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lunara dol blathanna ♦ tutoyer les étoiles
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Anonymous
Mer 27 Juin - 21:08
La réponse du poète
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LUNARA DE DOL BLATHANNA

ft. Emilia Clarke
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nom: De Dol Blathanna, faute de pouvoir porter le nom de son père ; prénom: Lunara, nommée dans le dernier souffle de sa mère en hommage à la lune pleine qui l'embrassait de sa lumière - son tout dernier baiser ; âge: 26 ans, très jeune pour une sorceleuse, mais si tu as l'audace de la prétendre peu fiable par la faute de son âge, apprête-toi à te faire botter le cul jusqu'au Nilfgaard ; lieu de naissance: Dans la vallée des fleurs, sous le regard d'une reine courroucée, d'une épouse flouée et d'un père gêné ; lieu d'habitation: Depuis peu, dans la maison voisine de celle de son maître à Novigrad ; date de naissance: La nuit du solstice d'été ; race: Semi-elfe ; profession: Sorceleuse ; situation amoureuse: Célibataire ; situation financière: Variable mais plus aisée que celle d'autres sorceleurs puisqu'elle s'est fixée dans une région dans laquelle elle a une maison ; orientation sexuelle: Bisexuelle, elle aime autant les rires virils que les étreintes parfumées ; groupe: Sorceleurs

you're a storyteller
tout parle à qui sait lire, voir et écouter.

L'histoire de Lunara commence, comme tant d'autres quand un sorceleur vient s'en mêler, par le droit de surprise. Son père, un ambassadeur nilfgaardien dans la très elfique région de Dol Blathanna, se vit sauver la vie par le très réputé sorceleur Galaad de l'école du Chat, qui en échange lui réclama « ce qu'il possédait déjà sans encore en connaître l'existence ». Ainsi, l'ambassadeur promit à Galaad sa fille à naître, non de sa propre épouse rendue stérile par son premier et unique accouchement, mais celui de sa maîtresse, une elfe qui avait l'oreille de la reine des fleurs.
Lunara naquit donc deux fois bâtarde, de sang comme de nom, portant sur ses épaules le poids du déshonneur avant même d'en connaître le sens. Les premières années de sa vie, elle ne s'en soucia pas. Elle était trop jeune pour comprendre les regards désapprobateurs de la reine, d'autant plus amère que la mère de Lunara était morte en lui donnant le jour. Elle était trop jeune également pour comprendre les différences de traitement entre son demi-frère légitime et elle. Trop jeune pour les regards embarrassés de son père quand il était contraint de l'emmener avec lui à la cour.
Tout cela se termina bien vite, dès qu'elle atteint l'âge de quatre ans. Là, son père la confia à une elfe magicienne, très intéressée par la faculté que la petite fille semblait avoir de mémoriser ce qui l'entourait sans effort. Elle lui apprit à lire, à écrire, à compter, mais également à tracer des cartes du ciel et s'y repérer en tout temps, à reconnaître les plantes dangereuses et celles qui un jour lui sauveraient la vie, les animaux et comment amadouer même les plus féroces. Et puis enfin, elle lui apprit la magie. Lunara ne serait jamais une puissante magicienne, mais il y avait quelque part un don dans ses veines, une force douce, subtile, parfaite pour la magie de l'esprit.
Elle n'eut pas le loisir de lui apprendre beaucoup cependant. Elle avait six ans quand le sorceleur Galaad vint réclamer son dû. Il avait compris, on ne sait comment, la grossesse de la mère de Lunara - mais même lui ne pouvait s'attendre à ce que son droit de surprise lui offre une petite fille. Il eut de longues discussions avec la magicienne qui avait enseigné à Lunara ces deux dernières années, laquelle admit que dans le corps de cette petite se trouvait une énergie farouche et des prédispositions au combat dont elle ne savait que faire. L'enfant était plutôt irritable quand elle n'épuisait pas assez tout ce capital qui grandissait en elle - alors, elle se tournait vers des elfes au sang pur, souvent plus âgés, contre lesquels elle n'aurait eu aucune chance sans une ruse naturellement aiguisée et une chance insolente.
C'est en la voyant se battre que Galaad se décida, la regardant soumettre un adversaire de presque deux fois sa taille non par la force brute - qui n'aurait jamais suffi - mais en empoignant vicieusement une large poignée de sa chevelure d'argent, près des tempes, là où ça faisait le plus mal. Cela, plus le fait qu'elle le maintint quelques secondes, semblant ainsi lui imprimer sa supériorité dans le corps, la détermination farouche dans ses yeux clairs, le fit s'avancer et prononcer les mots qui scelleraient son destin à jamais.
