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Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster »
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Anonymous
Mar 9 Avr - 12:30
WE'RE A DYNASTY IN THE MAKING, WE'RE THE ROYALTY
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Ataroa Nalani

ft. Ranveer Singh
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nom: Nalani → plus qu'un nom, c'est le surnom que lui donnait son père. Il signifie roi du ciel, plutôt approprié pour un dragon tout en ailes ; prénom: Ataroa ; âge: 1620 ans ; lieu de naissance: Le monde d'origine des dragons ; lieu d'habitation: Dans la périphérie de Novigrad ; date de naissance: L'an -346  ; race: Dragon blanc et or ; profession: Forgeron & meneur du Nattångar → le premier sert à s'intégrer parmi les humains (si au passage il peut les aider à s’entre-tuer en leur fournissant des armes, au nom de quoi il les en empêcherait), le second est sa vocation véritable pour laquelle il ne compte ni les heures ni les sacrifices ; situation amoureuse: En couple → épris d'un agaçant vampire pas toujours très net, mais il l'aime quand même (pas toucher, sinon il mord. Fort) ; situation financière: Fluctuante → jamais vraiment dans le besoin, mais certainement pas riche ; orientation sexuelle: Pansexuel & homoromantique → expérimenter les plaisirs de la chair avec tous les genres et toutes les races n'est que rarement une corvée, et même un bon moyen d'obtenir ce qu'on veut, parfois. En revanche quand il s'agit de tomber amoureux, sa préférence va au genre masculin ; groupe: Citoyens

you're a storyteller
I picked my poison now I'll drink it to the bitter end

Notre histoire commence il y a longtemps, sur un autre monde que celui où la plupart des humains naissent aujourd’hui. C’était un monde sauvage que se partageaient de terribles créatures. Parmi celles-ci on trouvait de grands reptiles ailés au crâne ceint de cornes, l’échine hérissée d’épines, capables de déchaîner d’un souffle le feu de l’enfer. Les dragons, comme ils ont été nommés tardivement, comptaient sans conteste parmi les espèces souveraines de ces terres. Tous n’étaient cependant pas identiques. Les noirs, les plus imposants de tous, étaient les seuls à savoir cracher de l’acide, tandis qu’à l’inverse les blancs, sans doute les plus petits parmi les leurs, exhalaient un souffle glacial. Les nuances étaient nombreuses.
Si la majorité des couples se formaient entre représentants d’une même sous-espèce, cela n’empêchait pas des plus disparates d’apparaître de-ci de-là, donnant ainsi naissance à des générations qui, avec un peu de chance, pouvaient cumuler les talents de leurs parents.

Slavsia était une dorée d’une taille impressionnante, régnant d’une main de maître sur son domaine. Habituée à vivre seule, elle ne se voyait pas prendre un compagnon, et quand bien même ce serait le cas, pas un seul instant elle n’aurait pu envisager accepter de fonder une famille avec autre chose qu’un comparse aux écailles d’or. Ceci dit elle révisa son jugement le jour où un intrus transgressa ses frontières. C’était un mâle d’un blanc si pur que la neige aurait pu paraître grise en comparaison. Avant tout ce sont ses manières qui ont intrigué Slavsia, puis l’ont finalement charmée. Faut-il dire que Haunani ne se trouvait pas là par hasard, bien au contraire ! Cela faisait quelques semaines déjà qu’il avait aperçue la dragonnelle au détour d’une chasse sur la bordure de son territoire, et aussitôt il s’était trouvé subjugué par sa beauté.

C’est ainsi qu’en l’an -346 naquit un frêle dragonnet. Un seul, oui. Le reste de la couvée avait été écartée du nid par Slavsia lorsqu’elle réalisa que les oeufs n’abritaient pas plus de vie que des pierres. La dragonnelle ne fut pas davantage satisfaite par l’allure du petit survivant. Celui-ci lui paraissait trop maigre, trop faible. A son grand désarroi il avait davantage pris de son père blanc que d’elle. A vrai dire l’état de faiblesse du dragonnet était tel qu’elle proposa même à son compagnon d’abréger les souffrances de leur progéniture et prier pour que la prochaine couvée naisse sous de meilleurs auspices. Haunani s’en offusqua terriblement et, bien sûr, refusa avec toute la fermeté dont il était capable. Devant la détermination de son partenaire, Slavsia céda. Après quelques jours de réflexion, le dragonnet fut nommé Ataroa.

Malgré un début de vie difficile, le nouveau-né ne se laissait pas démonter pour autant. Lorsque quelque chose l’effrayait, un peu à la manière d’un chat il arquait le dos et crachait de toutes ses forces. Parfois même il poussait la témérité jusqu’à bondir sur l’objet de son mécontentement pour y planter ses petits crocs. Les menaces demeuraient, heureusement, la plupart du temps fictives. La scène amusait toujours beaucoup ses géniteurs, ceci dit. Car que personne n’en doute, le dragonnet était aimé.

