Tout commençât il y a de cela fort bien longtemps, avec une famille de la plus haute noblesse, la maison de Merlot au moins aussi illustre et prestigieuse qu'elle est ancienne, étant la première dynastie aristocratique humaine à s'installer dans la région de Toussaint, l'on dit même que les de Merlot sont les premiers humains à avoir exploité les terres de Toussaint dans un but vitivinicole. Leurs domaines sont les deux comtés de Merlot et de Cabernet, encadrant l'embouchure nord du lac central de Toussaint. Ces derniers sont agencés exactement de la même manière, composé d'une ville portuaire, surplombée du château et de ses dépendances, suivis ensuite du vignoble, véritable océan de vignes en contrebas. Liés par le sang et par mariage à toutes les autres familles aristocrates de la région, les de Merlot sont à eux seuls la définition de la chevalerie dont ils sont les nobles parangons, et trônent à la cime de la tortueuse forêt de lignages au sang bleu dont ils sont la branche la plus sûr de l'arbre généalogique Toussaintois. N'acceptant comme seul égale, uniquement la famille ducale.
Ce fut donc sur de très solides bases que la famille de Merlot prospérât de jours en jours, s’étendant en puissance et influence telle une envahissante tâche d'huile, s’enracinant toujours plus profondément dans ses tradition séculaires, tandis que son feuillage s’étendait encore plus haut au sommet des édiles de la bonne société, tout en se couvrant de richesses et d'honneurs. Parallèlement, un ambitieux pays dans le sud faisait de même, projetant aux nues ses visées expansionnistes et impérialistes, mais très peu de personnes dans la principauté ne semblaient avoir ne serait-ce que conscience de l'hypothétique potentiel danger, la plus part des très rares citoyens qui s'étaient rendus comptes des choses restaient suffisamment confiants envers les frontières naturelles de Toussaint pour porter une véritable attention au rayonnement menaçant du grand soleil sudiste. Néanmoins, un jeune nobliau semblait bien plus alerte que le reste de ses pairs, il s'agissait de Isaac de Merlot, septième enfant et puîné de la famille, qui n'avait pas emprunté le traditionnel chemin de la noble chevalerie, contrairement au reste de ses frères, père, grand-père, arrière-grand-père et autres, pourtant tous gratifiés de l'Ordre de Vitis Vinifera. Au contraire, Isaac avait choisi une voie tout autres, se dernier s'étant prit de passion pour l'armature le négoce et le commerce, avait préféré directement s'occuper lui-même des domaines familiaux de ses propres mains, s'occupant du travail originellement délégué aux régisseur, curateur, et intendant travaillant au service des de Merlot. Que leur rejetons ne prennent pas les armes était déjà un affront en soit pour la famille d'Isaac très conservatrice, néanmoins, ce dernier aurait-put se rattraper si il avait eu la décence de contracter un excellent  mariage, mais rien de tout cela, car Isaac refusait de prendre épouse, rejetant toutes les propositions de fiançailles et d'épousailles. Alors si en plus Isaac se mettait à travailler tel un roturier, alors certes comme un roturier de très bonne famille et fortuné comme un prince, mais comme un roturier quand-même. Surtout qu'il avait la voie du négoce du commerce et de l'armature, ce qui n'était pas à son époque une noble profession, bien au contraire, et cela était beaucoup trop pour les de Merlot, qui finirent pas se contenter de d'à peine le tolérer sous le toit familial.