« Au nom du droit de surprise, ta vie m'appartient. Tu vas venir avec moi, et apprendre comment tu aurais pu soumettre cet adversaire en quatre fois moins de temps. Tu vas venir avec moi, et tu surpasseras tous les minables espoirs que ton père aurait jamais pu avoir pour toi. »
Dès lors elle fut sur la route vers le Nilfgaard, perchée devant Galaad sur un grand cheval gris clair qui l'impressionnait - jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment habile et connaisseuse pour s'occuper de lui tandis que son maître préparait le repas. Galaad traita toujours Lunara avec patience, pédagogie, et une sorte d'once de tendresse dont elle ne comprenait pas l'origine. Quand elle apprit, plus tard, que les sorceleurs étaient stériles, elle supposa que certains d'entre eux avaient la tendresse dans leur coeur de désirer malgré tout des enfants.
Galaad était malgré tout un maître exigeant. Du matin au soir ils chevauchaient pour l'endurcir, tandis qu'il la soumettait à des interrogations de plus en plus ardues quant à ses connaissances, les enrichissant au passage. Quand ils ne chevauchaient pas, ils s'arrêtaient dans des villages qui avaient besoin de menus travaux, comme le fait de creuser des tranchées pour la circulation de l'eau ou pour planter de nouvelles défenses, et ils se mettaient à l'ouvrage en échange du gîte et du couvert. Il trouvait cela indispensable afin qu'elle s'endurcisse physiquement, et il avait raison. Quelques semaines de ce régime et d'une nourriture riche firent merveille. Elle ne serait jamais aussi grande ni aussi vive que les elfes purs, mais elle les surpasserait en force et en énergie.
Le tournant suivant de sa vie fut pris quand elle eut dix ans. Les autres enfants de son âge à l'École du Chat passaient leur épreuve des herbes, mais elle, il avait été décidé de l'exclure sous prétexte qu'elle était une femme - une prétexte stupide s'il en est. Son maître était bien d'accord avec elle. La nuit, tandis que les garçons souffraient et que sept d'entre eux couraient vers une mort certaine du fait de l'épreuve, il s'enferma avec elle dans une salle vide et la plongea à son tour dans l'épreuve. Elle aussi, elle hurla, gémit, supplia, pleura. Mais à la fin, contrairement à sept de ses camarades, elle se redressa, les yeux couleur fauve et les cheveux tombés. Ils repousseraient, plus tard, d'un blanc si pur qu'il semblait la nuit contenir des éclats de lune.
Elle était une femme et pourtant elle se relevait de l'épreuve des plantes, vivante, plus vivante que jamais. Galaad pleura de fierté, la serrant contre lui en la suppliant de lui pardonner de l'avoir fait souffrir, en lui jurant que c'était pour la bonne cause, qu'elle pourrait faire tout ce qu'elle voudrait de sa vie. Et puis le lendemain, quand elle fut assez reposée pour marcher sa vaciller, il alla trouver ses confrères sorceleurs... Qui ne le prirent pas si bien. Certains d'entre eux avaient perdu leur apprenti, alors de voir une femme, non légitime, se relever, les mettait dans une colère teintée d'amertume.
Ils durent partir, mais Galaad refusa d'abandonner Lunara. Il l'emmena vers Skellige sans jamais l'abandonner, ni abandonner son entraînement. Il l'affûtait au fil des jours avec le même soin qu'il apportait à ses armes.
Les années passèrent. Elle avançait sur la Voie des sorceleurs sans jamais se retourner, sans jamais regretter, surprenant plus d'une fois Galaad avec la régularité de ses progrès. Elle devenait une terrible adversaire qui prenait plaisir à botter les fesses de guerriers de Skellige parfois trois fois plus gros qu'elle. Et en même temps elle aimait cet endroit où on ne la jugeait pas sur son sexe mais sur la force et la férocité qu'elle pouvait mettre dans ses combats. Ils riaient même de ce rire grave qu'ils arboraient tous quand elle utilisait un tour particulièrement retors pour les mettre à terre. Elle se sentait acceptée.