Mais rien ne se passe jamais on pourrait le souhaiter, surtout pas dans un monde aussi brutal que celui-là. Un jour Slavsia n’est pas revenue au nid. Son compagnon l’a attendu de longues journées durant lesquelles il guettait l’horizon tout en gardant un oeil sur leur petit. Rien. Le coeur déchiré, il attrapa un Ataroa encore trop jeune pour réaliser ce qu’il se passait et prit son envol. Ils ne pouvaient pas rester sur un territoire possiblement compromis. Hors de question de risquer la vie de son seul dragonnet. Il l’éléverait donc seul.

Plus Ataroa prenait de l’âge, et plus il devenait évident qu’il n’atteindrait jamais la masse impressionnant des dragons dorés. A vrai dire, même pour un blanc il paraissait chétif. Presque fragile. Voilà pourquoi Haunani ne l’a pas épargné lors de son éducation. Parce qu’il ne partait pas sur un pied d’égalité avec les autres, il devrait faire plus. Il devrait se montrer plus déterminé, plus intelligent. Il devrait explorer ses limites, maîtriser son corps du mieux possible, connaître les cartes qui sont les siennes et l’étendue du jeu qu’elles lui permettent. Le droit à l’erreur, Ataroa ne l’aurait pas -ou que très peu. La nature est ainsi faite qu’elle est cruelle, les dragons ne sont pas forcément plus tendres, pas même entre eux. Du moins pas ceux qu’ils avaient pu croiser ou côtoyer.
Haunani apprit à son fils l’art de se déplacer en silence pour mieux prendre ses proies par surprise, les subtilités de la survie au sommet des montagnes, ou comment cracher la glace. Mais ce qui marqua irrémédiablement Ataroa, ce furent sans conteste les leçons de son père sur le vol. Pour lui qui était tout en ailes, bien plus léger que la majorité de ses pairs, voler était un véritable plaisir. Une passion dont il ne se lassait jamais. Doté du même type de musculature, Haunani put enseigner à son petit tout ce qu’il avait lui-même expérimenté au cours de sa vie, mais aussi lui transmettre le savoir qu’il tenait de ses propres parents. Ataroa a grandi avec les récits glorieux d’une grand-mère que l’on disait si vive, aux écailles si immaculées, que de nuit quiconque aurait levé les yeux et l’aurait vue fendre le ciel aurait cru avoir aperçu une étoile filante. Sans doute était-ce exagéré, tout enfant qu’il était il en avait conscience, mais à imaginer c’était tellement beau.

Le dragonnet gagna en taille, devenant un jeune dragon indépendant rêvant de découvrir le monde de ses propres yeux. Haunani ne le retint pas. Son fils était prêt, il n’avait aucun doute là-dessus. Ils séparèrent après de derniers adieux, et c’est avec la certitude que sa mère aurait été fière de lui qu’il prit le direction du nord.

Ataroa voyagea de longues années. Les paysages qu’il traversa et les créatures qu’il croisa l’enrichirent énormément, mais surtout satisfèrent son intarissable soif de connaissances. Jamais définitivement, ceci dit. L’envie d’aller plus loin, de courir après cet horizon qu’il voyait s’esquisser au loin, juste pour voir si un jour il serait capable de le saisir, était trop tentante.

Une nuit, il fit la rencontre d’un autre dragon. Un noir, qui devait avoir à peu près son âge. Tellement plus massif que lui pouvait l’être, avec des membres épais, des cornes deux fois plus larges que les siennes, et une gueule dardée de crocs en dents de scie. D’abord méfiant, surtout lorsqu’il crut deviner que cet inconnu le suivait, Ataroa s’empressa de rejoindre un perchoir depuis lequel il pourrait l’observer sans être vu. Clairement, il le filait.
Alors il mit en oeuvre ce qu’il avait appris et s’abattit sur lui de tout son poids, avant de bondir plus loin. Le tuer n’était pas ce qu’il voulait. Non. Ce n’était rien de plus qu’un avertissement. Quand le noir se releva, l’air plus déboussolé qu’autre chose, Ataroa se tenait solidement debout sur ses quatre serres, à quelques dizaines de mètres de là. Les ailes à moitié ouvertes comme pour se faire plus grand, babines retroussées dévoilant ses canines effilées, tout dans son attitude montrait clairement qu’il était prêt à défendre chèrement sa vie. Reculer ? Certainement pas. Pas lui.
Mais à sa grande surprise, l’autre n’était pas agressif. Bien au contraire, puisqu’il se présenta le plus calmement du monde sous le nom de Sharukinn, même un peu timidement. Ataroa fronça les naseaux quand il comprit que ce grand nigaud pensait avoir affaire à une dragonnelle. Agacé il le remit à sa place tandis qu’il repliait ses ailes. Le noir aurait dû partir en comprenant son erreur… Mais non. Peu importe, qu’il répondit.

Depuis cette nuit, Sharukinn insista pour suivre Ataroa partout. Ataroa, pour sa part, ne fut pas si difficile que ça à convaincre. La solitude commençait à lui peser, malgré son tempérament quelque peu solitaire. Au fil du temps et de leurs voyages, les deux dragons se sont rapprochés jusqu’à former un couple indissociable. C’est d’ailleurs au contact de son compagnon qu’il apprit à maîtriser un second souffle, celui-là hérité de sa mère dorée : la vapeur.