En vérité, cela ne fut pas qu'une simple passion soudaine qui avait prit Isaac, mais une réflexion mûrement calculée. En effet, Isaac avait clairement compris qu'il valait mieux se faire un ami du Nilfgaard qui entourait dorénavant Toussaint et se pressait très lourdement aux frontière de la principauté. Aussi rusée que malin, Isaac ouvrit les porte commerciale de Toussaint au Nilfgaard via un nombre incalculables de contacts et partenariats avec le Nilfgaard, tous signés en son nom propre et non celui de sa famille, ce qui le plongeât encore plus dans le rôle du mouton noir. Le véritable monopole mercantile qu'il avait ainsi obtenu avec le Niflgaard lui avait assurée une très bonne réputation autant à Toussaint, qui en avait fait son Ambassadeur auprès de cet imposant voisin, qu'à Nilfgaard où Isaac avait intégré les plus hautes sphères de la société mondaine impériale. À cela s'ajoutait l'immense fortune qu'il avait acquis via ses efforts personnels, qui couplée à sa noble naissance et son noble sang, portés par un nom qui depuis très longtemps avait dépassé de très loin les frontières de Toussaint, lui permirent, au grès de ses fréquentations Nilfgaardiennes de plus en plus assidues, de trouver une épouse bien plus que convenable. Demoiselle Pauline var Poumeaureis était un très long moment déjà, le siège d'une cour acharnée de la part d'Isaac, se soldant par un énième contrat, celui de leur fastueux mariage, dont l'une des clause était une une incommensurable dote, si faramineuse qu'ils se disait qu'elle aurait put financer l'achat de tout Toussaint, sans pour autant se vider d'un quart. Pauline était une noble dame de très haut rang et aristocrate de pure souche, pouvant s'enorgueillir du titre de Nilfgaardienne, une appellation réservée aux natifs de la capitale de l'Empire ou de ses environs immédiats. De plus, Pauline apportait avec elle la pratique de l'esclavage, considérée comme infamante par les de Merlot, cela permit néanmoins à Isaac et son épouse d'employer une main d'oeuvre dévouée à la tâche et au labeur, et cela à très moindre frais.
Via leurs fortune combinées, le couple achetât trois terres à l'embouchure sud du lac central de Toussaint, fondant ainsi trois domaines calqués sur les deux comtés de la famille de Merlot. Ces trois propriétés furent érigées en baronnies, celles de Sémillon, Sauvignon, et Muscadelle, mais uniquement à la condition que Isaac et Pauline intercèdent en faveurs de Toussaint envers le Nilfgaard pour permettre un intégration pacifistes à l'Empire, tout en faisant en sorte que la principauté conserve un maximum de sa liberté, de son autonomie, de son indépendance, et de sa souveraineté. Le défit fut remporté haut la main, Isaac et Pauline négociant un double mariage entre la familles ducale et impériales, voyant en récompense la confirmation de leurs titres de baron aux yeux de Toussaint et de Nilfgaard, ainsi que la charge héréditaire d'Ambassadeur de Toussaint à Nilfgaard pour la nouvelle maison de Sémillon ainsi crée, et inversement celle d'Ambassadeur de Nilfgaard à Toussaint pour la famille de Pauline.
L'ombre ainsi jetée sur les de Merlot par les de Sémillon fut le début d'une véritable guerre ouverte entre les deux familles. Guerre dans laquelle les élites Toussaintoises se firent une joie d'y prendre pleinement part. La noblesse chevalière, traditionaliste et conservatrice, se rangeât du côté des de Merlot, tandis que les de Sémillon, via leur progressisme et leur libéralisme, ouvrirent la voie à une nouvelle vison de la noblesse, celle de l'aristocratie négociante et entreprenante. Plus tard, d'autres familles jouèrent sur les deux tableaux et combinèrent la vielle chevalerie et le négoce, cette troisième forme d'édile servant de terrain d’entente entre les deux partis. L'opposition se voyait aussi à la Cour Ducale, où le conflit prenait la forme de la recherche des faveurs ducales et du privilège de conseiller le monarque, les deux familles et leurs partisans se battant pour obtenir les meilleurs charges et offices, cherchant toujours ceux qui se rapprochaient des domaines d'expertises propres aux deux camps.