Quand elle eut seize ans, elle battit un record sur Aard Skellig. Pour son anniversaire, Galaad, qui la voyait chaque jour lorgner sur les habitants de son âge, lui offrit une inscription à la Route de la Joie. Il s'agissait d'une sorte de course d'endurance... Des bordels de l'île. Le but était de coucher avec le plus de prostitués possible en une nuit. Et Lunara pulvérisa littéralement le dernier score, écrivant son nom dans la légende de l'île. Par après, elle passa souvent la nuit avec un guerrier ou une guerrière qui lui faisait les yeux doux. Comme elle n'était pas bien grande, personne ne se sentait vraiment intimidé par sa stature, elle avait les traits fins des aristocrates, ses cheveux blancs étaient hypnotiques, ses yeux ajoutaient une touche d'exotisme, de danger. Oui, elle avait son petit succès, et ça lui plaisait.
Malgré tout, plus elle vieillissait, plus elle soupirait après Galaad. Il restait professionnel, à la fois distant et à l'écoute comme un professeur se doit de l'être, mais parfois, parfois elle percevait son regard qui se faisait caressant sur elle, parfois il avait un geste un peu plus tendre, parfois elle espérait. Mais jamais elle ne dit un mot de ses sentiments, de peur de perdre ce qu'il lui offrait déjà. Elle se taisait, mais ce n'était pas grave, parce qu'elle aimait ce qu'il lui donnait jusque là.
Elle avait vingt-quatre ans quand une nouvelle étrange parvint à Skellige. Une seconde conjonction des sphères ? L'histoire de la première était écrite dans la chair des sorceleurs, dans leur sang, dans leur âme. Galaad et Lunara se concertèrent longuement avant de prendre la décision de revenir sur le continent. Il y avait bien plus de contrats disponibles là-bas, et puis il était temps que les sorceleurs ouvrent les yeux : leur profession se mourait. S'ils n'incluaient pas les femmes, pourtant tout aussi capables, ils disparaîtraient. D'autant plus maintenant que les monstres se remettaient à pulluler.
Ce fut difficile au début. Les gens se méfiaient des femmes, alors les femmes sorceleuses, et demi-elfe avec ça ? Elle dut se battre deux fois plus fort que les autres pour faire ses preuves, mais elle y tenait, et quand elle avait un objectif, rien ne l'arrêtait. Peu à peu, Galaad et elle firent la conquête de la confiance des habitants de Novigrad, où ils s'étaient établis. Les habitants venaient frapper à leur porte pour les implorer de régler leurs problèmes qui parfois n'avaient même rien à voir avec des monstres. Ils s'exécutaient et, pour le payement, s’arrangeaient quand l'argent manquait à leurs débiteurs.
Et puis elle eut vingt-six ans, âge qui signa la fin de son apprentissage. Galaad n'était plus son maître, mais son collègue. Son ami. Elle aurait aimé pouvoir dire aussi qu'il était son compagnon, mais ils n'en étaient pas là, loin de là. Pour fêter le succès de sa formation, il lui offrit la maison voisine de la sienne, rénovée par ses soins. Ils continuaient de se fréquenter très souvent car les troubles augmentaient dans la région, réclamant souvent les services de deux sorceleurs plutôt qu'un. Et pour la première fois, elle goûtait pleinement le sentiment de victoire, d'accomplissement. Elle avait atteint un point particulier de sa voie, celui qui termine une histoire et en commence une autre.
 

state of mind
celui qui croit savoir n'apprend plus.

La première chose à laquelle on pense quand on se concentre sur la personnalité de Lunara, c'est la ténacité. Pour être une femme sorceleuse, il en faut, après tout. Elle appris à se rire de ceux qui la méprisent, et si elle peut leur donner une leçon en leur bottant le cul au passage, elle y prend un plaisir quelque peu cruel. Elle n'aime rien tant que prouver sa supériorité à ceux qui auraient voulu la dominer.
L'une de ses passions secrètes est la lecture. Malgré son mode de vie fait de combats et de luttes à tous les niveaux, elle aime la paix, la tranquillité d'une soirée passée au coin du feu à lire la retranscription d'un conte de barde. Ses lectures lui apportent des connaissances plutôt pointues du fait de sa grande capacité à mémoriser. Sa mémoire est pratiquement photographique. Pour cette raison, Galaad a pu pousser son entraînement mental bien plus loin qu'on ne le fait de coutume pour les garçons. Et c'est une bonne chose, car pour faire ses preuves, elle doit se montrer deux fois meilleure qu'eux.
