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Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake
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Sascha vir Malphàs
Death holds no surprises.
Sascha vir Malphàs
Race Race : Vampire Supérieur
Habite à Habite à : Ta maison et ton échoppe sont à Beauclair mais tu bouges beaucoup
Couronnes Couronnes : 34638
Messages Messages : 188
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Death holds no surprises.
Ven 19 Avr - 18:06
Do not be afraid of the monsters, make them afraid of you.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Sascha Kayn Uphir-Daithi vir Malphàs od’Gharasham

ft. Garrett Hedlund
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
nom: Malphàs, un nom d'emprunt qui est le prénom de ta fille ; l'autre nom, celui par lequel on t'appelle parmi les tiens : od'Gharasham, en lien avec ton clan d'origine ; prénom: Sascha, un prénom que tu t'es choisi depuis quelques décennies, Kayn est celui que tu n’utilises que pour remplir tes contrats, Daithi est le prénom de ton fils tandis qu'Uphir est un prénom dont la signification est secrète. Seuls ceux qui t’ont connus avant peuvent encore t’appeler Eren, et encore ; âge: 2006, la trentaine physiquement, tu refuses de vieillir ; lieu de naissance: Le monde des Vampires ; lieu d'habitation: Ton échoppe et ta maison sont à Beauclair, mais tu navigues ; date de naissance: Selon le calendrier de ce monde, tu serais né en -732, en automne ; race: Vampire supérieur ; profession: Assassin sans limites, parfumeur et alchimiste possédant sa propre échoppe, un assistant s'en occupant quand tu n'es pas là, ainsi que bras droit du meneur du Nattångar pour qui tes heures ne comptent plus ; situation amoureuse: Coeur pris depuis une douzaine d'années par un dragon plutôt colérique mais que tu aimes bien plus que tu aurais pu l’imaginer, gare à ceux qui osent lever un doigt sur lui  ; situation financière: Ni trop riche ni trop pauvre, tu as ce qu’il te faut ; orientation sexuelle: Pansexuel ; groupe: Militaire

you're a storyteller
You’ve seen whole societies rise and fall, and you start to feel you’re standing outside it all, and none of it really matters to you.

tw : torture, violence graphique.


-732 à -320 Il fut un temps où tu t’appelais Eren, où ce prénom résonnait comme toute ton existence, où chaque pas que tu faisais était pour cette personnalité, pour cette personne que tu pensais être, pour cette créature que tu voyais pour l’avenir. Il n’y avait rien d’autre dans ton avenir que tu ne pouvais faire pour ce prénom, pour le garder et le protéger comme s’il s’agissait du plus précieux des trésors. Il fut un temps où ton pouvoir, ta force et ta violence brute était demandée pour guider un clan, pour guider des familles. Il fut un temps où tu renias ta famille pour le pouvoir, pour la force, pour pouvoir guider les autres et donner de ta personne afin que personne ne finisse léser. Il fut un temps où tu étais encore proche d’eux, où Eren comptait. Un temps où tu n’avais pas peur de prononcer ce prénom que tu gardes désormais comme un secret, bien enfoui. Eren, c’était toi, avant d’être brisé, lors d’un temps où la rage n’existait pas. Un temps où tu avais des enfants, où tu avais une famille à toi, après avoir abandonnée celle qui t’avait vu naître. Il fut un temps où ta vie était rythmée par la lune rouge et le ciel uniforme, il fut un temps… Où tu n’étais pas corrompu et où tu ne corrompais pas ceux qui t’étaient proches. Il fut un temps où tu n’étais pas empli de haine, mais ce temps-là, cette période-là était révolue. Enchevêtrée sous tes kilomètres de cendres, sous tes souvenirs factices, devenus illusoires, devenus fantasmes au cours des siècles. Un temps qui avait disparu avec l’apparition de douleurs, de haine, d’incompréhension et pire encore : de la perte, du vide, du néant, tout autour de toi alors que les visages que tu voyais n’étaient pas ceux que tu espérais voir. Non. Non. Non. Pourquoi les murs n’étaient pas similaires ? Pourquoi le ciel était bleu ? Pourquoi tu étais seul ? Où était ta famille ? Où étaient tes enfants ? Où était ta chair ? Où étais-tu ? Qu’est-ce que tu faisais ici où l’astre brûlait, où le vent était trop froid, la chaleur trop brûlante. Quel était ce monde nocif, mortifère et méphitique ? Pourquoi ? Tu ne comprenais pas, et tu avais envie de briser, de tuer, de faire sombrer la rage qui s’animait dans tes veines comme un venin incontrôlable qui glissait et qui menaçait de tout réduire en cendres. Tu n’étais pas le seul dans cet état, mais tu n’en avais rien à faire. La seule chose à laquelle tu pensais, c’était de rentrer, repasser par les portes de cet enfer pour retourner là où tu avais ta place. Seulement.. La désillusion est lourde, l’espoir est vain et il ne reste plus rien de ton monde si ce n’est ce léger souffle sous les pierres et tu hurles, tu manques de mourir, étouffé, asphyxié par ta propre rage. Tout est si douloureux, si violent. Il se passe de nombreux jours où vous ne bougez pas d’ici, cherchant à comprendre le pourquoi du comment avant que finalement, une hiérarchie s’installe. Le plus vieux d’entre vous se doit de garder le lieu d’où vous êtes venus, devenant le doyen des invisibles, tandis que toi, tu prends la suite des autres membres de ton clan, atteignant un niveau de commandement propre à un chef sans l’être. Tu dois veiller à la protection de ton clan et à ce que les êtres vivants sur ces terres ne vous prennent pas en joug ou en chasse. La protection avant tout, mais au fond, il y a déjà cette flamme de vengeance qui brûle, d’incompréhension et ce sentiment, très proéminent d’être perdu et de ne pas savoir quoi faire.

12 L’arrivée des humains, tu le vis comme un affront supplémentaire contre tout ce que vous viviez, un réel enfer. Tu étais encore à Toussaint, bien évidemment, trouvant que la terre n’était pas mauvaise, n’était pas trop un calvaire pour toi à vivre. Tu te mêlais de temps à autres à la population, de plus en plus garnie d’êtres humains que tu trouvais, au final, aussi insignifiants qu’inutiles par rapport à votre espèce. Néanmoins, vous viviez en marge, vous abritant dans ce qui s’appelait les bois de Caroberta jusqu’à rejoindre la forteresse portant le doux prénom de Tesham Mutna. Vous ne saviez qui l’avaient construite avant que vous ne l’investissiez, mais qu’importe, elle était désormais à vous et uniquement à vous, seuls vous pouviez y entrez grâce à des mécanismes qui étaient les vôtres et qui n’autorisaient que votre présence. Ainsi, vous tapissiez les murs des symboles des clans et le premier réservoir humain pour la soif de sang et la soif de torture commença. Les cages pendaient du plafond tandis que les tunnels rejoignaient directement la ville. Tu n’étais pas plus acteur que cela, pas plus que spectateur, tu profitais juste de ce que les autres membres faisaient, appréciant d’attraper quelques gouttes de sang au passage, te délecter de cet élixir de jouvence. Un éternel plaisir, comment pouvais-tu y résister ? Comment le pouvais-tu quand bien même de nombreux membres décidaient de se sevrer, d’abandonner ce panacée si sublime et si propice à la bonne raison de votre esprit. Oh, tu n’en savais rien, tu ne voulais même pas l’entendre, tu n’en avais rien à faire, là encore. Ton esprit était encore embrumé par la perte que tu avais vécue, celle de Malphàs et Daithi. Ta femme, ou du moins, la mère de ta progéniture ? Elle était morte avant ce qu’ils appelaient la conjonction des sphères, alors tu avais fait le deuil à ta manière. Néanmoins, tu quittas ton clan ainsi que Toussaint avant que l’événement Khagmar ne survienne, ne souhaitant être aucunement mêlé à un tel problème qu’était ce phénomène de foire qui mettait en péril votre survie. Ce n’était vraiment pas nécessaire, vous étiez suffisamment détestez comme ça. Alors tu partis, décidant de donner à cette humanité une chance, maigre, mais une chance tout de même de te prouver qu’ils n’étaient pas affreux. Oh que tu avais tort de leur donner, mais tu le fis néanmoins, te mêlant à leurs armées, à leur cour, aux rois et reines dans le but de comprendre leur politique, leur culture, tout. Tu voulais apprendre.