•••

La suite de ce récit prend place après la Conjonction des Sphères, sur le monde que nous connaissons tous aujourd’hui. Pour Ataroa et Sharukinn, ce fut l’occasion de faire la rencontre de nouvelles créatures. Des bêtes très étranges, petites, dépourvues d’écailles, de fourrure, ou même de griffes et de crocs. Incapables de voler ou de cracher quoique ce soit. Leur survie reposait de toute évidence sur leur sens de la débrouillardise et leur intelligence -toute relative. Un peu sur l’effet de groupe, aussi. Humains, elfes ou nains, les deux dragons ne parvenaient pas à comprendre comment fonctionnaient leur mode de vie.

A cette époque, Ataroa a commencé à user de son talent de polymorphie pour se mêler à ces singuliers bipèdes. La curiosité l’animait, il voulait voir par lui-même, comprendre. Pour sa part Sharukinn ne pouvait qu’attendre avec anxiété, étant un noir pur et donc dépourvu de ce don pour la métamorphose. Ceci dit, son compagnon se lassa vite des humains. L’excitation de la nouveauté passée, une fois les informations principales glanées sur cette espèce, il retourna à sa vie de dragon auprès de sa moitié.

Une trentaine d’années plus tard, alors que le couple parcourait le continent du nord à la recherche d’un bon territoire, ils firent une macabre découverte. Dans une large caverne à flanc de montagne reposait le corps sans vie d’une dragonnelle rouge. Contre son ventre, une couvée de cinq oeufs. Trois d’entre eux étaient déjà froids, perdus, mais deux vivaient encore. Sharukinn ficha son regard doré dans celui de son compagnon. Ses intentions étaient claires, il refusait d’abandonner des petits à une mort certaine. De son côté Ataroa se montra moins enthousiaste à l’idée d’élever des dragonnets. Est-ce qu’il serait capable d’être un aussi bon père que le sien ? Aurait-il les épaules suffisamment solides pour ça ? Ils avaient à peine plus de cent ans, ils étaient encore de si jeunes dragons ! Mais comment résister face à la détermination de son compagnon, quand on l’aime jusqu’à la dernière fibre de son être. Ataroa céda, non sans espérer qu’ils ne commettaient pas une grossière erreur.

Hélas, cette histoire est jonchée de tragédies. Moins de dix ans après avoir fait leurs premiers pas sous le soleil, les deux dragonnets furent assassinés par des chasseurs elfes. Sans doute pour les dépecer et revendre leurs écailles, leurs os, leur sang. Tout ce qu’ils pourraient exploiter. C’est Sharukinn qui les en empêcha. La nature profondément douce du noir s’effaça ce jour-là totalement devant la fureur d’un père auquel on venait de voler ses enfants. Aveuglé par le chagrin et la colère, il remonta leur piste avec dans l’idée de ravager tout ce à quoi ces bourreaux tenaient.
Quand il revint auprès d’Ataroa, quelques jours plus tard, son épaisse cuirasse ébène était hérissée de flèches et de lances. L’un de ses yeux avait été crevé, et l’une de ses ailes pendait pitoyable sur son flanc. Le blanc et or resta près de sa moitié, pansant ses plaies du mieux qu’il pouvait. Tous les bons soins d’Ataroa ne suffirent malheureusement pas. Sharukinn s’éteignit des suites d’une infection après de longs jours où son compagnon le veilla, frustré d’être si impuissant face à l’agonie de celui qu’il aimait.
S’il ne partit pas réclamer vengeance, depuis ce jour plus aucun elfe ne put croiser la route d’Ataroa et en ressortir indemne.

•••

Nous sommes à présent en 789, et depuis quelques années Ataroa observe d’un oeil suspicieux les humains coloniser le nord du continent. Leur capacité d’adaptation continue de l’étonner, après tous ces siècles. Ils ont presque quelque chose de fascinant, quelque part...
Finalement rattrapé par l’ennui et la solitude, le dragon se glisse à nouveau dans la peau de l’un d’entre eux. Ils ont changé, les humains. C’est un monde de nouvelles connaissances qui s’ouvre à lui. Ataroa est ravi de pouvoir parcourir de nouveaux ouvrages, apprendre de nouvelles langues. Là il fera même la rencontre d’un humain, charmant en tout point, qui au bout de quelques années deviendra son amant. S’adapter à cette nouvelle dynamique relationnel est aussi déroutant qu’excitant pour le dragon. Finalement en confiance, il dévoilera alors à cet homme ce qu’il est réellement.