Elle est donc intelligente, et de plutôt bonne compagnie. Qu'il s'agisse de débattre ou de plaisanter, elle aura de la conversation et parviendra à se comporter de telle façon que son interlocuteur croie avoir toute son attention, alors qu'en réalité elle ne baisse jamais réellement sa garde.
C'est l'un des problèmes de Lunara : elle a des difficultés à s'ouvrir aux autres sincèrement, même si elle est douée pour faire semblant. Galaad est le seul à avoir l'honneur de la connaître réellement, avec sa douceur, son besoin d'être rassurée, d'avoir l'attention de quelqu'un pour elle, ses insécurités dues aux circonstances entourant son enfance et sa naissance puis le rejet de l'École du Chat.
Il y a son côté vengeur aussi. Si quelqu'un lui fait du tort, elle n'oubliera jamais et renverra le coup, parfois à égale proportion, parfois plus fort. Elle rêve de prendre tous ces maudits sorceleurs qui l'ont rejetée à cause de son sexe et de les soumettre, de forcer leurs corps à plier face à elle, les forcer à reconnaître qu'elle est leur égale et qu'ils ont eu tort de la rejeter.
Malgré ces désirs, elle est assez sensée pour ne pas perdre de vue ce qui est important, et sa vengeance ne l'est pas, pour l'instant. Ce qui est important, c'est la lutte. Contre les monstres, y compris ceux à figure humaine, contre les injustices. Alors même qu'elle n'est ni justicière ni chevalière, elle s'applique à rendre le monde plus juste et travaille parfois même gratuitement pour sauver les femmes et les enfants de situations cruelles. Puisqu'ils sont les oubliés du monde, elle, elle ne les oublie pas.
Il n'est plus à prouver à présent que Lunara est une séductrice, et plutôt douée qui plus est pour les arts de la chair. Le fait d'avoir eu les mutations la rend stérile et invulnérable à une très grande majorité de maladies humaines - même si elle a un jour attrapé un virus si sévère qu'elle a dû prendre le lit plus d'une semaine, fiévreuse et aphone - et elle ne se prive pas des profits apportés par cette invulnérabilité. Ses amants et amantes ressortent souvent de leurs entrevues comblés. Elle aime s'alanguir entre les droits, menant parfois la danse, parfois se laissant mener.
Ce qui est certain, c'est que la forte personnalité de Lunara, sa fierté, sa soif de vengeance, son intelligence et sa ruse marquent les esprits. Les gens sont étonnés devant sa discipline et la force de sa volonté, mais ils ne connaissent pas la vraie Lunara, celle dont le rire sonne délecté et sauvage, celle qui rêve de se lover dans les bras d'un homme en particulier depuis qu'elle a l'âge d'être femme, celle capable d'être plus douce que la soie. Ils ne voient que la sorceleuse, féroce et impitoyable. Et c'est parfait comme ça.


get to know better
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Quelles sont tes capacités physiques? Possèdes-tu des compétences magiques? Quel est ton petit plus ? Lunara est une sorceleuse, la seule femme à avoir subi les mutations. Elle est donc capable de se battre, mieux que la plupart des soldats car si un sorceleur n'atteint pas l'excellence de son art, il meurt. Elle peut également lancer les signes et concocter toutes les potions nécessaires. Puisqu'elle est une demi-elfe, elle est plus souple et plus vive qu'un humain, mais aussi plus forte et plus solide qu'un elfe. Cela dit, elle ne battra pas un humain spécialisé au lancer de troncs, ni un elfe professionnel de l'escalade. Son atout particulier est sa capacité à se dissimuler parfaitement, que ce soit en milieu urbain ou sauvage. Elle sait comment se montrer quasiment indétectable et, mieux encore, comment détourner subtilement l'attention de ceux qui croient pouvoir la repérer.