564 Il fallut cinq siècles pour que l’humanité remette absolument tout en doute. Tu avais passé tant de temps à vivre auprès d’eux que tu avais presque fini par apprécier les humains. Ils n’étaient pas si horribles. Oh, bien évidemment, tu n’aimais toujours pas les elfes, les trouvant toujours aussi horripilant et les nains… Tu n’essayais même pas, tu savais que ça ne passerait pas. Qu’importe, tu avais voyagé vers le nord, découvrant des cités et des civilisations inconnues que tu comprenais petit à petit. Tu connaissais leur langage, la « langue commune » comme ils disaient, soit. Tu l’avais appris juste pour te fondre dans la foule. Néanmoins, il y a un toujours un ‘mais’ aux belles histoires, un ‘mais’ aux bonnes choses. Bien évidemment. Tu t’étais rapproché d’un humain avec qui tu entretenais de plutôt bons liens. Loin de l’amour que tu avais connu par le passé, non, mais des liens d’amitiés suffisamment forts pour essayer de le protéger quand il lui arriva quelque chose mais oh.. Quelle erreur. Tu avais été impulsif, stupide, et tes griffes étaient ressorties, et il n’en fallut pas une ni deux pour que tu te retrouves piégé, empoisonné, drogué jusqu’à l’os, la tête si lourde que tu n’arrivais pas à réfléchir. Tu sentais ta chair, tirée et arrachée, au niveau de tes poignets si bien que le muscle était à vif et tu te maudissais, terriblement. Tu ne sentais plus le bout de tes doigts, tu ne savais pas si c’était parce qu’on avait arraché les ongles d’une de tes mains ou si c’était parce que le sang ne circulait plus. Tu avais mal au crâne, tes cheveux te tirant si forts que tu te doutais que tu en avais perdu entre temps. Comment ? Tu ne savais pas. Ton dos te faisait mal, tes cuisses brulaient comme si on les avait martyrisées de coups ou qu’on les avait frottées si fort que le sang en coulait. Tu ne comprenais rien. Tout était si douloureux. Le pire ? Ce n’était même pas un humain en face de toi, non… Un elfe. Avec ses yeux d’argents à la couronne dorée, aux cheveux blonds tressés, et au sourire carnassier. Putain. Tu allais crever là. La première fois que tu ouvris les yeux, c’était pour voir son visage et constater ton état : tu étais à genoux, les bras suspendus au-dessus de ta tête, torse nu, ton pantalon déchiré par endroits, la peau brûlante et le visage qui te tirait de partout, même tes cheveux blonds faisaient mal. Tu remarquais qu’ils étaient également tâchés de sang si bien que tu sentais tes crocs qui te démangeaient mais qui n’arrivaient pas s’échapper de tes gencives. Tu n’arrivais à rien, même en te concentrant au maximum, rien. Enfin, tu remarquais l’espèce de poussière qui traînait dans la pièce et qui t’empêchait de te transformer, de faire quoi que ce soit, en plus des fers qui maintenaient tes bras suspendus et écartés. Ça faisait si mal. La seconde fois où tu te réveillas, ce fut plus brutal, ce fut ton visage. Du sang séché sur les joues, tes crocs qui hurlent sous tes gencives et chacun de tes membres tendus par la douleur et la même position que tu n’en peux plus, tu es prêt à t’avouer vaincu. Trop d’espoir, tu t’es trop surestimé, et te voilà, là… présent, enchaîné comme un vulgaire porc, l’odeur du sang emplissant la pièce avec une telle véhémence que tu ne sais comment l’interpréter. Au moment où tu laisses tes paupières retombées, c’est le drame : le bâton qui frappe ta joue, te réveillant aussi sec. Tu ne comprends pas ses mots, tu ne les entends pas, sonné, complètement chamboulé par la violence du coup. Un coup de poing suit sur ton œil et tu sens l’épiderme qui gonfle sous la pression et tu craches, le sang quittant difficilement tes lèvres divisées alors que c’est, ensuite, le fer blanc qui vient marquer ta peau du triste symbole d’une rose sur ton dos, ce qui inclut une seconde personne. Tu tombas dans une forme d’inconscience jusqu’à ton troisième réveil. Tu ne savais même pas combien de temps cela faisait depuis la dernière fois que tu avais vu le soleil mais tout était si douloureux. Cette troisième fois, ce fut la première où tu crias de douleur, et la seule fois, d’ailleurs où tu autorisas à ce que l’on te fasse aussi mal. Le couteau, enfoncé dans tes côtes, arrachant et déchirant ta peau avec une telle violence que le cri qui s’échappa était plus proche de la réalité de ton espèce que celle dont tu empruntais les traits par obligation. Ton cri était étouffé, et tu sentais que ton corps te lâchait, d’une certaine manière, que tu allais bientôt te perdre. Les dents du couteau arrachait ce qu’il y avait à l’intérieur, déchirait l’extérieur comme si on éventrait un sac de toile. La lame glissait, formant un croissant violent partant de la naissance de ton dos pour remonter sous ton pectoral et tu sentais ton sang, chaud, brûlant, qui coulait sur ta peau devenue glaciale. Tu étais probablement cadavérique à ce stade. Tout ton corps hurlait de douleur, de ton coccyx jusqu’à la base de ta nuque, tu sentais les autres coupures qui s’infectaient, qui créaient des aspérités par-dessus ton épiderme. Les larmes coulaient, sans le savoir, sur tes joues si bien que tu ne savais plus si c’était de la transpiration ou s’il s’agissait vraiment de ce qu’il te restait d’eau dans le corps tant tu étais déshydraté. Tu expirais alors que la lame quittait enfin ton corps et c’était comme si tu pouvais respirer à nouveau, mais non, tu savais que ce n’était pas fini. Ta tête retombait mollement alors que tu entendais le rire de ton bourreau, vicieux et vicié. Tu refermas les yeux lorsque le fer glissa entre deux mailles du pantalon qui tenait encore ta cuisse, serrant les dents lorsque la brûlure vint marquer la chair avec virulence. Tu sentais ses doigts, brûlants, contre ton visage, relevant ton visage aux yeux injectés de sang, tes lèvres marquées par la déshydratation et divisées par une cicatrice, et tu lui crachas dessus. Tu ne compris pas ses mots, mais tu compris le coup, celui plongé contre ta mâchoire et ton estomac par la suite. L’inconscience vint après, pour camoufler les restes d’une torture que tu ne pouvais vivre. Il y eut d’autres réveils et toujours les mêmes coups. Quand tu te réveillas pour la dernière fois, c’était presque naturel et tu observais les alentours, il n’était pas là. Tu inspirais, expirais, cherchant un minimum de force pour essayer de lever tes genoux, tes jambes, mais rien n’y faisait, les chaînes te maintenaient au sol. Seulement, tu remarquas leur erreur : le produit qu’ils utilisaient, quel qu’il soit, avait disparu de l’air et c’était l’erreur dont tu avais besoin pour t’échapper, utilisant ce qu’il te restait de forces pour te transformer, utilisant la fumée pour t’échapper de tes chaînes et sortir de la pièce. Pas de bol pour le premier que tu croisas, il finit brûler. Le second ? Cœur arraché. Le troisième ? Vidé de son sang. Le quatrième ? Transpercé de tes griffes. Le cinquième ? Oh, tu lui arrachas les yeux avant de le vider de son sang aussi. Plus tu tuais, plus tu arrivais à ton bourreau que tu reconnus, au milieu de la cour de la forteresse dans laquelle tu étais retenu prisonnier, la lumière de la lune l’éclairant. Un sourire, narquois, alors que tu attrapais un fer au hasard dans la chaumière du forgeron qui était à côté et tu lui crevas un œil en premier avant d’attraper son couteau, l’enfonçant au même moment dans ses côtes, déchirant de la même manière sa chair comme il l’avait fait avec la tienne. Pour finir ? Tu lui arrachas le cœur, le laissant tomber au milieu de la cour. Cependant, tu ne pouvais laisser cette forteresse ainsi et fouillant dans un établi non loin, tu trouvas de quoi faire brûler le lieu, le réduire en cendres pour que plus rien ne subsiste. Maintenant, tu allais trouver et tuer celui qui t’avait trahit. Mais ce jour-là, c’était le déclic, celui qui te disait que tu n’aurais plus aucune pitié. A partir du moment où tu voulais qu’une créature soit ta proie, il n’y aurait pas de retour en arrière, c’était fini. La pitié, c’était bon pour les faibles mais toi, tu n’en aurais plus aucune. Les humains ? Ils passaient encore, même s’ils ne valaient pas mieux que quiconque d’autres. Les elfes ? Pourriture de ce monde, saloperie que tu rêvais de tuer par milliers. Ils avaient cherchés le diable ? Ils l’avaient trouvé. Eren avait disparu, véritablement. Maintenant, tu marchais sur des faux prénoms, des dérives et des dérives afin de survivre et d’étendre ta vengeance, ta haine et ton désir de destruction. Personne ne te l’empêcherait.