Nouvelle erreur. Si l’humain ne dit rien au premier abord, quelques jours plus tard Ataroa comprend l’ampleur de la trahison. Faudrait-il être aveugle pour ne pas y arriver, quand on est enchaîné et maintenu au sol comme un vulgaire animal, la gueule maintenue solidement close et les ailes plaquées de force contre ses flancs. L’humiliation et la douleur sont si vives que le dragon a la sensation qu’il pourrait en mourir.
Hors de question. Ses mâchoires s’écartent juste suffisamment pour qu’il puisse laisser s’échapper son souffle glacé. Les maillons gèlent, se brisent. Quelques habiles manoeuvres plus tard, les humains qui n’ont pas réussi à fuir gisent taillés en pièces ou figés dans la glace. L’amant traître, quant à lui, est piégé sous la serre d’Ataroa. En dernier recours, il tente d’en appeler au reste de tendresse que le reptile doit encore avoir pour lui, quelque part. L’espace d’un instant, le dragon paraît hésiter. Toutefois le dilemme est de courte durée. C’est un jet de vapeur qui lui tombe dessus, avant que Ataroa ne disparaisse dans les airs en quelques coups d’ailes. Oh, il aurait pu le tuer nettement. Un coup de crocs pour lui arracher la tête, ou bien l’écraser sous sa patte. Mais non. Trop rapide. La peau mise à vif, les nerfs brûlés, les muqueuses asséchées, son corps le ferait souffrir de longues journées, peut-être même d’interminables semaines avant que la mort ne daigne enfin venir le faucher. Si l’infection ne l’emporte pas avant, en lui gangrenant les chairs.

La leçon fut amère. Rongé par la colère, la peine et la douleur, les braises de la rancune que le décès de Sharukinn avaient allumées n’en furent qu’attisées. Tout humanoïde n’est que mensonge, tromperie, et mauvais augure. Ils ne savent rien apporter de plus que la destruction et la souffrance, même quand ils essaient de faire le bien. Si c’est ainsi qu’ils veulent jouer, très bien. Lui aussi en est capable.

•••

Son histoire, cependant, n’est pas la seule à avoir pris un tournant aussi malheureux par la faute des humains. Ces autres créatures qu’ils ont choisi d’appeler des “monstres” -comme si eux n’en étaient pas- il ne pouvait décemment pas les laisser seules face à l’adversité d’un monde dominé par une espèce qui ne souhaite que leur destruction. Voilà pourquoi Ataroa a rassemblé les amis et les alliés qu’il a pu rencontrer tout au long de sa vie. Ceux qui étaient encore là pour répondre à l’appel, tous ceux qui se sont sentis concernés, se sont unis sous une seule et même bannière. Ainsi naquit le Nattångar. [Note : le “å” se lit comme un ô -des bisous.]

Le Nattångar, c’est une confrérie de créatures non humaines qui s’est dispersée un peu partout dans le monde au fil des siècles. Ce sont des monstres lassés d’être pourchassés, qui désirent se venger, aider leurs semblables, ou faire barrage face à la cruauté humaine. Ils aident les fugueurs à se trouver un abri, proposent de réparer les torts causés, offrent un but à ceux qui seraient perdus.

Lorsqu’en 960 les nouvelles de la création des sorceleurs parvint aux oreilles d’Ataroa, son premier réflexe fut de fulminer. Comment osaient-ils enfoncer davantage encore le clou ? Ils n’en avaient donc pas assez fait, ils n’en avaient pas assez tués ? La tentation fut grande de tenter le tout pour le tout et d’attaquer frontalement les écoles toutes fraîches pour anéantir le mal dans l’oeuf. Mais il n’y avait aucune chance de victoire. A vrai dire, il y avait même de grandes chances pour que ce soit le Nattångar qui se retrouve rayé de la surface de ce monde. Ce que, bien évidemment, son meneur ne permettrait pas. Alors il fit passer le mot à ses partisans. La discrétion était plus que jamais de mise. Agir dans l’ombre, en faisant de son mieux pour n’être jamais vu, ne rester que des rumeurs folles et insensées pour les humains, mais pas pour les créatures. Au fond, poursuivre leur technique de guérilla subtile était encore la plus raisonnable des décisions.
Depuis la forteresse abandonnée perdue dans les montagnes au nord de Toussaint, que le Nattångar a investie vers l’an 843, le dragon veille.

Un peu moins d’un siècle plus tard, en 1026, le reptile fit la rencontre des tristement célèbres Ailes Infernales. Inutile de dire qu’il a tout particulièrement apprécié d’ajouter ce groupe hétéroclite de monstres à sa liste d’alliés. Les Ailes savent qu’elles peuvent compter sur le soutien du Nattångar, si jamais elles devaient en avoir besoin.

•••

Au travers de cette histoire, j’aurais tenté de vous faire comprendre que personne ne naît en tant que monstre, personne ne vient au monde avec le Mal accroché à son âme. Souvent, on finit par se forger ses propres démons… Cette histoire, aussi pitoyable puisse-t-elle paraître, c’est la mienne.

state of mind
So take this night Wrap it around me like a sheet, I know I'm not forgiven But I hope that I'll be given Some peace

Agressif → Si autrefois Ataroa pouvait se montrer quelque peu belliqueux et virulent dans ses propos, aujourd’hui ce sont des traits de caractère qui se sont développés d’une façon impressionnante. Avec les années il est devenu brutal, voire même violent quand on commence à trop l’agacer. D’une certaine façon il nourrit les idées reçues sur son espèce, incarnant par moments cette caricature du dragon qui dans un accès de fureur ravage un village et en dévore tous les habitants.
Asocial → Peut-être l’adjectif est-il un peu fort, mais toujours est-il que ce n’est pas une créature qui aura tendance à rechercher le contact avec d’autres. Du moins pas celles douées de parole et d’une intelligence similaire à la sienne. Ataroa se complaît dans la compagnie des bêtes ou des monstres plus primaires. On peut notamment parfois l’apercevoir s’amuser à virevolter en compagnie d’une volée de sirènes, ou bien à somnoler au soleil avec un foënard. Avec ces êtres-là tout est tellement plus simple. Le dragon apprécie tout de même, de temps à autres, de côtoyer certains de ses semblables ou même d’autres monstres plus élevés intellectuellement. En revanche la proximité avec les humains, les elfes ou même les nains le hérisse.
Autoritaire → Ataroa aime être écouté, mais surtout être obéit. Qu’on lui tienne tête provoque en lui des sentiments contraires qu’il ne sait pas toujours bien gérer. D’un côté il enrage qu’on n’en fasse qu’à sa tête alors que ses ordres étaient clairs, mais de l’autre il éprouve un certain respect pour ces personnes qui ont suffisamment de cran pour oser lui dire d’aller se faire cuire un oeuf.
Têtu → Charmant euphémisme que voilà ! Ce dragon est une véritable tête de mule. Plus buté que tous les ânes de ce monde et sans doute des autres, aussi. Quand il a décidé qu’il ferait quelque chose, bon courage pour le faire changer d’avis. Croyez-moi vous en aurez besoin.
Courageux → Sans doute l’un des traits prédominants de sa personnalité. Ataroa est loin d’être un lâche, et il saisit sans même y réfléchir chaque occasion pour le prouver. Son courage est pour lui une grande fierté. Si vous avez besoin -pour une raison X ou Y- de le mettre en colère vous n’avez qu’à le remettre en question. Ceci dit on ne saurait que trop vous conseiller de courir vite. Très vite. Et d’avoir une cachette suffisamment solide pour vous abriter. Sinon ce pourrait être la dernière chose que vous ferez avant de vous retrouver à manger les pissenlits par la racine.
Colérique → Ataroa a le sang-chaud, et c’est rien de le dire. Pour peu qu’il ne soit pas d’humeur, une pichenette suffirait à le faire bondir hors de ses gonds. Un mot de travers et pouf ! Adieu la vie. Ou votre visage. Ou votre jambe. Ou le premier truc qu’il aura pu attraper, en fait. Ses colères sont le plus souvent explosives ; vous l’entendrez rugir et gronder, vous le verrez s’en prendre à pratiquement n’importe quoi pour se défouler, si par malheur il ne peut pas le faire sur l’objet de son ire. Mieux vaut agir avec prudence en sa présence.
Charismatique → De son père, ce dragon a hérité une grande éloquence et un talent naturel pour capter l’attention des autres. Ses mots savent charmer, indéniablement. Tout dans l’attitude d’Ataroa dégage quelque chose de sûr, lui conférant l’image d’un être sur lequel on peut se reposer et qu’on peut suivre sans souci.
Combatif → Dès les premiers instants de sa vie Ataroa a dû se battre pour rester en vie. Aujourd’hui il a la sensation qu’il ne s’est jamais écoulé une seule minute sans qu’il n’ait eu à affronter quelque chose. Son existence lui donne l’impression d’un vaste champ de bataille, quand il repense. Ceci dit il n’est pas prêt à baisser les armes, bien au contraire. Avoir survécu toutes ces années pour abandonner maintenant ? Jamais !
Confiance en lui → Notre dragon est sûr de ses capacités. Avec plus d’un millénaire derrière lui, il connaît très bien ses limites, sait ce dont il est capable, et se trouve parfaitement au fait des défauts qui sont les siens. Ataroa a une confiance pleine et entière en ce qu’il est, sans faille aucune.
Méfiant → Des autres, il vient rarement quoique ce soit de bon. Voilà sa politique. Accorder sa confiance à autrui est un exercice difficile pour lui. Trop de fois on l’a trahi pour qu’il se risque à ce genre de choses à nouveau. Chaque nouvelle rencontre sera traitée avec circonspection, et jusqu’à preuve du contraire, sera considérée comme une potentielle menace. Mieux vaut prévenir que guérir, que dirait l’autre.
Indépendant → Même dragonnet Ataroa a toujours été très indépendant. Très tôt il a commencé à vouloir partir explorer le vaste monde loin de ses parents, qui eux ont vite compris qu’ils devraient toujours garder un oeil sur leur petit sans quoi il en profiterait pour se faufiler entre leurs pattes. Aujourd’hui il n’a besoin de personne pour faire ce qu’il veut. Il aura même tendance à porter un regard de jugement sur ceux qui sont incapables de vivre par eux-même.
Dévoué → Sa confiance est l’une des choses les plus difficiles à obtenir de lui, mais si jamais vous y parvenez alors vous aurez gagné un ami fidèle. Ataroa chérit précieusement le peu d’êtres qui ont réussi à se frayer un chemin vers son coeur, en grattant lentement mais sûrement l’épais mur de glace derrière lequel il l’a caché. Comme tout bon dragon qui se respecte, son instinct de protection est puissant, et il le mettra à contribution pour vous garder à l’abri autant qu’il le pourra.
Sibyllin → Pour lui parler par énigmes est une véritable passion. Il lui arrive, parfois, de jouer les sphinx avec ses proies. Si la créature répond correctement à son énigme, alors il la laissera repartir en vie, bon joueur. Ataroa éprouve davantage de respect pour ceux dotés d’intelligence, et communiquer par devinettes brumeuses est un excellent moyen de trier le grain de l’ivraie.
Envieux → La jalousie est l’un de ses pires défauts, et il le sait. Ce qu’il ne peut pas avoir mais que les autres ont le fera fulminer. La plupart du temps ça n’ira pas plus loin que ça, mais dans certains cas -rares précisons-le- il laisse sa nature de dragon s’exprimer et se servira sans le moindre scrupule.
Fier → Fier d’être un dragon, fier d’arborer les écailles dorées et ivoires de ses parents, fier d’être né ailleurs qu’au sein de ce monde gangrené, fier de la façon dont il a su mener sa vie jusqu’ici, fier du chemin parcouru… Ataroa est une créature si fière que parfois la frontière entre fierté et orgueil devient floue.
Fourbe → Ataroa n’hésite jamais à mentir et manipuler son monde pour parvenir à ses fins. Conscient depuis longtemps que la puissance brute ne peut pas venir à bout de tout, il s’est fait un devoir de développer ses talents intellectuels pour compenser son manque de force physique. Son phrasé vous charmera pour mieux dévoiler vos faiblesses, ou alors pour mieux vous amener à agir en sa faveur. Car c’est aussi un sacré séducteur mine de rien. En bref, méfiez-vous si vous avez l’impression qu’il est un peu trop mielleux pour être honnête. C’est probablement le cas.
Patient → La patience est une vertue, il le sait et c’est pour ça qu’il l’a cultivée dès qu’il a eu la présence d’esprit de le réaliser. Si les premiers temps c’était difficile pour lui de se contenir, aujourd’hui c’est devenu un plaisir pour Ataroa d’attendre bien sagement le bon moment pour agir. C’est un peu comme ce délicieux moment de flottement où il épie sa proie depuis une hauteur, invisible à ses yeux, jusqu’au moment où il s’abattra sur elle. Sauf qu’il sera trop tard pour espérer s’en sortir. La patience est une arme redoutable, et il sait la manier.
Inébranlable → Si vous espérez le déstabiliser d’une quelconque façon, vous pouvez oublier. Le reptile est plus inflexible qu’une barre de diméritium. Au fil des siècles il s’est forgé un mental d’acier, inutile de croire que vous pourrez l’outrepasser sur ce domaine-là.
Joueur → Un dragon, c’est un peu comme un gros chat. Couvert d’écailles, avec des cornes, des ailes, et capable de vous cracher du feu au visage, mais au fond ce sont de gros chats tout de même. Ataroa ne déroge pas à cette règle. Malgré les années il apprécie toujours autant de s’amuser avec ses proies avant de les dévorer, ou bien de donner la chasse à certaines monstres ou animaux, par pur plaisir, sans aucune intention de les blesser. Plus rarement, vous pourriez même le voir se rouler dans la neige ou bien s’acharner à briser la surface d’un lac gelé. Eh, on ne juge pas le passe-temps des gens.
Mélomane → Assez étonnamment, notre reptile est un grand amateur de musique et de chants. Dragonnet, il écoutait son père fredonner pour l’apaiser, et peut-être que c’est de là que vient cette passion. Malgré son rejet généralisé de l’espèce humaine -et de tout ce qui y ressemble de près ou de loin- c’est avec curiosité qu’il s’approchera de l’un d’eux s’il joue d’un instrument ou chante. Toujours en catimini, évidemment. Certains bipèdes ont déjà eu la vie sauve pour leur talent dans ce domaine. La musique est l’une des rares choses qui peuvent calmer Ataroa en pleine fureur.
Meneur → Avec un charisme tel que le sien, est-ce vraiment étonnant qu’il se retrouve à mener d’autres monstres ? Pour quiconque le connaît, non. Ses détracteurs vous souffleront que Ataroa est un tyran impitoyable qui se sert des autres pour satisfaire ses desseins égoïstes. Ce ne pourrait pas être plus faux. Ceux et celles qui se rangent derrière lui, le dragon s’engage à les protéger du mieux qu’il en sera capable, car il est conscient que c’est une relation d’échange qui s’instaure, et qu’il ne suffit pas d’aboyer des ordres pour se faire respecter. Si l’un d’eux meurt, il en sera responsable. Un poids qu’il a accepté de porter, même si parfois il est plus douloureux qu’il n’y laisse paraître.
Possessif → Quel dragon ne l’est pas ? Ce qui est à lui est à lui, point à la ligne. Pas de négociation, pas de discussion, c’est comme ça et pas autrement. Comme beaucoup de ses comparses reptiliens, Ataroa a un certain attrait pour tout ce qui est précieux mais lui se garde bien de se constituer un trésor. Ca ne lui apporterait que des problèmes. Et croyez-moi, il en a déjà suffisamment à gérer comme ça, pas la peine de s’ajouter du travail supplémentaire.
Utopiste → Sous cette épaisse couche de froidure se terre un être qui rêve de voir ce monde devenir un endroit meilleur pour toutes les créatures qui le peuplent. Même si la part pragmatique de son caractère le fait garder les serres sur terre, Ataroa conserve le fol espoir d’arriver, un jour, à assurer un avenir serein à ses confrères monstrueux qui pas plus que lui n’ont choisi de se retrouver sur ce monde.
Rancunier → Trahir ce dragon, de quelque façon que ce soit, n’est pas conseillé si vous tenez à votre vie. Oh vous pouvez fuir, vous pouvez vous cacher, mais tôt ou tard il vous mettra la griffe dessus. Et plus longtemps vous l’aurez fait courir, plus longue sera votre agonie. Ou plus terrible sera votre punition. Car Ataroa sait que la mort n’est pas toujours la pire des choses qui puisse arriver. Il connaît la souffrance d’avoir à vivre seul, avec le poids de ses erreurs, il sait à quel point on peut en venir à se haïr quand on réalise quelles conséquences nos actions ont eues. Peu importe l’offense que vous lui aurez faite, il trouvera un châtiment adéquat.
Impulsif → Malgré une grande intelligence, Ataroa n’est pas exempt d’erreurs. Surtout quand sa nature impulsive s’en mêle. Plus d’une fois elle l’a poussé sur le mauvais chemin. Ses écarts parfois il les regrette, même s’il les assume. De toute façon les nier ne corrigerait rien. Le dragon a beau être conscient de ce défaut, il ne parvient pas toujours à le museler, ce qui le met de temps à autres dans de beaux draps.