Possèdes-tu une arme avec toi? Si oui, comment l'as-tu obtenue et quelle est sa valeur pour toi? Lunara possède bien évidemment les deux épées de sorceleurs, d'acier et d'argent, mais également un jeu de quatre poignards, deux de chaque métal, un arc et deux carquois afin de pouvoir tirer sur les hommes comme sur les bêtes, quelques poignards plus petits destinés au lancer. Toutes ces armes lui ont été offertes par Galaad au fur et à mesure de son initiation. Son originalité par rapport à son maître est un long fouet qu'elle porte à la ceinture, dont les neuf queues sont lestées de petites lames en métal et en argent, une arme qu'elle a gagnée en sauvant la femme d'un forgeron expert en armes de sorceleurs. Comme ses collègues, elle a également son lot de pièges, potions, poisons, bombes, mais est toujours avide d'apprendre de nouvelles recettes. Possèdes-tu une épée en argent? Si oui, comment l'as-tu obtenue? Si non, quelle est ton alternative? Bien sûr que Lunara en possède une. Sa première lame, Galaad la lui a offerte pour son succès à la route de la joie, mais depuis elle s'arrange pour s'en faire régulièrement forger une nouvelle, meilleure que les précédentes. La toute première est exposée en bonne place dans son salon, et il lui arrive parfois de la caresser avec nostalgie.
Quelles sont tes idéologies par rapport au groupe auquel tu appartiens ou veux appartenir? Lunara n'a qu'un souhait : que les sorceleurs se débarrassent du balai qu'ils ont dans le cul. Ce n'est sans doute pas gagné vu la vieillesse de leur institution et le fait qu'ils sont tous à peu près de vieux débris. Elle voudrait que les femmes et non-humains puissent accéder à la profession comme le font les hommes. C'est possible après tout. Elle en est la preuve vivante. Et ça réglerait tant de problèmes.


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Possèdes-tu des traits physiques particuliers? Tatouages? Piercings? Lunettes? Anormalité physique? Des bijoux? Les cheveux blancs, les yeux de chat, c'est déjà quelque chose de particulier qu'elle a récolté de sa mutation, mais au fil des ans passés à se battre contre des monstres - parfois à figure humaine - Lunara a récolté plus que son lot de cicatrices. Elles marquent une bonne partie de son corps, son dos surtout. Son visage, par contre, fait rare chez les sorceleurs, est resté épargné. Il faut tomber la chemise pour voir ce que son métier a déjà pu lui coûter.
Possèdes-tu un animal de compagnie? Si oui, dis nous en un peu plus? Elle possède une jument, fille de la propre jument de Galaad et d'un cheval de bataille de Skellige. C'est une jument noire, haute au garrot, qui ne rebiffe pas à l'effort. Lunara aime s'en occuper le soir venu, et se coucher contre elle quand elle campe. Elle pense parfois à la laisser avoir des poulains, mais quand le pourrait-elle ? C'est grâce à leur arrêt à Skellige que Galaad a pu laisser enfanter sa jument, et pour cela il a dû emprunter plusieurs mois le cheval d'un homme du village. Lunara ne se sent pas prête pour ça.
Quelles sont tes activités favorites en dehors de ton travail? La lecture et le sexe. Aujourd'hui, Lunara n'a plus besoin de courir les bordels si elle veut passer la nuit en bonne compagnie, mais elle doit encore écumer les échoppes pour trouver la perle rare qui la laissera rêveuse, des images et des mots plein la tête.
En trois mots, décris nous ton passé, ton présent et ton futur ? Apprentissage, charnière, lutte
Quel est ton opinion vis-à-vis de la Destinée? Mitigée. Il semble y avoir quelque part derrière quelque chose pour guider le destin des hommes, mais d'un autre côté, Lunara est convaincue d'être son unique et seule maîtresse. C'est elle qui fait ses choix en toute conscience, et pas une entité supérieure.
who are you?
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Coucou ! Moi c'est Julie, aussi connue sous le pseudo de Thunderhead. Si je ne suis pas disponible vous me trouverez sans doute un livre à la main. J'adore écrire, jouer à des jeux-vidéos, faire plein de trucs qui me passionnent mais n'intéresseraient pas grand monde. J'ai une passion pour les chats et une haine farouche pour les personnes qui font plein de bruit dans l'espace public.
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Mer 27 Juin - 21:18
Bienvenu à toi ! Hâte de voir ta fichette finie en tout cas ~
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Mer 27 Juin - 21:27
Merci ♥️
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Mer 27 Juin - 21:33
Bienvenue à toi jeune demoiselle !
Ravie de t'avoir parmi nous et hâte de voir l'histoire de ton personnage (même si j'en connais quelques éléments) ! :)
Par contre, mets bien ton prénom et ton nom dans ton titre :)
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Anonymous
Mer 27 Juin - 22:50
oh te voilà lunara dol blathanna ♦ tutoyer les étoiles 2968368153 bienvenue ! https://7img.net/
bon courage pour ta fiche, j'espère qu'on se trouvera un lien o/
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