678 Suite à l’épisode de la forteresse, tu trouvas refuge auprès d’un mage qui, visiblement, ne semblait pas trop réticent à te soigner. Il t’aida, du mieux qu’il pouvait, effaça la marque dans ton dos mais ne pouvait en faire de même pour le croissant sur tes côtes. Néanmoins, il te soigna, stoppa les infections qui commençaient à s’insinuer, mais il ne pouvait prendre le risque de te garder car tu avais fait un peu trop de bruit dans la région, malgré tout. Ainsi, tu partis, une fois capable de bouger, là où il t’avait indiqué que tu serais peut-être plus en sécurité malgré tout, même si ce n’était pas l’idéal. Skellige, alors. Tu tombas sur un druide, après quelques mois à vivre reclus, qui lui-même était un ermite qui avait visiblement, autant t’appréciation pour les autres êtres, humains, non humains ou monstrueux, ainsi, il se fichait bien de ce que tu étais. Cependant, vous viviez non loin l’un de l’autre, et vous tolériez la présence de l’autre, d’une certaine manière. Tu l’observais faire des potions et autres bizarreries alors que tu partais chasser jusqu’au jour où tu lui demandas de t’apprendre tout sur les plantes, les poisons, les élixirs et les autres bizarreries qu’il préparait. S’il fut réticent en premier lieu, il te laissa bien vite accéder à ses tables d’alchimie et à ses ouvrages pour que tu puisses apprendre et découvrir la magie de l’alchimie. Si, au départ, tu n’étais pas très certain de ce que tu faisais et que tu trouvais, au fond, cela assez peu utile étant donné que tu savais très bien te battre, tu trouvas une nouvelle passion dans l’alchimie : celle des poisons mortels et l’excitation que ça te créait à l’idée d’exécuter ta vengeance par le biais d’un liquide qui te laissait champ libre pour toutes les tortures. S’il y avait bien une bonne chose à retirer de ce passage dans la forteresse, c’était ton amour pour la torture, maintenant que tu savais qu’il n’y avait pas qu’un seul côté pour l’approcher et que toi aussi, tu pouvais appliquer la même souffrance qu’à ceux qui avaient décidés que tu la méritais. Donc tu appris, auprès du druide, malgré ta réticence à te laisser approcher, surtout après ce que tu avais vécu, mais ce bonhomme était guère moins taciturne que toi, guère plus approchable, la preuve en était qu’il était détesté par nombreux de ses confrères et à bien des titres et comme pour bien de choses : tu t’en fichais pas mal. Tout ce que tu voulais, c’était son savoir, sa connaissance des plantes, des venins qui existaient dans la nature et comment faire mal. Au hasard de ces connaissances, tu tombas sur autre chose d’intéressant et qui piqua si vivement ta curiosité que tu décidais de le mêler à tes poisons : le parfum, le domaine de la parfumerie. Il y avait quelque chose de sublime dans le fait de cacher un poison dans un parfum, masquer le musc du poison dans les vapeurs de rose ou d’autres plantes aux odeurs agréables. Ouais, tu te trouvais une passion ici, toute nouvelle, toute belle à exploiter. En plus des explosifs que tu essayais de maîtriser, pas toujours correctement d’ailleurs, mais tu avais du potentiel, que te disais le druide, et ainsi tu allais bien l’exploiter afin de devenir un empoisonneur de génie et un aromaticien de talent. Tu étais comme un gosse devant les tables d’alchimie, découvrant de la magie là où il n’y en avait pourtant aucune, et tu t’amusais de découvrir des combinaisons que le druide lui-même n’avait pas imaginer. Seulement, tu avais une chose qu’il n’avait pas : la soif de destruction, la soif de vengeance, la soif d’en finir, la soif de ne plus être faible face à des créatures qui étaient des moins que riens. Skellige, malgré toute la froideur de la contrée que tu détestais presque, t’apporta un nouveau souffle, une nouvelle plénitude où tu te sentais grandir pour la première fois depuis ton arrivée, cette dernière marquée par le besoin de donner une chance à ceux qui ne le méritaient pas. Tu avais besoin d’un nouveau départ et tu décidais d’abandonner tout ce qui était Eren pour devenir celui que tu étais aujourd’hui, abandonner le chiot abandonné que tu fus un jour pour devenir le chacal, le monstre d’aujourd’hui, la bête féroce que l’on craindrait malgré tout. Skellige t’apporta un peu de quiétude, un peu de bienveillance, un peu de douceur malgré tout le voile que tu apportais à ton âme rongée par la vengeance. Tu offrais une chance à l’humanité, bien que tu les trouvais aussi pitoyables que les elfes, tu leur offrais l’opportunité, encore, de te démontrer qu’ils n’étaient pas tous des crevures prêtes à tourner leur dos pour des couronnes ridicules. Peut-être que tu allais regretter ce choix, mais pour l’instant, tu profitais de quelques décennies auprès du vent glacial et des montagnes d’acier et la présence, mine de rien réconfortante, d’un druide qui en avait aussi marre que toi de toute ses conneries. Tu donnais du temps à ton corps de récupérer, de revivre pleinement, de décupler tes forces et des capacités, tu donnais tu temps à ton esprit pour s’apaiser, pour annihiler le traumatisme d’être prisonnier et entravé. Tu ne pouvais plus être cette personne si amiable, si douce, non. C’était du passé, il fallait t’y faire. En quittant Skellige, tu quittais l’illusion paisible dans laquelle tu avais vécu, bien décidé à mettre tes talents à profit, bien décidé à répandre les cendres de la discorde dans ton sillage éternel.

