AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : Précédent  1, 2
Nuage P. de Spalla
What is truth if not an illusion?
Nuage P. de Spalla
Race Race : Doppler.
Habite à Habite à : Novigrad et Velen, tu gambades.
Couronnes Couronnes : 28092
Messages Messages : 105
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : [EVENT] Chasse aux Illusions - Page 2 Tumblr_inline_oqh6hcRDJo1rp4f36_500
What is truth if not an illusion?
Mer 1 Avr - 20:38
 
.Chasse aux Illusions
MARS 1275 – MARAIS DE TORSECHINE
les habitants de Velen et Novigrad
Effrayé, tu l’étais, terriblement. Les marais avaient une réputation que tu craignais encore plus que celles des quais à Novigrad de nuit. Il y avait des choses qui s’y passaient que tu ne pouvais comprendre et que tu ne souhaitais pas voir pour y croire. Il y avait des rumeurs que tu ne souhaitais même pas entendre de peur que des terreurs nocturnes s’intensifient encore et encore, tu ne pouvais juste pas prendre ce risque. Tu n’étais pas quelqu’un de peureux de l’inconnu, jamais. Après tout, tu n’avais pas sourcillé quand ton père adoptif s’était dévoilé en dragon de trois mètres devant toi ou même quand Lelio s’était métamorphosé en chauve-souris devant toi. Tu ne sourcillais pas devant l’inconnu, tu étais même prêt, généralement, à le braver pour pouvoir aller au-delà, découvrir le monde et tout ce qu’il avait à offrir. Les marais, toutefois, tu ne pouvais pas. Tu étais tétanisé par tout ce que tu avais pu entendre et par l’ambiance que tu avais déjà vue de loin. Tu n’avais jamais voulu y aller, jamais, et maintenant, tu te retrouvais en plein milieu de ce lieu qui était probablement maudit, pestilentiel et qui, d’une certaine manière, était l’incarnation de tes peurs et, très certainement, la meilleure représentation possible de ton esprit lors de ses pires heures. La brume ambiante était tes doutes, toujours présent et gonflant de plus en plus de place dans ton crâne, et les monstres qui grouillaient étaient simplement l’incarnation de tout ce que tu pouvais penser, de tout ce que ton cerveau pouvait créer comme atrocités, quand bien tu les légitimais par la culpabilité qui était reine de ton propre cerveau. Et comme pour ton propre cerveau, tu fuyais en espérant que les monstres ne te rattrapent pas, en espérant que tout disparaitrait naturellement, comme si tu pouvais invoquer leur disparition. Ce n’était pas possible et les bruits qui grouillaient sous la terre malléable te rappelaient sans cesse que tu étais prisonnier. Tu avais beau courir aussi vite que tu le pouvais, tu avais l’impression de t’embourber de plus en plus et que tu finirais bientôt par t’effondrer et rester bloqué dans ce marais pour le restant de tes jours. Tu avais peur de te perdre dans le néant de ce qu’était ce marais comme tu avais peur de te perdre dans le chaos de ton propre cerveau. Mais tu faisais de ton mieux. Tu essayais de courir vite, de faire en sorte que tes talons ne s’enfoncent pas plus dans la boue, dans les marais, dans les trous d’eau. Et tu courrais, encore et encore, tu fuyais le plus vite possible, sans savoir où tu allais, sans savoir que tu t’enfonçais encore plus dans les marais si bien que tu ne voyais bientôt plus le large. Tu avais perdu tout horizon, toute possibilité de te repérer, tu étais perdu mais tu courrais, toujours. Tu ne regardais qu’à peine où tu allais, et ton rythme cardiaque était si élevé que tu avais peur de perdre ton cœur dans cette fuite incontrôlable.