get to know better
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Quelles sont tes capacités physiques? Possèdes-tu des compétences magiques? Quel est ton petit plus ? Sous sa forme originelle, Ataroa est loin de la montagne de muscles draconique que l'on pourrait espérer. Tout en ailes, la silhouette presque délicate, il est plus fragile que la plupart de ses comparses. Mais il n'en est pas moins dangereux pour autant. Aussi discret qu'un fantôme, il s'est spécialisé dans les frappes éclairs. Le plus souvent il vous tombera littéralement dessus depuis les hauteurs, ajoutant ainsi son poids pour compenser son manque de musculature. Ses cornes sont tout autant à redouter que ses crocs ou ses serres, sa queue aussi par ailleurs qu'il a appris à utiliser à bon escient lors des combats.
Ataroa maîtrise deux souffles distincts, celui de glace hérité de son père, et celui de vapeur qu'il tient de sa mère. Il aurait aimé cracher le feu, mais n'y est jamais parvenu. Si vous pensez qu'un jet de vapeur n'est pas bien méchant... Vous ne vivrez pas longtemps.

Pour ce qui est de la polymorphie, il est capable d'adopter trois apparences. Celle d'un homme, d'un lion, et d'une harpie féroce. Et non rien à voir avec le monstre, ce n'est qu'un aigle au plumage gris. Très grand il est vrai, mais il ne viendrait à l'idée de personne d'envoyer un sorceleur occire un tel volatile.
Sous sa forme humaine, Ataroa a appris à manier approximativement toutes les armes au fil des années, mais il n'en maîtrise vraiment qu'une seule : le kilij, ce sabre à la lame courbée à l'allure si particulière. Le dragon a toujours trouvé cette épée fascinante.
Que peux-tu nous dire sur ton métier? Sur ce que tu fais au quotidien? Ses journées de forgeron sont simples : travailler le métal, réparer les armes brisées, envoyer paître les mauvais clients qui essaient de négocier des ristournes ridicules. C'est surtout son rôle de chef du Nattångar qui s'avère plus complexe. Il tâche de toujours garder un oeil sur ce qu'il se passe, se tient à disposition de ses partisans s'ils devaient en avoir besoin, et gère les éventuels ordres de missions. Ce n'est pas de tout repos, mais il aime ça.
Possèdes-tu une arme avec toi? Si oui, comment l'as-tu obtenue et quelle est sa valeur pour toi? Ataroa vit entouré d'armes en permanence, mais il ne les considère pas comme les siennes. Déjà parce qu'il ne saurait que vaguement les manier sans se blesser lui-même. Le kilij qu'il possède aujourd'hui, il se l'est forgé et en prend le plus grand soin. C'est une belle lame qui vaudrait sans doute cher, mais jamais ça ne lui viendrait à l'esprit de la vendre. Il y tient beaucoup trop.
Quelles sont tes idéologies par rapport au groupe auquel tu appartiens ou veux appartenir? Honnêtement, il n'en pense pas grand chose. Hormis qu'il a du mal à comprendre comment ces bipèdes peuvent supporter de vivre tout en sachant qu'ils seront pour la plupart incapables de défendre leur vie en cas de pépin.