923 Tes pieds se traînaient, lentement, au travers des champs de bataille, au milieu des corps calcinés et transpercés et ce n’était même pas ton œuvre. Tu n’étais qu’une ombre passagère, envisageant un avenir plus simple pour toi, envisageant quelque chose de nouveau. Le mat de ton avenir devait se tourner vers une cause, vers quelque chose pour te garder sain, un minimum. Tu essayais de te convaincre que tu n’étais pas fou à lier, que tu n’étais pas uniquement un monstre sanguinaire et pourtant, tu étais la personnification du vampire du contes, quand bien même tu tuais avec un minimum de délicatesse et un soudain respect qui se détachait terriblement de la véhémence de certains de tes propos. Cependant, avec un nouveau savoir comme celui du parfum et celui des explosifs, il était nécessaire que tu trouves quelque chose à faire. Tu ne pouvais pas continuer à déambuler comme un fantôme dans les ruines causées par les guerres humaines et elfiques. Tu étais heureux de les voir s’entretuer, bien évidemment, ça te rendait extatique de voir que même sans ton implication et la discorde, ces abrutis arrivaient à s’égorger malgré tout, pour des guerres de territoire. Oh, tu comprenais ce genre de besoin. Après tout, tu étais un vampire et même si vous n’étiez pas les créatures les plus territoriales, vous aviez besoin de faire comprendre que ce qui était à vous l’était et c’était tout. Cela allait du simple humain utilisé comme quatre heure jusqu’à la personnalité choisie pour suivre votre dédale bien que cela ne te concerne pour l’instant pas, cependant.. ça concernait également le territoire, bien que dans ton cas, tu t’en fichais un peu. Non, ce que tu voulais à l’heure actuelle, c’était trouver une raison de te battre autrement que par l’utilisation de ton titre d’assassin. Tu aimais être un assassin, sublime qui plus est, mais il y avait quelque chose qui résonnait en toi, comme un appel à quelque chose de plus grand, de plus flamboyant. Pourtant, tu n’étais pas créature à être ambitieuse, et pourtant… Tes pieds t’amenèrent là où tout commença : Toussaint, à te retrouver devant une forteresse infestée de monstres sans que tu ne comprennes vraiment dans quoi tu allais t’enfourner là encore. C’était peut-être une erreur, mais bien que tu aies dévoilé, à bien des égards, à quel point la solitude te collait à la peau, tu avais longtemps vécu avec tes paires et tu étais habitué à la présence d’autrui à tes côtés. Peu importe les raisons qui t’amenèrent à prêter une allégeance au groupe du Nattångar, formé par le dragon Ataroa Nalani que tu avais rencontré par le passé et qui avait essayé, d’ailleurs, de te convaincre que les elfes étaient des pourritures. Eh bien, tu aurais dû l’écouter. Qu’importe, tu étais là, à prêter ta loyauté et ton allégeance à cet homme que tu connaissais déjà et que tu allais découvrir encore différemment. Oh, tu allais pour trimer, pour avoir un statut autre que simple membre mais ça… Mais ça, ce n’était pas encore le moment. Tu allais juste faire de ton mieux pour servir les desseins de ce groupe qui souhaitait, avant tout, rendre justice à tous les monstres qui étaient traités comme tels, ce qui malgré ton habituel je-m’en-foutisme, réussissait l’exploit de t’irriter malgré tout. Vous ne méritiez absolument pas ce genre de traitement, et c’était pour ça, au fond, tu avais rejoint le Nattångar. Une raison de te battre et une raison de ne plus être tout seul, au fond. Ça te convenait très bien, pour l’instant. Peut-être que tu ne resterais pas éternellement, mais pour l’instant, tu étais fortement inspiré par leurs desseins et leurs inspirations, ce qui te poussait à te dépasser, de plus en plus, à faire de mieux en mieux, et même.. à calmer un peu tes ardeurs de furie, pour le mieux. Et ce, jusqu’à ce que tu deviennes, au bout de plusieurs décennies, si ce n’est plus, le bras droit de celui qui est à la tête de ce joyeux merdier mais qui, malgré tout, ressemble de plus en plus à une famille brisée et reconstituée à tes yeux. Tu te sentirais presque à la maison, mais presque seulement.

1273 Tu laisses tes doigts glissés, lentement, avec douceur le long du corps de ta proie, nu. Ton sourire est carnassier alors que ton autre main manipule un couteau aux dents de scie, reluisant des lueurs lunaires qui s'échappent par la fenêtre. Tes doigts arrivent le long de la gorge, là où la chair est fine, tortueuse et où tu peux sentir le pouls, vivace sous tes doigts, de celui qui sera bientôt rajouté à ta liste. Ton ongle dessine une lune, griffant la chair dont le sang s'écoule très légèrement, quelques gouttes, un rien. Ta main finit par quitter sa peau pour attraper un flacon posé sur la table de nuit alors que la proie reprend ses esprits. « Chut. » tu souffles alors que tu ouvres le flacon, laissant le liquide noirci tombé dans sa gorge, attendant avec délectation les effets se produisent : les veines noircies ressortant sous la peau opaline, son visage marqué par l'impuissance de pouvoir bouger. Tu souris, tu guides ton visage à sa hauteur, tes lèvres effleurant celles de ta proie. « Reste calme.. » le poignard vient guider les contours des côtes avant de s'enfoncer lentement : ta marque de fabrique depuis qu'on te l'a affligé. Ta main ayant quittée le flacon s'approche de là où son cœur commence à mourir par les effets du poison, tes griffes apparentes et tu effleures tout juste. Tu attends, patient qu'il meure, la souffrance se lisant dans son regard alors que ses organes meurent un par un. Tes lèvres se posent, doucement, contre la peau qui se refroidie alors que tu sens le tressautement de son épaule, cherchant à se libérer du lien que tu as mis à ses poignets. Tu inhales, comme un animal, le musc qui s’émane de ta proie : la peur, si tendre. Tes doigts glissent lentement pour arriver à son cou que tu dévoiles à ta peau, tes lèvres attendant contre son cou, tes crocs impatients du moment, du dernier souffle. Juste avant, tu enfonces tes crocs dans la chair, laissant ce liquide si adulé glissé le long de ton œsophage, mais tu n’es pas gourmand, tu prends juste assez pour l’achever. Tu te redresses enfin, le sourire aux lèvres alors que ta main tenant le couteau se tourne légèrement, traçant un croissant là où il y a ses côtes. Tu finis par retirer la lame d’où s’écoule encore un peu d’hémoglobine, amenant cette dernière à tes lèvres que ta langue trace les contours et récupère cet élixir de jouvence. Tu te lèves enfin, rangeant le couteau à ta taille ainsi que la fiole dans une de tes poches et tes yeux se reposent sur le corps sans vie de ta victime. Tu te délectes du spectacle que tu laisses à sa femme. Le croissant sanglant contre ses côtes, la marque du fer sur l’intérieur de ses cuisses, la marque de tes crocs dans son cou et les veines noircies sous l’épiderme mais le plus beau : son visage, contorsionné par la peur soudaine, les yeux écarquillés, alors que ses poignets sont attachés aux barreaux du lit. Tu soupires doucement, attrapant la petite boîte que tu avais laissée sur la table de chevet, nettoyant la marque de tes crocs pour qu’elle disparaisse complètement avant d’éponger le croissant. Méticuleux, tu écris également un mot, signé d’un faux nom alors que tu laisses s’échapper une culotte en dentelle rouge au pied du lit. Tu allumes la bougie à côté du lit et tu disparais de la pièce dans une échappée de fumée avant de te matérialiser à nouveau en dehors de la demeure, tes pas te guidant là où ton contact t’attend. Tu t’arrêtes au croisement d’une ruelle, capuche voilant ton visage alors que tu tends ta main en direction de la ruelle. « C’est fait. » Tu ne pars que lorsque la bourse est fermement tombée dans ta paume et que tu rejoins ta demeure, excentrée de la ville et que tu souris, doucement, en te disant qu’une nouvelle fois, une proie supplémentaire serait rajoutée à ton tableau de chasse. Oh, tu frémis d’excitation à l’idée d’un nouveau contrat, mais en attendant, tu as des responsabilités auxquelles tu ne peux échapper et auxquelles tu ne souhaites même pas échapper, sachant très bien qui tu retrouveras dans ce sillage, ça t’arraches un sourire, moins froid et carnassier que d’habitude. Tu ne te tiens sous aucune bannière si ce n’est celle du Nattångar, tu t’infiltres dans les armées humaines, te fait une place auprès des rois, le tout pour mener la discorde, pour amener ce groupe qui te tient tant à cœur à la complétion qu’il mérite, la reconnaissance pour les monstres, pour la revanche.  

state of mind
You live that long, things start happening to you. You get too impressed with yourself. Ends up, you think you’re God. Suddenly the little people don’t really matter anymore.