Tu allais tout perdre dans ce marais, tu le sentais. La fin n’était pas loin. Et pourtant, quand tu étais persuadé qu’un énième noyeur allait t’attraper, tu te retrouvas confronter à un corps humain que tu frappas de plein fouet, te faisant tomber au sol, à nouveau. Et la panique s’insinuait encore plus férocement dans ta chair jusqu’à ce que tu reconnaisses la personne en face de toi, qui n’était pas n’importe qui, qui plus est. « Dany ! »Tu n’eus cependant pas le temps de dire quoi que ce soit de véritablement important que la course reprenait, ta main dans la sienne et pour une fois, le toucher ne semblait pas te brûler, non. Pour une fois, la panique rendait tout très pâle, très flou et tu te perdais dans cette panique. Tes sens hurlaient dans tous les coins et cherchaient un moyen de te sortir de là sans réussir si bien que tu suivais simplement ton amie qui était visiblement piégée ici aussi, dans le même danger que toi puisqu’elle ne cherchait pas à s’arrêter pour l’instant. Ce fut toi, toutefois, qui vous fit vous arrêter quand tu décidas de changer votre course pour tourner et que tu te confrontas à un autre corps, bien plus dur, bien plus massif que celui de Dany et tu tombas à la renverse à nouveau, le souffle court, le front humide de transpiration faisant se coller tes cheveux corbeaux contre ta peau douloureusement pâle. Tu regardais derrière toi, constatant que le noyeur qui vous suivait toi et Dany avait disparu dans les profondeurs des marais et tu échappas un soupir quand Galaad, que tu avais aisément reconnu, pourfendit celui qui lui tenait la jambe. « Galaad ! » Tu échappas en te relevant, frottant à nouveau tes mains contre ton pantalon, le souffle court et le cœur battant bien trop vite pour que ce soit normal, même pour un doppler comme toi. Tu avais peur et ça se sentait dans la façon dont tu tremblais. Il y avait le froid, l’humidité qui jouaient, bien évidemment, mais la peur… La peur elle créait les spasmes incontrôlables de ton corps, de tes mains qui essayaient tant bien que mal de se stabiliser en tenant les bords du corset que tu portais tandis que tu ne savais sur quel pied te tenir pour ne pas que les talons s’enfoncent dans la boue. « Je sais pas ce qu’il se passe, je sais pas ce que je fais là… Je viens jamais ici, je suis jamais venu, je comptais pas venir. J’étais même pas dans les parages, je me souviens pas, tout ce dont je me souviens c’est de m’être retrouvé là sans savoir pourquoi. J’ai… J’ai oublié pourquoi je suis là, je comprends pas, je suis perdu et j’ai croisé Dany en chemin et et et… Je sais pas Galaad, je sais pas. Je sais pas ce qu’il se passe, je sais pas c’qu’il se passe ici, j’sais pas ce que je fiche ici et et… » et tu hyperventilais, tu parlais vite, trop vite, ton souffle devenant de plus en plus rauque et tu fermais les yeux pour essayer de te calmer un peu, te concentrant sur la main de Dany qui était encore autour de la tienne, essayant de trouver un peu de sens à tout ce qu’il se passait, à tout ce qui était autour de toi. Tu avais peur, tu étais… terriblement apeuré et tu avais l’impression de te noyer dans ce bordel alors que tu étais bel et bien sur terre. Et tu n’arrivais qu’à peine à respirer, à te calmer parce que tout était flou et qu’il n’y avait pas une once de sens dans tout ce merdier. Pourtant, c’était le premier instant de calme qu’il t’était donné depuis ton réveil, mais tu paniquais. Toujours. La panique était violente, assassine et tu priais pour que ton cœur et ton souffle retrouvent un rythme normal bientôt. Et vite.