Les vins aussi étaient là où se cristallisait le plus cette guerre des clans, les de Merlot produisant le meilleur vin rouge, tandis que les de Sémillon produisaient le meilleur vin blanc, les deux développant par la sorte un clientélisme toujours plus remarquable. Avoir à sa table ne serait-ce qu'un simple verre de leurs vins était dans le monde entier un signe de prestige indéniable. Et il n'est par rare de voir des grandes familles ne fournir à leurs filles qu'une seule bouteille en guise de dote, ou alors des rois partir en guerre contre un voisin car l'un soutenait les de Merlot et l'autre les de Sémillon, faisant de ces deux familles celles qui avient le plus de sang sur les mains à cause de leurs vins. D'ailleurs, i est dit que le sang de ces deux maison n'est en fait que du vin.
Néanmoins, cette guerre était excessivement gourmande en temps, en argent, en énergie, et de ce fait, les de Merlot comme les de Sémillon ne purent avec le temps empêcher l’émergence d'autre concurrents de très bonne qualité.
Mais aujourd'hui encore le conflit reste littéralement gravé dans la pierre, les deux somptueux hôtels particuliers des deux famille, véritables manoirs dans la ville-haute, se faisant face à face pour toujours, encadrant l'extrémité du pont menant au Palais Ducal Beauclair.

  Aujourd'hui, le climat est beaucoup plus calme, tout simplement parce qu'il ne reste presque plus de de Merlot encore en vie, et de nos jours seulement deux sœurs sont encore issue de cette famille, dont l'aînée, la Baronne Espérance de Merlot, est la mère de Aristide de Sémillon notre héro actuel, et seul la cadette de Espérance, la Comtesse Thérèse de Merlot continue farouchement le combat, au point que son acharnement en est incontestablement honorable.
Le mariage entre les parents d'Aristide en en fait été orchestré par la grand-mère paternelle et véritable matriarche de la famille, la Baronne Douairière Mélusine de Sémillon, véritable roublarde toujours prête à affûter son bec. Cette-ci avait arrangé le mariage entre son fils aîné et l'héritière des de Merlot, puis avait facilité l'arrivée de l'héritage entre ses mains en empoisonnant le reste de la famille de sa belle-fille, faisant brillamment passer cela pour des morts  naturelles de maladie. Néanmoins, Thérèse de Merlot, bien que ne pouvant fournir aucune preuve (elle-même convaincu de la maladies ayant atteint se famille) contre le vieux vautour rusé qu'est Mélusine, avait néanmoins réussi à obtenir un testament en sa faveur avant la mort du Comte et Chevalier Henri de Merlot, père de Thérèse et Espérance et dernier représentant mâle de sa famille. Le testament faisait de Thérèse l'héritière générale et universelle de tout les biens et possessions des De Merlot, et cela avant son aînée Espérance qui fut aussi obligée de conserver son nom de famille après mariage avec François de Sémillon, mais ne put le transmettre à sa descendance tant que l'héritage des de Merlot n'était pas entre les mains des de Sémillon. Ainsi donc, la méthode Mélusine, qu'elle utilisait d'ailleurs pour tout les ennemis et adversaires de sa famille qu'il fallait écraser, ne fonctionnât que partiellement, et Mélusine dut se rapatrier son deuxième et dernier enfant, sa fille Nicole, afin d'obtenir par le mariage de cette dernière une alliance des plus avantageuse.
Espérance donnât deux fils à son époux François, le premier Jean de Sémillon, Chevalier et membre de l'ordre de Vitis Vinifera selon les souhaits de sa mère, avait étudié à Académie Impériale de Castell Graupian, faisant ses classes aux faculté de droit, ainsi que des sept arts libéraux jusqu'à obtention de son doctorat, cette voie lui ayant été choisi par pur intérêts familiaux, afin d'avoir comme hériter quelqu'un qui aurait les connaissances et compétences judiciaire suffisantes pour avoir la Loi de son côté, mais aussi pour donner un coup de pouce non négligeable dans sa carrière à la Cour. Dix ans plus tard naquit Arsitide, qui lui fut envoyé à la même académie, mais dans les département de langue et traduction, ainsi que celui des sciences humaines.
Arsitide aussi subit les désirs maternels de continuer la tradition chevalière, mais là ou Jean y apportât un véritable intérêt, Aristide lui stoppât net ses activités chevaleresques une fois adoubé et membre de l'ordre, déjà qu'il ne se contant que du stricte minium pour faire très bonne impression, les seules activités physiques qu'il pratiquait avec passions étant la chasse et le tir à l'arc. Durant ses études, Aristide s'ouvrit sur le monde extérieur, voulant en savoir toujours plus, s’appliquant à maîtriser au mieux un maximum de langues différents, apprenant pas cœur les arbres généalogiques des familles nobles des autres pays et enregistrant dans sa mémoires leurs armoiries.
Sa curiosité et ses capacités communicatives firent de lui un atout dans la politique familiale, et François pris la décision d'envoyé Aristide à l'étranger afin qu'il y implante une branche de sa famille. François choisit pour son fils la ville libre de Novigrad où en 1272 il y acheta l'Hôtel des ventes des frères Borsodi de Novigrad, et y envoyât Aristide avec un domestique une servante et trois vignerons à son service. Là, Aristide devenait l'unique intermédiaire économique de sa famille à Novigrad, vendant leur vins, mais aussi celui des autres familles alliées, tout les bénéfices de cette affaires arrivant directement dans sa poche. Renommé Hôtel de vente de Sémillon & Cie, le bâtiment etait composé de trois étages, le rez-de-chaussée consacré tout entier aux activités marchandes de commerce et de négoce, mais ausi d'armature, cette partie devenant un véritable comptoirs économique. Ensuite vient le premier étage, ou étage noble, où se situent les appartements d'Aristide de Sémillons, divisés en sept pièces, plus une salle à manger, et un salon de compagnie. Puis il y a le deuxième étage servant de cabinet de travail, composé de trois pièces. Et enfin le troisième étage, là ou logent et vient le personnel à son service, uniquement surplombée par le grenier au-dessus. Le sous-sol lui servant de pour une première moitié de cuisine et garde manger, et pour une deuxième de chais. La demeure a été remanier de fond en comble, de la façon la plus générale jusque dans les moindres menus détails, afin qu'elle sied le plus possible à Arstide, faisant de ce lieux une sorte d'ambassade de Toussaint, les Toussaintois y étant ouvertement accueillis dans l'esprit de leur pays d’origine, le reste des citoyens de l'Empire n'y étant reçu qu'avec un traitement de faveur spéciale, le reste des visiteurs et clients étant seulement traités avec le respect et lé déférence qui leur était due.

  Mais avant cela, alors que Aristide vivant encore chez ses parents, celui-ci fait une rencontre bien étrange. Sur le coup des dix heures du matin, lors d'une partie de chasse dans une forêt vierge , appartenant à sa famille et dont le sol ne pouvait en rien est exploité, Aristide se perdit sans même s'en rendre compte, comme si au final c'était la forêt qui se modifiait lentement mais sûrement autour de lui, les bruis devenant de plus en plus sauvages, alors que les sonorités plus artificielles et humaines s’étouffaient au loin l'empêchant ainsi d'entendre les voix qui l'appelaient, ou encore le son des cors de chasse tonner, et les aboiements des chiens domestiqués n'étaient à ses oreilles que de lointains murmures. Lorsqu'il s'en rendit enfin compte, il ne fut étrangement pas pris de panique, et cela fut à peine si il en était surpris. Au plus profond de son être, il sentais dans cette forêt une antique et puissante présence, bien plus vielle que le premier de ses ancêtre, et bien plus influente et ses lieux que ne le seront jamais les de Sémillon. Et malgré le pois évident de cette choses sur cette forêt, Aristide se sentait plus en sécurité que jamais, comme liée cette entité. Aujourd’hui encore il ne peut dire si ce fut lui ou son cheval qui choisi de prendre tel ou tel chemin dans le profond dédale végétal, mais tandis que le ramage des corbeaux accompagnait le bruis des sabot, sa conscience s'ouvrit vers ces bois que la Destinée avait mis sur son chemin jusqu'à arriver face à une sorte de totem primitif fait avec les moyens du bord, où sa concentration refit soudainement surface avec force et violence. La pièce principale de cet étrange objet, était un crâne ayant visiblement appartenu à un très vieux cervidé, les orbites vides semblant regarder le jeune homme d'un regard perçant jusqu’aux entrailles de son âme. Le totem et les environs étaient les perchoirs de légions incalculables de corbeaux, au point de faire plier nombres de branches, qu'au sol siégeait une véritable assemblée de loups. À l'instant même où Aristide posa le pied à terre, les corbeaux prirent leur envole comme une seul et même nué, tandis que les loups furent à l'unisson, croassant et hurlant à plein poumons d'une commune voix. Là, au beau milieu des battements d'ails noirs et mouvements de fourrures blanches, tandis que les bêtes disparaissait, prenait place un immense et imposant Leshen, plusieurs mettre en face de Aristide. La simple présence de la créature semblait suspendre le temps lui-même, et la forêt semblait littéralement retenir son souffle tandis qu'il pointait lentement une griffe noueuse vers l'humain en face de lui. Une fois le geste emprunt d'une magistrale lenteur antédiluvienne enfin terminé, un corbeau vint se percher au bout de celle si. Imitant son silencieux interlocuteur de bois, comme mue par une volonté intrinsèque à sa personne, Aristite pointât son indexe vers la pointe d'os et de verdure dirigée vers luis, au point que les deux bout allais se toucher. Lorsque cela fut le cas, Arsitide reçu immédiatement comme un choque, une chaleur aussi vive qu'intense parcourant l’entièreté de sa personne, mais sans le brûler.
Lorsque Arsitide reprit ses esprits, il se tenait là où quelques minutes auparavant il suivait son frère et son père et leurs invités, un corbeaux sur l'épaule, et la nuit étoilé au-dessus de sa tête avait détrôné le plein jour d'il y a quelques instant, et la forêt avait reprit son apparence initiale, permettant à Arsiide de retrouver son chemin malgré la confusion.
Depuis ce jour, le corbeau ne le quitte plus, et de l'animal se dégage la même présence que celle dans la fôret. Lorsqu'il dors, Aristide fait des rêve de corbeau, comme si il vivait au travers de l'animal, et même là au plus profond des songes, la même présence. Et jamais Aristide n'avait fait de rêves aussi lucides et clairs, se souvenant de tout de A à Z plusieurs heures même après le réveille.

Aristide est un homme curieux et très touche à tout, la seule limite à cela étant les barrières imposées par son éducation. Homme très calme et réfléchi, jamais il ne fut en colère, et la légende raconte que le jour où il sera énervé, a fin du monde se proche. De même Arsitide n'a jamais été vue en train de pleuré, son éducation très polissée lui ayant apprit à intérioriser jusqu'à ignorer tout épanchement de faiblesse. Plutôt bon vivant, il ne se départira jamais d'une classe sophistiquée qui lui est propre, autant ami que ennemi de l'étiquette, il accueil par exemple ses invités avec un sans façon qui est l'extrême raffinement de la condescendance et de la politesse. Très bon élève lorsqu'il fut à l'Académie Impériale et lecteur assidu, il apprécie mettre ses connaissances en pratique.
Aussi proche de sa famille que l'on puisse l'être, il écrit à chacun d'eux de véritable flots de lettres à chaque fois qu'il en à l'occasion. D'ailleurs, il éprouve une affection toute particulière envers sa grand-mère paternelle, qui avait insisté pour l’élever elle-même directement, profitant de ses enseignements, et cela fut d'ailleurs elle qui lui donnât la passion du théâtre, l’emmenant voir la moindre représentation en cours à Toussaint. Elle lui transmit aussi la maîtrise des poisons, qui est à l'heure d'aujourd'hui sûrement une de ses meilleurs armes.