 Fils de l’anarchie, appelé à être pur et saint quand tu ne l’es aucunement ; tes pieds marchent sur l’aurore du paradis et tracent les chemins damnés vers l’enfer de la vengeance. Les vapeurs de tes bombes dégagent la rage à laquelle tu aspires et à laquelle tu t’adonnes avec tant d’ardeur, autant pour tes paires et ceux qui dépendent de ton tempérament volcanique. Tu passes sur tes ennemis avec la conviction d’être bon, d’avoir fait ce qu’il fallait, tu te réjouis de la souffrance que tu débloques, tu absorbes avec véhémence la rage qui t’anime et tu te laisses tomber dans les flammes de ta propre insurrection. Avoir peur de toi est une bénédiction, est une normalité et tu le sais être à juste titre ; quiconque désire un tant soit peu t’approcher sans t’avoir vu à l’œuvre n’a pas entendu le chant des sirènes hurlant à l’agonie au travers de ta chair meurtrie par les âges. Être incroyablement puissant, tu te penses parfois invincible, indicible, indissociable de la pureté de ta vengeance et de l’égoïsme de ton sadisme. Tu es violent, à raison, tu as été poussé à bout trop de fois, donné des chances à de trop nombreuses reprises alors tu n’hésites plus. Tu ne te pavanes pas de convictions manqués et de loyautés déchirées, tu es loyal à ce que tu entreprends et ceux qui ont ton respect mais le reste n’a que peu d’importance. Tu n’as pas besoin de raisons pour semer la discorde, pas besoin d’analogie pour semer la haine et la crainte. Pendant longtemps, tu avais peur des autres, maintenant tu en fais en sorte que les autres aient peur de toi. Tu te sais être une créature de la vengeance si ce n’est sa personnification pure et simple, tu sais être violent et cruel envers ceux qui te causent du tort, ceux que tu détestes et ceux qui te trahissent, mais tu n’en demeures un assassin des plus délicat. Tu détestes la barbarie, la sauvagerie à l’état pure. Tu aimes que les choses soient délicates, faites avec soin et avec perfection. Tu es méticuleux et chacun de tes assassins semble se mouvoir avec la beauté d’une nature morte. Tu es gracieux et délicat avec tes proies pour que jamais ta rage ne se dévoile avec la sauvagerie de l’animal. Tu préfères que l’on te craigne pour ta froideur plutôt que pour ton tempérament explosif. Si même tu te sais être puissant, avec plusieurs siècles derrière ton dos, c’est pourtant avec les armes humaines que tu excelles, avec les poisons et les bombes, les venins et les fumigènes, les parfums et les potions. Tu tues par plaisir, tu tortures avec délicatesse, toujours dans le but d’assouvir tes désirs et desseins de vengeance. La torture te donne le contrôle auquel tu aspires sur ceux qui sont tes ennemis ou tes proies, te donne cette satisfaction, toute particulière, d’être plus puissante, d’être supérieur et ainsi d’avoir tous les droits, chose que tu t’octroies avec aisance. Tu es taquin en permanence, comme un chat avec sa souris, tu joues avec tes proies, les faisant tourner en bourrique jusqu’à ce que l’un de vous deux craque et que tu puisses sauter pour t’en repaitre. Tu t’amuses de taquineries, de sourires narquois et d’œillades amusées tandis que les blagues s’échappent de tes lèvres avec des surnoms médiocres, masquant la possible peur que tu échoues derrière cette mascarade d’amusement. Bien sûr que tu t’amuses, mais tu ne dois aucunement dévoiler tes points faibles, ceux qui te font encore penser que la personne que tu étais auparavant est toujours là. Tu provoques pour annihiler, pour semer la discorde, tu fais mouche de façon à ce que l’on te réponde, et tu traques, sans arrêt, pour te sentir vivre. Tu aimes ce jeu de cache-cache, de passe-passe, où tu es le seul maître du jeu que tu instaures avec amusement. Tu orchestres avec grâce l’insurrection et la discorde que tu mènes dans l’esprit de ceux que tu as choisis et désignés comme proies parce que tu es ainsi : tu es le chasseur, tu n’es plus la proie, plus jamais. Maniaque, méticuleux et perfectionniste, c’est comme ça que l’on te caractérise. Même tes crimes sont faits avec la beauté d’une nature morte dans laquelle chaque pièce, chaque témoin est disposé avec la précision de celui qui souhaite rendre son œuvre aussi grandiose que possible afin d’en disposer la perfection. Tu ne supportes pas la saleté, tu ne supportes pas ce qui est désordonné, ayant ce besoin de contrôle sur tout ce que tu fais, tout ce que tu entreprends. Si tu décides que quelque chose est désordonné, c’est parce que tu l’as voulu ainsi, et pas autrement. Tu es un psychopathe, un prédateur et ça, il ne faut pas l’oublier. Tu préfères que l’on te craigne.

 Fils de la discorde, prenant le nom du goût du protectorat quand tu n’es pourtant pas homme à protéger la paix, bien au contraire, même si tu protègeras ceux à qui tu as juré loyauté et ceux qui inspirent ton respect, ce qui inclue toute la caste dite ‘monstrueuse’ ; tu apprécies les ennuis autant que tu les détestes, tu jouis de la liberté de semer la discorde et l’insurrection, de voir les autres s’entretuer pour une broutille que tu auras toi-même orchestré. Maître manipulateur, maître d’orchestre, tu te joues des mises en scènes que tu dessines, des situations que tu arbitres avec l’élégance de celui qui s’amuse de sa propre insurrection. Tu orchestres tes expressions, tu choisis si tu es expressif ou si tu demeures une pierre. Tu te fonds dans la foule, devenant avenant pour ceux que tu pourrais manipuler, t’amusant de mimiques et de folies orchestrées et dirigées par tes soins. Tu accordes une chance à chaque humain, leur donnant la possibilité, au fond de toi, de te prouver que tu as tort de les détester, même si… Au fond, tu sais que c’est faux, mais l’espoir subsiste, dernière flamme de ta folie, de ta psychopathie. Passé maître du camouflage, tu sais que tu peux aisément te fondre dans les civilisations que tu côtoies, ton visage étant suffisamment avenant pour permettre cette petite désillusion et permettre à ton commerce de prospérer. Tu es devenu, au fil des siècles, maître dans l’art de juger les gens et de les comprendre en quelques minutes de discussion ou de filature, comprendre ce qu’ils sont et qui ils sont, au-delà des masques, au-delà des parades et des attirails inutiles et futiles. Tu sais te tapir dans l’ombre pour observer, noter et comprendre les agissements et c’est ainsi que tu flaires les meilleurs contrats pour semer la graine de discord que tu aimes avec tant d’ardeur. Tu es cependant impulsif, et tu n’aimes que peu ne rien faire et être obligé à ne pas agir ; tu aimes attaquer, chasser et traquer jusqu’à l’épuisement. Une partie de ton occupation te pousse à être patient, à oublier cette partie de toi qui exultes de ton sang volcanique. Après tout, tu t’enflammes pour peu, que ce soit avec tes ennemis ou tes amis, que ce soit en bien ou en mal. Tu as beau être patient lorsque l’on te le demande, tu restes une bombe sur le point d’exploser et un rien peut t’enflammer, peut t’amener dans l’allégresse la plus totale ou la furie sans bornes, et ça.. Ceux qui te connaissent le savent et en jouent avec délicatesse comme toi, tu en fais de même avec eux, sachant très bien que la provocation et la taquinerie amène à cette petite explosion dans leurs yeux qui te fascinent avec la plus grande admiration. Une fascination que tu voues aussi à la mort, malgré tout. Tu es peut-être patient, peut-être un peu impulsif, mais tu navigues avec le danger, tes pas tremblants sur la corde fine, tes doigts jouant avec les limites de ce qui est considéré comme irresponsable. C’est peut-être parce que ton instinct de préservation a été entaché que tu t’amuses de te basculer si proche de la frontière ou parce que tes années de vie t’ont rendus orgueilleux, tu ne sais pas, tu ne t’en soucies pas. Tu te protèges tout de même un peu, tu te gardes, tu t’ériges des murs et des barrières aussi grandes que possibles pour ne pas être trahis ou déçu ou que l’on ne discerne pas toutes les faiblesses que tu possèdes malgré tout, ces petites faiblesses qui te rendent parfois attachant pour ceux qui arrivent à passer les barrières de flammes que tu manies avec une élégance de maître. D’autant plus qu’une fois ses barrières abaissées, tu sais que rien n’est laissé simple pour ceux qui y arrivent, tu te montres plus fragile, plus susceptible et toute raillerie peut être vite considérée comme une attaque, même si tu contiens tout ça sous ce masque de fer.

 Fils de la raillerie, tu prends le nom de celui qui cherche la connaissance dans la discorde que tu as semé ; si nombres de tes traits divergent des vampires qui cherchent à se cacher plus qu’à se dévoiler, tu en as quelques-uns en commun avec tes pairs. Tu es naturellement curieux mais tu as réprimé cette caractéristique depuis longtemps, surtout quand elle t’a attiré dans les griffes de bourreaux qui n’auraient jamais dû voir le jour. Aujourd’hui, il faut te piquer, te provoquer pour attirer ta curiosité, il faut creuser pour trouver cette flamme qui s’éveille en une vitesse folle parce que tu es ainsi, le feu coule dans tes veines, pour tout. Une fois que tu te plonges dans quelque chose qui t’intéresse, dans quelqu’un qui semble plus intéressant que les autres.. Tu ne fais rien à moitié. Soit tu fais les choses comme elles se doivent d’être faites, soit tu ne fais rien du tout. Néanmoins, une fois ta curiosité piquée, il faut la satisfaire et tu es comme un enfant sur ce point, tu n’es pas difficile à satisfaire si l’on sait atteindre tes attentes car elles sont généralement hautes, faute à ton âge. Tu as vu, tu as vécu, tu as connu ; malgré les masques de violence, de rage et de vengeance que tu portes à outrance, ton intellect n’est pas en reste et tu en connais long sur ce monde. Il sera difficile de t’arracher ses informations, difficile d’enflammer de longues discussions à propos de ce monde, mais une fois la boîte de Pandore ouverte, il se peut que tu n’en sortes pas, que tu enfonces avec toi tous ceux qui ont cherchés le savoir dans ta mémoire quasi parfaite. Un don et une bénédiction à ton sens puisque tu te souviens de tout jusqu’au détail le plus insignifiant. Cependant, malgré cette hypermnésie omniprésente, tu gardes précieusement tes souvenirs, tous tes noms comme des secrets, tes fragments de ta personne que tu ne partages pas. Car oui, si il est difficile de t’arracher de longues discussions sur le monde, il est tout aussi difficile de t’arracher des informations sur ton passé, ou du moins, sur certaines périodes de ton passé. Hanté par une mémoire trop vive, ce n’était pas comme si tu avais envie de les revivre vocalement non plus. Néanmoins, malgré cette réticence, tu le fais parfois, quand ton cœur est trop plein, que tu te sens suffoqué parce que tu sais que tu as tout gardé à outrance, asphyxié par la violence de sentiments, d’émotions que tu éprouves avec trop de force. Tu ne te dévoiles pas tant que ça, tu déballes juste ce qu’il faut pour revenir dans le personnage que tu t’es façonné avec perfection. Tu te railleras autant que tu te moques des autres, pour cette faiblesse tu que tu ne t’autorises aucunement. Tu n’autorises personne à s’inquiéter pour toi, à se questionner ne serait-ce qu’un peu sur si tu vas bien ou non, si tu es capable de faire les choses, tu les fais. Tu ne veux de la pitié de personne, même dans les instants les plus sombres, tu te fous et te contrefous de la compassion et pourtant comme tu supplierais pour un peu de tendresse bien que tu crains qu’il ne s’agisse d’une ruse pour te briser. Pour avoir ta confiance et ta loyauté pleine et entière, il faut se saigner, tout comme ton amour. Avoir ton respect est simple, ta confiance, c’est une autre affaire et rares sont ceux qui peuvent se vanter d’avoir dompté le félin sauvage qui résiste entre tes murs. Mais ceux-ci, ces rares-là, ont droit à de rares attentions de ta part. Ils voient Eren, celui que tu étais avant que l’on t’écrase, ils voient celui qui avait de l’espoir, de la douceur, et un peu de bonté pour beaucoup de choses. Dans de rares moments, comme des flashs de bombes, tu apparais avec un peu de douceur, tu t’abandonnes, tu abandonnes le contrôle pour te laisser aller, pour oublier que tu es ravagé jusqu’à l’os, tu oublies la vengeance, tu oublies jusqu’à ton existence même. Tu te laisses contrôler, surplomber en laissant parfois les larmes venir bien qu’elles soient rares. Ils peuvent voir le vieil artiste dans l’âme que tu es, qui pratique avec minutie et délicatesse ses bombes, dévoilant tes pigments de couleur dans les fumées de tes explosifs et tes fumigènes, dévoilant l’importance que tu apportes, malgré toi, à la beauté de ton meurtre. Il n’est pas rare de te voir danser entre les lames, un pas derrière l’autre, dansant avec l’extasie de l’adrénaline, dansant avec la légion de la mort entre tes doigts, et entre tes côtes, ce cœur qui bat si fort pour tout malgré ton absolution de son existence. Ta colère est explosive, elle est  bestiale et tu sais bien qu’il ne faut nullement la provoquer car ta raison est oubliée, c’est l’animal qui parle sans réfléchir aux mots que tu déploies, c’est celui aux dents de scie qui se mut dans un festival de sang, ce même liquide dans lequel tu trouves l’extasie d’une vie nouvelle de ton esprit de carnivore insatiable.

 Fils de la décadence, tu empruntes à tes pairs l’attrait de la supériorité et du contrôle, de la maniaquerie et de la cruauté à outrance quand tu enflammes telle une bougie ; apathique avec tes ennemis, à peine plus empathique avec ceux que tu considères comme des alliés et des amis. Tu n’es pourtant pas le Diable incarné, loin de là. Si tes ennemis subiront ta colère, ta rage, ta haine et soif insatiable de vengeance, tes amis et tes alliés auront droit à la compréhension, au calme, au respect que tu leur offres en retour du leur. Si tes ennemis subiront ta pyromanie volcanique, tes amis pourront compter sur ton sourire chaleureux, empli de ta chaleur inhumaine. Tes amis trouveront l’amitié que tu donnes sans guère de concession une fois acquise, trouveront ton côté taquin, ton prisme joueur par lequel tu aimes à te donner. Tu es joueur, tu aimes t’amuser et taquiner à souhait, à outrance même si bien qu’il n’est pas rare que certains s’énervent de tes combines car tu uses et abuses de tes talents pour ça. Passé expert dans l’art du cache-cache, du camouflage et de l’infiltration, passé maître dans la taquinerie de bonne augure, tu sais exactement comment embêter quelqu’un, comment le faire tourner en bourrique si bien que parfois, tu ne sais pas quand t’arrêter, quand stopper le jeu. Tu es ainsi, tu ne fais pas les choses à moitié, et parfois…Tu les fais un peu trop, poussant jusqu’à ce que la ligne soit franchie. Ceux qui te connaissent suffisamment bien savent que c’est un moyen pour toi de t’ouvrir sans trop t’exposer, sans trop en dévoiler. Tu te masques de fausse vexation, de fausses mimiques pour couvrir le fait que parfois, tu t’en veux d’être allé trop loin. Mais c’est un jeu, tu as pris ta vie comme un jeu auquel tu es devenu maître. Ceux qui te connaissent bien, également, arrivent à te trouver dans la paresse la plus infinie, entortillé dans des fils ou dans la chaleur de nombreux coussins, ou même te trouver allongé sur une poutre à souffler quelques mélodies à l’ocarina, à chanter quand tu penses que personne ne te vois. Mais ils savent aussi que toute raillerie disparaît quand on demande ton sérieux le plus intègre, ton calme le plus palpable, et qu’une fois que tu écoutes, tu es aussi studieux qu’un élève d’Oxenfurt. Pourtant, dieux seuls savent à quel point tu es facilement distrait par la raillerie ou la taquinerie, mais tu essaie, malgré tout. Ça ne marche pas toujours, mais tu essayes. Tu es un peu têtu, il faut le dire également, et une fois que tu as une idée logé dans ton crâne, elle n’est pas ailleurs, tout comme tu ne te laisseras pas mourir comme ça. Si bien qu’il t’arrive d’être foncièrement réticent aux ordres et aux commandes, même si tu sais mieux que de ne pas écouter. Cela dit, tu es un enfant sur ce point et tu aimes désobéir, au fond, surtout si ça ne te plaît pas. Personne depuis longtemps n’a réussi à te faire faire quelque chose que tu ne voulais pas. Cependant, tu es loyal et tu tiens à cette maigre notion, tu tiens à cette loyauté que tu offres parfois difficilement si bien qu’il faudrait te briser à nouveau pour te faire partir. Tu protèges ce que tu estimes être tiens et ce qui t’apporte si bien que tu serais capable de mourir pour ça, pour cette simple raison, mais tu en es loin encore, même si l’ombre ne disparaît jamais totalement.

 Fils de la misère, tu empruntes à tes pairs cet attrait pour le camouflage et le besoin de peu pour survivre quand tu pourrais vivre de la décadence de tes propres tarifs ; tu sais ce que tu vaux et tu n’estimes pas avoir besoin de prouver que tu es bon dans ce que tu fais. Narquois, acerbe, amateur de l’humour noir et déluré, tu te contentes de peu et malgré ton aspect violent et ta tendance à la cruauté, il est assez facile d’attirer tes rires et tes fous rires, qu’ils soient dans le but simple de la moquerie et de la pureté simple d’une blague. Cependant, tu restes la personnification de l’excès. Rien à moitié, c’est tout ou rien. Cependant, malgré ces masques de dureté, tu n’es pas le Diable, tu n’es pas la pire crevure de ce monde même si tu aimes à le faire croire. Un peu douceur existe sous la surface, un peu de tendresse que tu accordes à peu, un peu d’attention et de compassion que tu laisses surgir parfois. Derrière la cruauté et la violence, il y a un homme dont la tour de l’angoisse s’étend par son âge. Derrière l’amour pour le danger, l’amour de la pyromanie, de la torture et du poison, il y a le chat paresseux qui arrive parfois à se questionner sur ses choix de vie, sur ce qu’il a fait de son futur, s’il ne l’a pas foutu en l’air, s’il n’a, tout simplement, pas déjà un pied dans la tombe. Il y a le vampire amer, celui qui a tout perdu et qui cherche à retrouver ce qu’il a connu, qui cherche la confiance malgré une méfiance des plus glaciales. Il y a le vampire aux barrières plus hautes que les murs de Novigrad, le vampire qui éprouve avec violence, avec dureté et qui malgré tout, ne sent pas à sa place, même s’il ne le dira jamais. Il y a le vampire qui a le mal du pays, celui qui observe le rebord de la falaise en se demandant si sauter est la libération, celui qui observe les flammes de son propre carnage avec le dédain de ses actes d’une certaine manière, il y a le déni de celui qui se conforte de sa propre violence. Il y a l’être qui, au fond, souhaite juste rentrer chez lui, trouver sa place, celui qui cherche encore la lueur d’espoir, la lumière derrière les ombres, qui cherche à effacer les voix de l’affamé pour retrouver la quiétude. Il y a le vampire de la revanche, de la discorde, celui qui n’hésite plus à tuer, qui prend plaisir à le faire et à se repaître du sang de victimes innocentes, ou non. Il y a l’homme derrière le masque, un spectre difficile à détailler tellement les fils s’entortillent autour de son esprit comme une nécrose métaphysique. Tu n’es pas le démon incarné, tu  n’es pas la personnification de la violence pour tous, tu es le juge et le bourreau. Tu es hanté et tu vis de tes démons, les affrontant avec chaque pas te rapprochant d’une mort que tu n’estimes plus. Tu es le sang, le danger, la cruauté et la mort, tu es l’impulsivité, l’impatience et la précision, tu es l’anarchie, la discorde, l’insurrection, la revanche mais tu es aussi la gourmandise, la paresse, la douceur, le rire, le sourire, le respect, la loyauté. Tu es la méfiance, la protection d’autrui, la révolte, l’angoisse, la confiance, l’amertume, la manipulation, l’honnêteté, le franc-parler, l’actif, la maladie, le poison, le feu et la souplesse. Tu es tant d’adjectifs qui se réunissent en un seul méli-mélo de rubans avec lesquels tu joues. La proie et le chasseur. Le meurtrier et la victime. Le pyromane et la flamme. L’alchimiste et le poison. L’animal et l’humanité. La torture et la douceur. Le flegme et l’ivresse. L’amour et la haine. L’assassin et le parfumeur. L’avenant et le terrifiant. Le joueur et le sérieux. L’intellect et le je-m’en-foutisme. L’inquiétude et la protection. Le colérique et l’insatiable. Le Mat et l’Empereur. La Lune et le Jugement. La Tour et le Pendu. Tu revêts le masque, et tu lances tes bombes, prêt à la revanche que tu attends avec tant de ferveur. Tu es Eren, le vampire du passé, et Kayn, l’assassin sans scrupules réunis en un seul personnage : Sascha, celui qui cherche l’absolution. C’est toi.


get to know better
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Quelles sont tes capacités physiques? Possèdes-tu des compétences magiques? Quel est ton petit plus ? En tant que vampire supérieur de deux millénaires d’existence, tes compétences sont égales à ton ancienneté. Tu es rapide, très rapide si bien qu’il est rare que l’on puisse t’attraper, de plus, ta forme de fumée, de couleur rougeâtre, aide à cette rapidité et furtivité exemplaire. Comme certains de tes paires, tu peux réduire ta fumée à être presque invisible, ce qui te rend très difficilement détectable. Tes deux millénaires d’existence t’offre également une forme complète de gigantesque chauve-souris aux ailes noires et rouges. En terme de combat, tu n’es pas celui que l’on appellerait en premier sur un champ de bataille, surtout en combat à distance, maîtrisant avec bien plus d’aisance les arts de la discrétion, mais il serait mentir que de dire que tu n’es pas bon en combat rapproché, tes griffes et tes crocs, ainsi que ta vitesse, aidant très largement, à défaut d’avoir une musculature herculéenne.
Que peux-tu nous dire sur ton métier? Sur ce que tu fais au quotidien? Tu possèdes trois emplois qui occupent plutôt bien tes journées, bien qu'une seule d'entre elle soit à temps plein et sans jours de congés, notamment ton rôle comme bras droit d'Ataroa Nalani, le meneur du Nattångar, l'aidant du mieux que tu le peux avec tes compétences. A côté de cela, tu n'es autre qu'un assassin, sautant sur tous les contrats tant que la prime est haute et qu'elle ne concerne aucunement un monstre. On vient te trouver en tant que Kayn quand il y a besoin de ton expertise en assassinat. En parallèle de ça, tu mets au service des autres tes talents en alchimie et la parfumerie, possédant ta propre échoppe pour vendre tes parfums, aidé d'un assistant qui s'en occupe quand tu es occupé ailleurs.
Possèdes-tu une arme de prédilection lors des combats? Si oui, quelle est-elle et comment l'as-tu obtenue? Si non, est-ce que tu te considères comme polyvalent? Tu n'es pas polyvalent, la preuve en est que tu ne sais pas te servir d'une arme lourde, d'un arc ou d'une arbalète, au mieux, tu sais gérer une lance ou une épée mais globalement, tu es plus à l'aide avec les armes furtives telles que les dagues, les poignards ou mieux, tes poisons et tes bombes. Néanmoins, tu demeures un adversaire plus qu'acceptable en combat à main nues, sans utilisées tes armes naturelles. Tu es également amateur de torture, quand tu fais tes assassinats. Tu possèdes cependant un poignard que tu achetas il y a bien longtemps, lorsque les elfes étaient encore maîtres de Toussaint, mais ce n'était pas comme s'il avait une signification plus importante que son utilité.
Quelles sont tes idéologies par rapport au groupe auquel tu appartiens ou veux appartenir? Tu ne te mêles pas à eux, alors tu n’en as aucun. L’assassinat ? C’est un prétexte pour tuer pour toi, rien de plus. Tu ne te tiens que sous la bannière du Nattångar, quand bien même tu t’infiltres dans les armées humaines en faisant fi de leur politique, dans le simple but de semer la discorde, rejoignant les rois et murmurant dans leur sommeil des directives de litige.