Nuage P. de Spalla
Revenir en haut Aller en bas
Ludwig Van Exeter
Death holds no surprises.
Ludwig Van Exeter
Race Race : Humain ayant ingéré des mutagènes de sorceleur
Habite à Habite à : Novigrad
Couronnes Couronnes : 25597
Messages Messages : 26
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : [EVENT] Chasse aux Illusions - Page 2 ADLZcXV
Death holds no surprises.
Dim 5 Avr - 16:28

La chasse aux illusions

Lost in the echo

Ludwig Van Exeter


Ludwig était sur le point de s’écrouler dans la vase. Marcher avec de la boue plein les godasses l’épuisait cruellement à tel point qu’il marchait la bouche ouverte, le regard vide. Toute lueur d’espièglerie y brillant habituellement s’était éteinte durant la dizaine de minutes qu’il avait passé à avancer dans un décor qui semblait se répéter à l’infini. Son cœur battait dans ses oreilles, l’assourdissant complètement. Dans sa tête, il se dit qu’il allait venir à bout de ce cauchemar, que ce n’était qu’une vaste plaisanterie et qu’il n’y a pas d’assez bon sortilège dont on ne peut venir à bout de la pointe d’une épée bien effilée mais il dut se rendre à l’évidence qu’il était bel et bien pris au piège dans un marécage bien inhospitalier. Soudain, au loin, il vit la providence, ou la Destinée comme l’appelaient les badauds et les imbéciles. Un groupe, à quelques centaines de mètres, qui s’était arrêté. Il devait les prévenir, leur dire de s’enfuir et de continuer à courir à toute jambe comme il le faisait. A force de grandes enjambées, il essaya de les rejoindre en levant la main pour se signaler et leur demander de l’aide. Le mutant parvenait à distinguer 2 personnes lui faisant dos et se tenant la main, regardant fixement dans la direction opposée de là où il était, ne laissant dépasser qu’une tête sombre au dessus d’eux. Un monstre ?

Il avait peur, pour lui, pour ces deux inconnus qui faisaient manifestement face à la mort devant eux. Il voulait les sauver et s’époumoner pour qu’ils partent mais son souffle était coupé. Il cria mais aucun son ne sortit, accéléra la cadence mais tomba encore et encore. Lorsqu’il vit ce qui semblait être le plus jeune des deux lâcher la main de l’autre pour se précipiter en avant, son sang ne fit qu’un tour. Il se revit enfant, courir pour échapper aux flammes, prévenu par cet illustre inconnu qu’il ne revit jamais par la suite. Il devait l’empêcher d’aller vers le danger. Cette poussée d’adrénaline lui donna un bref regain d’énergie mais suffisant pour accourir vers eux et s’écrier de ne pas avancer plus loin. Ils l’entendirent et se retournèrent vers lui, manifestement surpris et écœurés par la gueule pleine de boue de Ludwig, ressemblant à s’y méprendre à un des noyeurs qu’il avait décapité plus tôt. Lorsqu’il arriva à leur hauteur, il reprit son souffle en regardant au sol tandis qu’une troisième ombre était apparue à sa grande stupeur, bien plus grande que les autres. Il dégaina son épée, prêt à trancher le monstre auxquels les deux inconnus s’étaient résolus à succomber mais lorsqu’il releva les yeux, ce fut un sorceleur qui lui faisait face.
b l a c k f i s h
Ludwig Van Exeter
Revenir en haut Aller en bas
PNJ
The Flame Shall Ever Burn.
PNJ
Couronnes Couronnes : 34103
Messages Messages : 44
The Flame Shall Ever Burn.
Dim 5 Avr - 20:06
La chasse aux Illusions

into the woods, somewhere

Bien, ils prenaient la fuite.

C'était ce qu'elle voulait, et c'était ce lui rapportèrent ses fidèles amis à plumes. Ils partaient, ils s'en allaient traîner leurs vilaines tronches de paysans ailleurs. Elle pourrait alors retourner à ses occupations, seule maîtresse de ces lieux, seule divinité à craindre ici-bas. Les noyeurs s'apaisèrent presque instantanément, continuant cependant de pourchasser les quelques récalcitrants. Quelques villageois avaient déjà péri, que ça leur serve de leçons. Qu'ils soient un message pour les autres, pour témoigner de la puissance de la dernière des moires.