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Possèdes-tu des traits physiques particuliers? Tatouages? Piercings? Lunettes? Anormalité physique? Des bijoux? Sous sa forme humaine, Ataroa est étonnamment différent de son apparence originelle. C’est volontaire, puisque c’est une manière de brouiller les pistes pour les personnes les plus simples d’esprit qui, en voyant un dragon blanc et or tout en finesse, chercheront un homme qui y ressemble plus naturellement. Ceci dit il y a également une part de compensation là-dedans, puisque ce physique de géant musculeux à la crinière sombre, c’est lui qui l’a choisi. L’avantage de la polymorphie, c’est qu’il peut jouer sur la longueur de ses cheveux à sa guise suivant les rencontres qu’il fait ou ses envies. Ses oreilles sont percées à de multiples reprises, et s’il est vrai que Ataroa évite de se constituer un trésor, il apprécie tout de même beaucoup les bijoux et en porte souvent quelques uns. De nombreuses cicatrices marbrent sa peau un peu partout, mais rien d’anormal après une longue existence à livrer bataille contre approximativement tout et n’importe quoi.
Possèdes-tu un animal de compagnie? Si oui, dis nous en un peu plus? Un jour il a attrapé une toute jeune belette le museau dans le sac, en plein flagrant délit de rapine avérée dans son garde-manger. Ataroa a surtout été amusé de voir la petite bestiole le foudroyer du regard avec aplomb, et aussi un peu impressionné par son audace. Il l’a gardée et dressée pour qu’elle fasse les poches des gens, tout naturellement. Circé est aujourd’hui une belette vieillissante au pelage roux piqué de blanc par les années, mais oh elle est bien loin d’avoir pris sa retraite de voleuse experte. Vous la trouverez souvent lovée dans le cou d’Ataroa à somnoler au chaud comme une bienheureuse, ou bien à mâchonner avec enthousiasme quelques petits morceaux de viande. Et si vous ne la voyez pas… Vérifiez l’état de votre bourse.
Quelles sont tes activités favorites en dehors de ton travail? C’est un dragon aux goûts simples, qui apprécie le plus souvent de passer une journée en toute tranquillité dans un coin reculé du continent. Là où la présence humaine, elfe ou naine ne se ressent pas. Ou bien là où elle ne se ressent plus depuis longtemps, car c’est vrai qu’il apprécie explorer les anciennes ruines. Ataroa aime paresser au soleil, au grand air, et s’il est allongé dans la neige alors c’est juste parfait.
Il peut aussi passer beaucoup de temps à écouter de la musique ou bien à discuter d’énigmes avec un autre amateur chevronné de ces devinettes sibyllines, qu’il adore échanger comme certains enfants troqueraient des billes. De même il porte un grand intérêt aux contes et légendes qui circulent parmi les humains. D’une parce que c’est captivant de constater l’étendue de leur imagination, et de deux parce que c’est souvent une poste menant à un monstre qu’il pourrait ajouter aux rangs du Nattångar… Eh, on perd jamais de vue le travail.
En trois mots, décris nous ton passé, ton présent et ton futur ? Blessures, résistance, victoire
Quel est ton opinion vis-à-vis de la Destinée? Ataroa ignore si c’est réel ou non ces histoires de Destinée, mais franchement il a de gros doutes. Et quand bien même ce serait le cas, elle est cordialement invitée à ne pas l’approcher. Ce serait gentil.
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Je suis la faiblesse la plus totale et la plus indicible  Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster » 2165808251
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Mar 9 Avr - 15:16
Que dire. QUE DIRE? Si ce n'est que je suis absolument fan. Terriblement fan de ce personnage, duh, sérieusement. Il est tellement riche en terme d'histoire et de caractère, c'est beautiful. (et nul besoin de dire que du coup, je suis encore plus hypée pour mon QC, DUH.)

Plus sérieusement, c'est vraiment un très chouette personnage, hâte de voir ce que ça donnera in-rp, et en attendant, je te souhaite bon courage pour la fin de ta fiche et si tu as besoin de quoi que ce soit, tu sais où me trouver. Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster » 391820783

& la re-re-bienvenue parmi nous ! Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster » 2165808251
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Mar 9 Avr - 16:16
J'ai eu un peu peur pour Dany alors j’envoie Dadam te souhaiter la bienvenue, il a moins de chance de mourir le bougre !

Alors Bienvenue à toi avec ce personne GOD DAMN tellement cool et intéressant !!! J'ai beaucoup trop hâte de voir ce qu'il donnera Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster » 3520355265

Bon courage à ta fiche qui m'a vendu tellement de rêve !! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Et re-bienvenue !!! Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster » 3101886259
Adam Ulver Isenhart
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Dim 14 Avr - 9:43
Moi j'envoie Rinna parce que tout le monde sait qu'elle est capable de tuer un ours à mains nues sans hésitation et en quelques secondes. Une dure à cuire la petite.

Enfin, voilà, ce nouveau personnage est super cool. Donc je te souhaite la bienvenue pour la troisième fois, puisses-tu t'amuser avec lui autant qu'avec les deux premiers !
Elerinna de Novigrad
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Anonymous
Mer 17 Avr - 20:37
Merci les geeeeeeeeeeeens Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster » 2862203121 J'espère que le gros chaton à écailles ne vous décevra pas Ataroa Nalani ❖ « 'cause no one is born a monster » 2549356976
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