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Possèdes-tu des traits physiques particuliers? Tatouages? Piercings? Lunettes? Anormalité physique? Des bijoux? Physiquement, tu te fonds dans la masse, bien que tes yeux couleurs aciers puissent détonner parfois. Ton physique n'est pas fait de muscles herculéens mais tu es loin de ne pas en posséder. Tu prends soin de toi, refusant de vieillir comme certains de tes pairs, et même si tu ne l'avoues pas, tu apprécies le faire. Tu possèdes un unique tatouage qui est cependant sur tes deux mains, le tatouage de ton clan. A l’inverse de certains de tes pairs, tu n’as pas le signe de ton clan dessiné en entier. Tu as la goutte noire au centre de ta paume, ainsi qu’une goutte sur le bout de chaque doigt, ce qui donne le signe de ton clan. A côté de ça, tu es plus ou moins criblé de cicatrices, majoritairement petites, des marques de morsures, néanmoins seules deux sont à retenir. La première est au niveau de tes côtes, à gauche, en forme de croissant, partant de la naissance de ton dos pour rejoindre le dessous de ton pectoral. La seconde est une marque de griffure, trois stries bien nettes qui partent de l’arrière de ton oreille pour rejoindre la base de ton cou, en diagonale, souvenir d’un séjour à l’arène du sabbat. Des marques de morsures de serpent ou de scorpions sont également visibles, au niveau de tes poignets ou de tes coudes. En tant qu’assassin, en tant que Kayn, personne ne voit ton visage, soit masqué par une capuche soit par un masque animalier. On sait où te trouver, quoi te dire, on sait le nom de code, mais c’est tout.
Possèdes-tu un animal de compagnie? Si oui, dis nous en un peu plus? Ton habilité à communiquer avec les corbeaux te donnent ainsi un lien tout particulier avec ces volatiles mais ce n’est pas pour autant que tu en as un attitré à ta personne. Néanmoins, tu possèdes d’autres animaux, bien à toi, autant utilisés pour leur poison que pour ton propre plaisir personnel : différentes espèces de serpents, de scorpions, d’araignées également. Certains sont issus d’un ancien pacte fait avec un mage, des personnalités que tu as enfermé dans le corps de ses créatures particulières. Tu possèdes cependant une créature bien à toi, un chien au sauvage au pelage aussi noir que la nuit, recueilli en bas de chez toi, blessé, il y a de ça un ou deux ans. Le bout de ses oreilles est teinté de roux, de même que le bout de ses pattes et de sa queue. Ses yeux sont deux billes bleues et tu as décidé de le nommer Solbek.
Quelles sont tes activités favorites en dehors de ton travail? Quand tu ne tues pas ? Oh, tu te prélasses, généralement, tu expérimentes pour bombes et poisons ainsi que parfums. Oh, tu aimes te balader également, redécouvrir, avec un œil nouveau, les lieux que tu as déjà visité, tu aimes grimper, escalader, te retrouver dans des lieux incongrus et trouver des lieux étranges. Ah, tu aimes bien, également, t’incruster dans les soirées de la bourgeoisie, sachant que tu trouveras des clients pour tes assassinats mais également tes quatre heures. Oh, tu aimes bien lire aussi, et te retrouver, de temps en temps, avec tes pairs monstrueux pour une discussion sur la nostalgie d’un monde voué à ne jamais être retrouvé. Tu es un peu paresseux, alors tu profites généralement de ce temps pour dormir, te reposer un peu. Vieil artiste dans l’âme, tu aimes l’art, malgré tout et il n’est pas rare de te voir contempler les structures architectures, d’essayer quelques croquis que tu juges toujours immondes d’ailleurs. Tu sais également jouer un peu d’ocarina et de luth, et même si tu ne l’avoueras jamais, il t’arrive de chanter, quand tu es sûr que personne ne peut t’entendre. Tu fredonnes également, mais dans le silence de ta maison. Tu aimes parcourir les marchés à la recherche de pigments pour tes bombes, des bons assortiments colorés. Tu n’as pas besoin de grand-chose pour être occupé, bien que tu ne sois pas hyperactif pour autant. Tu aimes tout ce qui brille et les armes sont une véritable fascination ainsi les échoppes de forgerons et d’armuriers sont un véritable paradis pour tes yeux, tout comme les échoppes d’herboristes et d’alchimistes. Tu aimes nager, également, trouvant qu’il s’agit d’une activité qui te détend incroyablement, qui te calme.
En trois mots, décris nous ton passé, ton présent et ton futur ? Déception, Légion, Sauvage.
Quel est ton opinion vis-à-vis de la Destinée? Bien longtemps que tu n'y crois plus, à cette foutaise, même si des événements t'ont fait de questionner à ce sujet. Cependant, tu aimes la provocation, alors quand bien même elle existerait...
who are you?
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*tousse* no comment. Fonda en carton, fonda  à l’imagination trop fertile. Tiababylo, pour vous servir, à nouveau.
Sascha vir Malphàs
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Adélice Vaer Déharronis
Death holds no surprises.
Adélice Vaer Déharronis
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Habite à Habite à : Novigrad
Couronnes Couronnes : 28256
Messages Messages : 61
Death holds no surprises.
Ven 19 Avr - 18:09
Je vais être le premier ?! Oui !!
WELCOME A CE BEAU BABY!!! Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2527587494 Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2165808251

Amuses toi bien avec babe !
Adélice Vaer Déharronis
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Invité
Invité
Anonymous
Ven 19 Avr - 20:32
BHFIUEJKHFKUHFIOHSHFHF Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 3449228946 Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2862203121 *décède*

Mais cette fiiiiiiiiche Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 3520355265 Une telle perfection ça devrait être interdit, d'abord. Après nous on complexe Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 3221428672 J'ai enfiiiiiin pu découvrir le personnage dans son intégralité et blblblblbl, une véritable perle, j'adore rien à y redire Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 499913426
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Katarina Farah
the senses can be fooled, easily.
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Race Race : Elfe Aen Seidhe
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Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake Tumblr_p9v6yh6c1b1wqek5ao1_540
the senses can be fooled, easily.
Sam 20 Avr - 0:45
Re Bienvenue à toi!

Tellement parfaite cette fiche!

Je seconde les avis de tous!  [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Bien hâte de RP avec lui! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Katarina Farah
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Sascha vir Malphàs
Death holds no surprises.
Sascha vir Malphàs
Race Race : Vampire Supérieur
Habite à Habite à : Ta maison et ton échoppe sont à Beauclair mais tu bouges beaucoup
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Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake A416ad7f59c6acdbf24b210b31b9931e
Death holds no surprises.
Dim 21 Avr - 1:15
Adé MARCI Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2862203121
On se trouvera un lien, obviously Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2862203121

Roa bblblblblblblb Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2862203121
je suis vraiment contente que le personnage te plaise blblblblbl Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2862203121 cela dit... ma fiche est loin d'être une perfection so.. no need to complexer, really D:
& hâte de faire des rps, huh Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 3520355265 Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2968368153

Kata maaaaaarci Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2862203121
contente que la fiche et le perso te plaise blblblbl (même si je reddit: la fiche est loin d'être parfaite D:)
& hâte également d'avoir le rp où la dignité de ta chère magicienne sera écrasée ! Sascha Vir Malphàs ✜ stride across the centuries and death follows, churning in your wake 2968368153
Sascha vir Malphàs
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