Mais ce qu'ils ignoraient tous, c'est que tout ça ne faisait que commencer.  

Un rire s'éleva dans l'obscurité, un rire mutin, féminin. Mi-femme mi-renard, une silhouette élancée montra le bout de son oreille. On verrait presque son sourire carnassier se dessiner dans l'obscurité, et c'est déjà trop tard. Elles sont des dizaines, et vous êtes leur distraction. Pour leur plus grand plaisir, les quelques villageois et autres proies accidentelles s'étaient regroupés au même endroit. Que ce soit volontaire ou non, tout serait alors bien plus simple.

- Attention...


La voix se brisa en mille échos, rebondit sur les arbres, masqua à peine les rires des autres aguaras qui se cachaient là.

- Derrière vous.


Sans leur laisser une seconde de plus, les vixénes se mobilisèrent pour faire naître des tréfonds du marais une masse informe, une bête cruelle, une kikimorrhe bien trop grande pour se tenir là, ou une endriague peut-être ? Peu importe, la bête était terrifiante et paraissait parfaitement réelle. Le monstre rugit, la fuite était dès lors impossible, il fallait rebrousser chemin. Si Fuselle pensait le combat terminée, elle n'était pas au bout de ses surprises. Les aguaras observèrent attentivement ceux qui pourraient poser problème, le noyau de ce petit groupe, ces quatre personnes qui semblaient plus aguerris que les autres, plus têtus. L'une d'elle fronça le nez et troubla le sol sous leurs pieds. Tout semblait désormais différent, l'horizon s'étalait sur des kilomètres alors que le sol semblait vaporeux, irréel, se couvrait de brume et ondulait au moindre mouvement.
PNJ
Revenir en haut Aller en bas
Danaän Peryite
bard of a thousand words
Danaän Peryite
Race Race : Humaine ¼ Elfe
Habite à Habite à : Quartier de l'Argentin à Novigrad mais elle bourlinge énormément
Couronnes Couronnes : 43031
Messages Messages : 457
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : "Toute musique est une suite de tensions et de relâchements, je vous laisse le soin de trouver l'analogie douteuse la plus appropriée"
[EVENT] Chasse aux Illusions - Page 2 Tumblr_inline_mlcu6jCBGn1qz4rgp
bard of a thousand words
Mar 28 Avr - 17:44
Chasse aux Illusions


MARS 1275 – MARAIS DE TORSECHINE

Les habitants piégés de Velen et de Novigrad;

Tu n’avais pas lâché sa main, à aucun moment, pas même lorsque tu manquas de trébucher, pas même lorsque l’apparition de nouvelles silhouettes te faisait sursauter, pas même lorsque tu sentais l’envie de te stopper, de dégainer et de te battre monter en toi. Depuis que tu avais ouvert les yeux, depuis que le voile qui recouvrait ton passé s’était lever, cette envie, cette pulsion, ce besoin viscéral de violence ne t’avait pas abandonné et tu le sentais, toujours plus fort à chaque seconde dans cet instant où le danger pouvait surgir de chaque angle mort, de chaque marre de boue, de chaque coin d’ombre. Tu n’aurais qu’à sortir tes dagues, cesser de penser, cesser de songer aux risques et simplement céder à cette danse dont tu te fichais pas mal de l’issue. Tu voulais simplement sentir la vie te filer entre les doigts à chaque pas, tu voulais sentir tes dagues pénétrer la chair et le sang couler sur tes avant-bras. Tu aurais pu, tu en avais envie et qu’importe le résultat… Mais tu avais continué de courir, pour lui, pour Nuage, et tu ne l’avais pas lâché pas même lorsqu’il changea subitement de direction dans l’espoir peut-être vain que la nouvelle soit plus salvatrice. Les arbres mourant défilés autour de vous et les mugissements lugubres accompagnaient chacun de vos pas, qu’ils soient réels ou le fruit de votre imagination perverti par ses lieux. Vous ne saviez pas où aller, vous fonciez sans vous retourner, sans réfléchir, sans doute droit dans la gueule du loup, droit dans un piège plus malsain encore, droit dans un mur…

Où bien dans une armoire à glace de sorceleur.

