qui déchirait le continent tout entier, tu ne supportais pas de voir la mort de tes propres yeux, entre hommes de la même race, tu ne pouvais plus voir toute cette haine qui venait à profusion devant tes pupilles bicolores. Tu étais dégoûté, et ce dégoût t’amena à la violence, à la destruction, à l’ennui et à n’en avoir plus rien à foutre de rien. Tout ce que tu faisais, c’était pour ta maigre survivance et même pour cela, tu n’y donnais que peu d’importance, que peu d’efforts. Si tu avais pu te suicider, tu l’aurais peut-être fait, tu aurais peut-être porté la lame à ta gorge, enfoncer légèrement la lame contre la jugulaire pour en extraire le liquide métallique. Mais tu ne pouvais pas. Tu n’en avais pas le droit. Tu n’étais peut-être pas le plus courageux des vampires, mais tu n’étais pas lâche au point d’abandonner l’idée que tu pouvais peut-être un jour revenir dans ton monde. Ce monde te prenait tout, petit à petit : tes espoirs, tes rêves, ton caractère s’émiettait de plus en plus comme si l’on écrasait du pain, tes souvenirs disparaissaient et même le kaléidoscope de tes émotions commençait à devenir fade.

Tu es un vampire désespéré, lassé, perdu dans un monde hostile qui te crache à la gueule dès qu’il en a l’occasion. Tu te caches, tu te fonds dans la masse pour que ta survivance existe, tu adoptes les coutumes humaines pour devenir aussi violents qu’eux. Tu te fiches de la souffrance que ton corps émet à chaque mouvement et à chaque coup, tu ris tellement fort de ce qu’on te fait que ta gorge brûle, tes larmes sont acides contre une peau mate qui te déplaît. Tout ce qu’il te reste est un halo de souvenirs, un maigre espoir, quelques sourires, quelques plaisirs et désirs. Ta mère te verrait, elle hurlerait qu’il faut te sauver, qu’il faut que tu trouves en quelqu’un la lumière d’avancer, de trouver un nouvel espoir après l’assassinat qui t’anéantit pour toujours. Peut-être que tu as besoin d’être sauvé ? Tu n’en sais rien. Tout te paraît si fade, tout est si las. Tu vis dans tes souvenirs comme si ils étaient encore réels et tu pleures encore la disparition de ce qui t’était si cher et que tu n’as pu protéger. Ton exil est une épée de damoclès, la mort est si proche et si hors d’atteinte. Tu ne rêves pas de mourir. Tu rêves de vivre, d’être sauvé, d’apprendre, de comprendre pourquoi ce monde te détestes autant. Tu voudrais vivre à nouveau mais la peur d’être à nouveau brisé résonne en toi comme un carillon d’enchantements. Tu es un enfant turbulent, perdu dans une spirale de souvenirs et hantés par des cauchemars et des regrets ; au fond, tu sais que l’espoir n’est pas perdu, n’est pas mort, tu aspires toujours à comprendre. Tu caches tout sous une surface de haine et de violence comme un bouclier invincible que personne ne pourra te défaire. Tu voudrais qu’un humain te tende la main, te dise que tu n’es pas juste un monstre, quand bien même tu sais que tu l’es. Mais pour une fois, tu aimerais voir autre chose que de la haine dans les yeux de tes hôtes. Une lueur d’espoir, peut-être. Un soupir, une flamme, une main tendue. Un espoir que tu gardes enfoui de peur que quelqu’un ne te le brises. Tu n’es pas un homme terrifiant par nature, tu l’es devenu, mais il t’arrive d’esquisser des sourires, de lâcher quelques blagues et parfois même d’aider les autres. Tu n’es pas totalement froid, tu te caches juste, perdu dans l’obscurité. Tu es les deux pendants d’une même pièce, celui qui rit, sourit et t’amuse de tout lorsque le fisstech fait ses effets, l’enjôleur qui attrape les cœurs humains entre ces doigts pour une nuit, qui se plait aux formes des corps étrangers, celui qui se montre intransigeant dans les affaires, sévère avec lui-même et les autres, tandis que dans le privé, lorsque les ombres t'entourent, tu es cet homme perdu, aux yeux brillants, qui essaye de se convaincre que la solitude que tu possèdes te convient. Cet homme qui se plaît des collections funestes et des arts classiques, qui s’amuse seul à jouer des complaintes nocturnes et à dessiner des portraits de ceux que tu vois tous les jours. Une pièce, deux pendants, une seule et même personne, toi, Elijah.

Elijah. Tu es un enfant turbulent. Tu es juste turbulent. Tu n’es pas méchant, tu as juste peur, tu essayes juste de te protéger, d’être parfois vaillant. Tu n’es qu’un enfant turbulent et tu as tant à apprendre.


get to know better
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Quelles sont tes capacités physiques? Possèdes-tu des compétences magiques? Quel est ton petit plus ? En tant que vampire supérieur ayant six siècles derrière toi de vie, tu possèdes des pouvoirs vampiriques développés. Le premier étant que tu peux choisir de te manifester sous ta forme vampirique ou sous ta forme humaine. Tes pouvoirs, au fil des ans, se sont développé et de nouvelles capacités sont devenues les tiennes, la première étant de pouvoir te transformer en fumée pour pouvoir te camoufler, la seconde étant ton polymorphisme, devenant chauve-souris au gré de tes envies. Comme tout vampire, tu possèdes des crocs aiguisés qui permettent d'arracher la chair ainsi que des griffes qui déchirent autant la chair que d'autres matériaux, organiques ou non. Tes yeux et ton odorat sont également développés, grâce à la seconde conjonction qui t'a octroyé de nombreux atout dont un développement plus accru de ta vision, nocturne et diurne. Ta vitesse est également un de tes atouts, ayant une morphologie svelte, tu joues de celle-ci pour pouvoir de déplacer rapidement, fondant dans les ombres pour te dissimuler.  
Que peux-tu nous dire sur ton métier? Sur ce que tu fais au quotidien? En tant que travailleur dans une morgue, tu t'occupes d'embaumer les corps morts mais également à retrouver parfois les proches de ces dits morts. En tant que trafiquant, tu gères autant la marchandise arrivant que tu délègues à d'autres le plaisir de vendre, même si il t'arrive d'être celui qui mets le sceau sur une vente, gérant l’image de ton hôtel pour que son image légale demeure intacte et intouchée.
Possèdes-tu une arme avec toi? Si oui, comment l'as-tu obtenue et quelle est sa valeur pour toi? Si habituellement, tes armes naturelles te suffisent, tu possèdes toujours une paire de kurkris avec toi, en acier. Tu les as achetés il y a longtemps, lors de la première vente à laquelle tu as participé, chez les Borsody. Elles t'ont coûtées une petite fortune mais tu ne regrettes absolument pas, rien que pour la collection. Provenant tout droit des ruines de Zerrikania, forgées dans l'acier des forges de chez eux et trempées dans un acide de manticore pour garder leur intégrité, ce sont de petites perles. Tu possèdes d'autres armes, mais essentiellement pour la collection, pas pour le combat.
Quelles sont tes idéologies par rapport au groupe auquel tu appartiens ou veux appartenir? Tu ne possèdes pas d'opinions particuliers à propos des humains et autres races. Ils sont de la chair périssables, utilisables et surtout remplaçables. Tu ne les méprises pas pour autant, mais tu ne leur importe pas plus d'importance que cela. Ils sont malléables et leur vie ou leur mort de t'inflige rien. Pour ce qui est de tes pairs vampires, tu ne leur accorde guère plus d'importance. Ils sont là, c'est tout, et tant qu'ils ne viennent pas fourrer leur nez dans tes affaires, tu te contentes de les observer de loin.  


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Possèdes-tu des traits physiques particuliers? Tatouages? Piercings? Lunettes? Anormalité physique? Des bijoux? Physiquement, sous ta forme humaine, on ne se douterait pas que tu es un vampire. Tu as le corps d'un homme provenant du sud, des yeux pétillant de vie et un regarde qui transcende ta personnalité et ton caractère. Ta grande particularité réside dans tes yeux, ton oeil gauche brille d'émeraude tandis que ton droit est bleu azur, une modification corporelle qui est apparue à la suite de la seconde conjonction. Tu ne possèdes que peu de tatouage, un pentacle stylisé réside sur le côté gauche de ta poitrine, datant de ta vie passée dans le monde des vampires, tandis que l’emblème de ton clan vampirique, Tdet, représentant une main tenant un serpent, est inscrit sur la peau de ton avant-bras droit. Tu as également un dragon dessiné sur l’arrière de ton épaule droite, entouré d’inscriptions vampiriques et de fumée, de cendres et de sang, le tout fait en noir, à l’opposé de la grande cicatrice laissé sur le côté gauche de ton dos. Tu possèdes quelques piercings, marquant ton arrivée dans ce monde ; une lignée d’anneaux sont inscrits le long de ton cartilage droit tandis que ton cartilage gauche n'en possède que deux. Physiquement tu es bien bâti, usant de ton endurance pour faire du sport et te muscler correctement, te donnant autant un avantage auprès de tes conquêtes que de tes ennemis. Il t’arrive également de laisser pousser ta barbe, quelque chose qui est typique de ta forme humaine. Le peau de ton visage est également embrassée par le soleil, quelques petites tâches de rousseur naissant sous tes yeux, un peu sur tes joues et ton nez. 
Possèdes-tu un animal de compagnie? Si oui, dis nous en un peu plus? Tu possédais, pendant un temps, un chat au pelage roux, récupéré dans les bas-fonds de Novigrad mais il décéda d’une maladie il y a de ça quelques années. Malgré ton cœur froid, tu ne pus st résoudre à reprendre un chat, ayant discerné chez l’animal quelque chose que les humains manquaient. La seule chose que tu t’accordas fut un corbeau, que tu utilises autant en tant qu’animal de compagnie que messager, portant le doux prénom d'Asphodel ; il est néanmoins légèrement magique, possédant une taille bien plus imposante que ceux de ce monde ainsi qu'une vision plus avisée, il veille sur toi en toutes circonstances. Tu possèdes également un étalon Lusitanien gris pommelé, possédant une grande tâche blanche sur le haut du crâne, montant jusqu’à une de ses oreilles. Ses yeux, comme pour toi, sont vairons. Tu le possèdes puis quelques années et il est difficile pour toi de t’en séparer, répondant au nom de Narvi. Tu trouves de nombreuses qualités chez les animaux que les êtres humains ne possèdent pas et c’est pour cela que tu préfères la solitude ou la compagnie des animaux à celles des hommes, dans bien des cas.
Quelles sont tes activités favorites en dehors de ton travail? Tu es un féru de logique. Tu apprécies particulièrement les échecs et autres jeux demandant stratégie et logique de même que tu adores jouer aux cartes, poker ou gwynt. Ce n’est pas tant la mise d’argent du jeu qui t’intéresse mais l’adrénaline qui en découle. Tu te perds dans la dangerosité des jeux, que ce soit les cartes, les échecs ou même les combats illégaux. Il n’est pas rare de t’y voir, sous ta forme la plus humaine, essuyé des coups sans même fléchir, essuyant du revers de la main le sang qui coule de ton nez sans même soupirer. Tu es un amateur de boissons alcoolisés, même si celles-ci ne te font rien si ce n’est un léger sourire de temps à autres, tout comme la nourriture que tu aimes à déguster juste pour les saveurs étrangères que cela te procure, quand bien même cela fait longtemps que tu résides ici. Tu es également un fervent collectionneur, malgré tes aventures dans le marché noir et les affaires illégales. Les armes sont tes collections favorites, les armures t’intéressant moins par leur froideur. Tu es amateur d’art, parfois, tu aimes à caresser quelques cordes d’une guitare ou pianoter doucement sur un piano. Il t’arrive de chanter, mais c’est beaucoup plus rare.
En trois mots, décris nous ton passé, ton présent et ton futur ? Exil. Invité. Damnation.
Quel est ton opinion vis-à-vis de la Destinée? Tu n’y crois pas. Pas après tout ce que l’on t’a fait enduré depuis ton arrivée dans ce foutu monde de merde. Si il y a une destinée quelque part, elle pourrait au moins traiter les invités décemment et la seule chose que tu offres à la destinée, c’est ton majeur levé bien haut et une dague entre les deux yeux.
Ivy / Tiababylo
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Double Compte de votre fonda, les enfants ! Ivy / Tiababylo is back on the road agaaaain avec un personnage des plus sombre de ma création ! en espérant qu’il vous plaise ;)  
Elijah Nyx Caedreach
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Elerinna de Novigrad
baroness of secret lust
Elerinna de Novigrad
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baroness of secret lust
Sam 14 Juil - 16:58
Re-bienvenue sur ton propre forum [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Jesse Williams mon dieu... vous allez me tuer avec vos vavas parfaits !

Bon courage pour ta fiche en tout cas et hâte de pouvoir la lire en entier !

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You will see, sins and guilt will vanish in the deep of my new life
Justayne
Elerinna de Novigrad
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Invité
Invité
Anonymous
Sam 14 Juil - 23:33
Ouii ton deuxième compte et ses yeux sublimes !! depuis le temps que j'en entend parler J'ai hâte de voir ce qu'il donnera elijah nyx caedreach ; la nuit de l'âme.  2968368153
Invité
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Elijah Nyx Caedreach
the crow : right hand of secret lust
Elijah Nyx Caedreach
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the crow : right hand of secret lust
Dim 15 Juil - 2:13
Elerinna Merci beaucoup ! elijah nyx caedreach ; la nuit de l'âme.  2968368153

eh wui, Jesse Williams. Beaucoup d'amour dans cet homme, impossible de résister à l'envie de l'incarner elijah nyx caedreach ; la nuit de l'âme.  2968368153
Merci beaucoup ~

S'inna wouiii ~ le charme des yeux de Jesse, mah. Et oui, il est enfin là, je vais enfin arrêter de t'ennuyer constamment avec ce personnage dont je ne savais trop quoi faire au départ :p
Elijah Nyx Caedreach
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Otsumi Samael Lavnenn
Not your lucky day.
Otsumi Samael Lavnenn
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Not your lucky day.
Dim 15 Juil - 3:09
Welcome welcome baaaaaaaaack ! =D

J'ai rien à te dire, vu que c'est un DC x) Mais bon, amusons-nous à nouveau ensemble ! kkaaakka kaaa [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Otsumi Samael Lavnenn
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