Tu aidas ton ami à se relever suite à l’impact avec le torse de Galaad, jetant un regard en arrière pour évaluer la distance entre vous et vos poursuivants. Les noyeurs semblaient s’être volatilisé et tu apercevais à peine le dernier disparaitre dans les profondeurs d’une mare boueuse. Peut-être aviez-vous un sursis. Peut-être vous laissaient-ils le temps de souffler, d’espérer pour mieux broyer cet espoir naissance au creux de leurs griffes et de leurs crocs. Quoi qu’il en soit, vous aviez un sursis…

La voix étouffer et chevrotante de Nuage te fit reporter ton attention sur lui alors qu’il essayer d’expliquer tant bien que mal qu’il ne comprenait pas plus de chose que toi à votre situation. Il paniquait, il hyperventilait et tu seras d’autant plus sa main dans la tienne, doucement, assez pour tenter de le rassurer, assez pour lui montrer que tu étais là, que tu ne le lâcherais pas. Tu ne le lâcherais pas comme on t'avais lâchait toi... Tu t’adressas alors à Galaad pour tenter de mettre fin à cet interrogatoire tant il était risqué de rester sur place. « Les explications attendront, d’autres vont revenir et il faut qu’on sorte d’ici ou au moins qu’on trouve un endroit su… » Tu interrompis ta phrase en te retournant, arme au clair, face à la silhouette qui se précipitait vers vous. Un noyeur ? L’accalmie aura été de courte durée… à moins que… La silhouette s’approcha encore, épée au poing, la silhouette d’un homme qui parvint finalement à votre hauteur alors que tu t’étais déjà placer devant Nuage dans l’espoir de faire barrage de ton maigre corps. Essoufflé, couvert de boue, il ne semblait pas belliqueux à votre égard, du moins c’est ce que tu avais compris des bribes de mots que tu avais pu distinguer venant de lui, et ce malgré sa lame brandie. Tu ne baissas pas non plus la tienne pour autant, d’autant plus maintenant que tu pouvais distinguer certains détails de son apparence qui déclenchait une alarme au fond de ton crâne, de par leur présence, ou leur absence... Son regard, son épée, sa posture. Un sorceleur ? Il n’avait pas de médaillon. L’avait-il perdu ? Ou était-ce autre chose, une chose devenue bien trop tristement familière pour que tu ne sois pas parfaitement sur tes gardes, autant que s’il avait été question d’un monstre. Tu ressaieras ton étreinte sur la garde de ta dague, prête à te défendre, prête à défendre Nuage, prête à enfin succomber…

Tu n’eus cependant même pas le temps de lancer la moindre invective à l’inconnue pour lui déconseiller d’avancer avec sa lame dégainée. Un croassement lugubre de Jaskier retentis, suivit instantanément par une mise en garde qui résonna au travers du marais sans que tu puisses en déterminer la provenance exacte. Tu n’en eus de toute manière pas le temps non plus d’y réfléchir puisqu’un nouveau son se fit entendre, un grondement guttural cette fois et le sol déjà instable se mit à trembler sous vos pieds. Tout s’enchainait bien trop vite, sans te laisser le temps de réfléchir, sans te laisser le temps de comprendre ce qui était en train de se produire. Le paysage lui-même se mit à grouiller et bien vite de nouvelles silhouettes, plus massives que les précédentes, plus mortelles encore apparurent, se rapprochant de plus en plus de vous…
b l a c k f i s h
Danaän Peryite
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
Sauter vers: