AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
PNJ
The Flame Shall Ever Burn.
PNJ
Couronnes Couronnes : 34133
Messages Messages : 44
The Flame Shall Ever Burn.
Mer 3 Juil - 17:11
Flatteur, flatterie.

Le Renard et le Corbeau


Vous vous enfoncez, petit à petit, au sein de la forêt des inespérés et vous avez probablement quelque peu peur, n’est-ce pas ? C’est normal. Il y a des cris, des bruits d’animaux, des bruissements dans l’air et des ombres qui semblent vous toucher comme si elles étaient réelles. Tout est sombre, tout semble menaçant, il n’y a rien de similaire en ce monde non. Même les forêts les plus sombres de Velen n’ont rien de comparable à celle-ci et pourtant… Vous restez sur le chemin, jusqu’à atteindre une clairière où la corruption noire ne s’est pas répandue. Un arbre, un gigantesque chêne, se tient au milieu de cette petite clairière tandis que deux animaux sont présents. Le premier est un renard, au pied de l’arbre, jouant avec une meule de fromage tandis que sur sa tête trône une sorte de béret noir. Au dessus de lui, un corbeau au plumage légèrement bleuté par la lumière. Une cravate est ajoutée autour de son cou tandis qu’une clé git dans son bec. Ils tournent leur regard en votre direction et c’est le renard qui prend la parole.

« Ah ! Voilà ! Tu vas voir, maître corbeau ! Vous là ! Oui, vous ! Vous êtes là pour la clé ? Parfait. Flattez ce corbeau de malheur et vous arriverez peut-être à récupérer la clé et moi, mon arbre au passage. Quoi ? Faites pas les timides ! Il faut que vous arriviez à le flatter pour qu’il lâche la clé, c’est pas si compliqué, juste pénible et comme vous pouvez le voir, je suis une langue de bois, je ne peux flatter quelqu’un qui m’est si insupportable. S’il vous plaît. »

pour jouer : Il vous suffit, en premier lieu, de faire un rp, en présentant votre flatterie pour le maître corbeau, et de lancer le dé Flatterie afin de voir si cela à fonctionner. Vous êtes libre de recommencer autant de fois que vous le souhaitez, tant que votre réponse est différente à chaque fois. Tout comme vous pouvez jouer à plusieurs. Le premier qui gagne offre la clé à tous.
[E] Flatteur, flatterie. L1MaWbl
PNJ
Revenir en haut Aller en bas
Danaän Peryite
bard of a thousand words
Danaän Peryite
Race Race : Humaine ¼ Elfe
Habite à Habite à : Quartier de l'Argentin à Novigrad mais elle bourlinge énormément
Couronnes Couronnes : 43061
Messages Messages : 457
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : "Toute musique est une suite de tensions et de relâchements, je vous laisse le soin de trouver l'analogie douteuse la plus appropriée"
[E] Flatteur, flatterie. Tumblr_inline_mlcu6jCBGn1qz4rgp
bard of a thousand words
Mer 7 Aoû - 15:48
Flatteur, flatterie
Le corbeau et le renard



H - 40 avant la fin de l'illusion

Tu avais eu du mal à reprendre ton souffle, tu avais mis du temps à cesser de trembler à parvenir à te relever alors que tu étais totalement assailli par ta peur viscérale que tu t'étais jusqu'ici contenté d'ignorer mais qui s'était à présent immiscé dans ton crâne comme un poison suffoquant. Toute ta vie, tu n'avais connu que ton père, n'avais vécu qu'avec lui alors à sa mort, tu avais eu peur d'être seule, de ne jamais plus trouver quelqu'un avec qui partager tes joies et tes peines, tu avais eu peur de ne plus sourire, de ne plus avoir de raison de le faire ni personne avec qui en trouver. Mais cela n'avait pas été le cas. Tu avais des proches, tu avais Rhaegar, tu avais Katarina, Nuage, Jodie, Nyx, Renarde. Tu n'étais pas seule et la seule chose que tu pouvais espérer c'était compter pour eux, peut-être pas autant qu’ils comptaient pour toi, tu n'en demandais pas tant et tu ne pensais de toute manière pas en être digne, mais tu avais la naïve espérance d'avoir un minimum d'importance. Hors cette espérance se retrouvait totalement étouffée par cette peur sortie de ton inconscient, par la crainte viscérale d'être rejeté, par l'angoisse qu'ils découvrent un jour que tu n’étais pas digne de la moindre importance, que tu n’étais qu'une gamine sans intérêt et que tu n’étais qu'à peine capable de leur apporter quoi que ce soit. L'angoisse qu'ils découvrent que tu étais inutile, qu'ils n'avaient pas besoin de toi et surtout pas du fardeau que tu pouvais représenter. Parce que tu savais que tu pouvais en être un, c'était une putain d'évidence et quand bien même tu aurais voulu ne pas l'être, tu ne savais pas comment faire, quoi changer.

Et tu avais peur, si peur que cela ne soit pas suffisant. Tu ressentais une telle peur que tu devinais décuplé par l'influence de ce serpent géant et par ta nouvelle essence vampirique. Tu la devinais exacerbée tant elle avait été paralysante mais elle était tout aussi légitime à tes yeux. Peut-être qu’en temps normal tu aurais réussi à te redresser plus vite sur tes jambes, peut-être que tu aurais eu la force de passer outre mais tu en doutais, cette peur était là depuis longtemps, elle avait toujours été présente, quelque part au fond de ton crâne et prisonnière de ta poitrine. Elle était tienne et tu ne pouvais simplement plus l'ignorer. Il te fallut donc du temps pour te relever, pour respirer et pour quitter ce pont maudit.

Tu retrouvas le sol de nuages, tremblante, les yeux rouges et irrités à force d'avoir pleuré et tu pris une pause de quelques heures pour tenter de te reprendre, de te reposer. Mais tu ne pouvais pas te permettre de flancher, tu ne pouvais pas rester sur place, tu devais avancer, retrouver Katarina, trouver les clés qu’il te manquait, voir ce que ce monde avait encore à offrir ou à détruire et tu devais rentrer chez toi. Tu avais donc pris la direction de l'immense escalier qui quittait le monde céleste pour celui fait de terre et de poussière.

Tu avais délaissé le guide depuis la disparition de la magicienne et tu ne pensas pas à le regarder de nouveau. Tu voulais davantage te laisser guider par ton instinct en espérant qu'il ne te mette pas à nouveau face à une illusion éprouvante. Parce que tu ne voulais pas laisser ce monde te guider à ta perte, tu voulais au moins te dire que tu t’y étais rendu par toi-même sans que l’on te dise dans quel ordre sombrer. Car malgré ce que l'on pouvait penser, malgré ta témérité, tu n'aimais pas souffrir. Tu aimais sourire, faire sourire, mais tes larmes, tu ne voulais les réserver qu'à la pierre tombale de ton père, qu'au chagrin qu’avait engendré sa perte. Alors lorsque tu pénétras dans la vaste forêt qui s'étendait devant toi, tu espérais avoir fait le bon choix.

Étrangement, cette forêt te donna un étrange sentiment de familiarité et de réalité dont tu manquais cruellement et c’était totalement paradoxal au vu des ombres et des bruits qui la peuplaient. Mais après un monde de nuage aux lacs de brume et aux grottes creusées dans le ciel, elle ressemblait bien plus à ce que tu connaissais en comparaison des paysages que tu venais de quitter. Et même les bruissements inquiétants, les cris d'animaux n'arrivaient pas à t'effrayer. Peut-être auraient-ils dû, peut-être te rendra tu comptes de ton erreur une fois au bout de ce chemin, mais pour l’heure, tu préférais les bois sombres aux nuages lumineux. Au moins, les bruits alentour et le sentiment d’être épié faisaient taire quelques instants ton sentiment de solitude même si ce n'était pas de la manière la plus agréable qui soit. Tu avais déjà affronté ta peur alors les ombres qui se mouvait dans l'obscurité autour de toi ne parvenait pas à t'arracher les frissons que l'on aurait pu attendre de toi. Peut-être étais-tu devenu plus inconscient encore mais tu continuais ton chemin jusqu'à parvenir dans une clairière au centre de laquelle trônait un chêne majestueux et visiblement séculaire. Ton regard s'attarda alors sur les deux animaux qui se trouvaient là, un renard et un corbeau aux allures tout aussi atypiques que le lièvre et la tortue que tu avais vu plus tôt. Mais tu sentis ton cœur s'emplir d'un élan de soulagement en voyant le plumage noir d'un corvidé que tu connaissais si bien. Oh ce n’était pas Jaskier, aucun oiseau ne lui était semblable. Mais c'était un corbeau et la simple vu de cet animal eut le don de te rassurer avant de t'insuffler un nouveau souffle de nostalgie en l'absence de ton meilleur ami à plume.

Tu t'approchas doucement du duo avant d'être stoppé par les paroles du renard qui eurent le don de te faire sourire et les dieux savent à quel point cette légèreté était la bienvenue en cet instant. Et en plus une clé était à gagner et pour cela il te suffisait de flatter un corbeau. Or tu avais grandement l'habitude d'en flatter un, sûrement autrement plus capricieux et après tout, tu étais barde, tu étais censé savoir manier les mots ? Restait à savoir si ce monde t'avait ôté toute rhétorique.

Tu finis de t'avancer vers le corvidé et tu t'inclinas légèrement dans un geste des plus respectueux et non feints tant tu avais une affinité avec ces oiseaux. « Eh bien je vous salue Sire Corbeau et je suis enchantée de vous rencontrer, sincèrement. Je vous prie de me croire si je vous dis que vous êtes l'oiseau le plus majestueux qu'il m'ait été donné de voir. Et croyez-moi, des corbeaux j'en connais, un tout particulièrement que je pensais être le plus beau représentant de votre espèce mais c'était avant d'avoir le privilège de poser mon regard sur vous. » N'en déplaise à Jaskier, ce n'était même pas un mensonge. Tout simplement parce que tu n’aimais pas mentir lorsque ce n’était pas pour couvrir tes larcins alors tu aurais été bien embêté de devoir flatter autre chose qu'un animal que tu admirais et respectais naturellement. À tes yeux, il était évident que Jaskier était le plus beau corbeau, mais c'était le cas dans son monde. Là il était question d'un oiseau manifestement magique, bien plus grand qu'un corbeau ordinaire et surtout arborant un plumage luisant, une carrure et une prestance toute à fait charismatique. « L'éclat de votre plumage rivalise avec celui de la lumière lunaire. Votre carrure à tous de celle d'un oiseau royal et je devine que votre voix doit être des plus mélodieuses. Je suis barde et je peux me targuer de reconnaitre une voix enchanteresse et il me plairait d'entendre la vôtre. » Car celle de Jaskier te manquait et tu aurais tant donné pour entendre ses croassements en ce monde cryptique. Alors si tu pouvais entendre ceux de ce corbeau, tu t'en contenterais. Encore une fois, tu ne mentais pas, les croassements avaient réellement quelque chose de mélodieux pour toi et il n'était pas rare que Jaskier accompagne ta voix de la sienne lorsque tu chantais.

Tu t'étais donc inclinée, attendant de savoir si tu avais fait mouche avec tes quelques mots et si tel n’était pas le cas, tu en trouverais bien d’autres.

Edit post-dé : Mais cela ne semblait pas être nécessaire. Après quelques secondes de réflexion, tes paroles semblaient finalement suffirent pour titiller quelque peu l’ego du corvidé. Il finit alors par ouvrir grand le bec pour croasser son contentement et faire tomber la clé par la même occasion. Tu n’avais plus alors qu’à te pencher pour la saisir et lorsque tu voulus la toucher, tu ne fus pas surprise de la voir disparaitre pour se matérialiser sur ta peau. Tu venais de remporter ta cinquième clé, assez pour quitter ce monde et rentrer chez toi. Pourtant… Pourtant tu n’arrivais étrangement pas à t’y résoudre et ce pour plusieurs raisons. Déjà tu ne savais pas ce qu’était devenu Katarina, si elle était en sécurité, si elle allait réussir à quitter ce monde et tu ne voulais pas rentrer sans elle. Ensuite, tu n’avais pas tout vu de ce monde, visiter tous ses lieux, rencontrer tous les fables et subis les épreuves de toutes les déités et tu étais curieuse, beaucoup trop curieuse, dangereusement curieuse et tu ne voulais pas partir sans avoir tout vu. Tu ne voulais pas partir avec la désagréable sensation d’avoir loupé quelque chose, que ce soit bénéfique ou non. Alors si tu en avais la possibilité, tu allais rester et qu’importe les conséquences.

Tu saluas une dernière fois les animaux qui t’avait accueilli, les remerciant pour la clé et les laissant régler leur différend entre eux avant de reprendre la route du reste des épreuves. Tu étais curieuse de ce qui t’attendait, plus curieuse qu’effrayée, réalisant de ce fait que même si Lucifer avait quelque peu réduit cette tentation, elle restait plus trop puissante pour ton propre bien.

b l a c k f i s h
Danaän Peryite
Revenir en haut Aller en bas
Maître Jaskier
the quill is mightier than the sword
Maître Jaskier
Race Race : Humaine
Habite à Habite à : Novigrad lors des longues nuit d'hiver, Beauclair lorsque le soleil revient
Couronnes Couronnes : 24262
Messages Messages : 501
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : [E] Flatteur, flatterie. Tumblr_o3f16ss8lp1rpd9dfo2_250
the quill is mightier than the sword
Mer 7 Aoû - 15:48
Le membre 'Danaän Peryite' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'[E] Flatterie' :
[E] Flatteur, flatterie. 19070301001724883316298032
Maître Jaskier
Revenir en haut Aller en bas
Elijah Nyx Caedreach
the crow : right hand of secret lust
Elijah Nyx Caedreach
Race Race : Vampire Supérieur
Habite à Habite à : Novigrad.
Couronnes Couronnes : 37584
Messages Messages : 469
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : [E] Flatteur, flatterie. Tumblr_inline_o10y5nNUKM1twk1o0_250
the crow : right hand of secret lust
Sam 7 Sep - 23:15
Flatteur, flatterie.
ft. le corbeau et le renard
12h  / 60h
Maintenant qu’Icare était passé et que la marque indélébile de son passage était marqué dans ta mémoire, il ne te restait plus rien d’intéressant à faire. Oh, bien sûr, ta curiosité te poussait à éventuellement découvrir le reste de ce domaine mais tu n’en avais guère envie. Tu avais suffisamment morflé ici et tu avais un vieux pressentiment comme quoi si tu continuais à fouiner ici, tu allais probablement te mordre les doigts. Amon, tu ne lui faisais pas confiance, absolument pas, et dans cette optique, tu ne comptais absolument pas y mettre les pieds tant que ton instinct était autant en alerte. Non, tu préférais aisément descendre dans le domaine suivant et éventuellement, éventuellement, éviter des ennuis subsidiaires qui pourraient te tomber sur le coin du crâne si tu restais ici. Tu étais curieux, ô ça oui, mais pas au point de risquer ce qu’il te restait de santé mentale. Non, décidément, non. Alors, c’est avec la coopération de tes jambes que tu t’échappas rapidement de cette tour d’ivoire aux reflets noircis que tu t’avanças en direction de ce qui semblait être un escalier végétal en direction du domaine terrestre que le guide semblait enclin à décrire. Peut-être que, cette fois-ci, tu allais véritablement suivre ses indications à la lettre et faire en sorte que tout se passe absolument bien. Bon, tu n’étais pas foncièrement confiant, mais tu devais bien le faire pour le bien de ce qu’il te restait de santé mentale, c’était bien le seul objectif que tu te poussais à avoir présentement afin de pouvoir avancer correctement.

Toutefois, en descendant, tu te rendais compte que le panorama était aussi triste que celui qui était présenté au départ, si ce n’était même pire au final. Quand tu observais ce qui se présentait sous tes yeux, il y avait un air, un très vague air de ressemblance, avec ton pays natal et ce que l’on t’avait raconté des mondes d’exil qui s’écoulaient au-delà des terres de clan. Le monde était en proie à une pourriture que tu ne comprenais guère et dont ta curiosité était suffisamment piquée pour que tu aies envie d’y toucher. Toutefois, ton instinct de préservation te poussait à ne pas le faire, oh que non. Tu ouvrais alors le guide qui t’avait été donné afin de pouvoir mieux comprendre où tu devais mettre les pieds et où tu étais censé te diriger afin de pouvoir continuer le reste de l’aventure. Et ce chemin te guidait vers la forêt des inespérés, et rien que le nom ne te donnait nullement envie d’y aller mais… Tu demeurais curieux alors tu pris le pas pour rejoindre cette forêt qui avait des airs très proches de ce que l’on pouvait voir à Velen. Les arbres n’avaient rien de charmant, et clairement, le reste de l’ambiance n’apportait rien de bon et ce, jusqu’à ce que tu arrives dans une petite clairière où tu fus surpris d’entendre un corbeau qui portait une clé dans son bec ainsi qu’un renard qui s’adressa à toi, te demandant de convaincre et de flatter le corbeau afin qu’il rende le fromage. Tu haussais un sourcil avant de tourner face à la créature qui était devant toi. Tu n’avais guère eu à flatter Asphodel pour qu’il devienne ton compagnon, tu te retrouvais quelque peu dépourvu. Tu te raclais alors la gorge alors que tes yeux dissidents se posaient sur l’animal. « Monsieur le Renard, je pense que vous êtes quelque peu exagéré vis-à-vis de ce corbeau qui, je dois bien l’avouer, fait parti des plus beaux animaux que l’on peut rencontrer en ce bas monde. Figurez-vous, monsieur Corbeau, que j’ai un compagnon qui se présente sous la même forme que vous, un animal dont l’intelligence est remarquable, comme la vôtre, je n’en doute absolument pas. Je dois avouer, cependant, que votre plumage est bien plus éclairé et fournis, peut-être plus lumineux et soyeux que celui qui porte le nom des plaines de mon pays natal.  » Tu pris une légère inspiration, jaugeant le regard de l’animal qui semblait enclin à t’écouter, très légèrement, tandis qu’il battait quelque peu ses ailes, dévoilant la beauté du nuancier bleu qui se déclinait sur l’intérieur de ses ailes. « Vous faites parmi des créatures animalières les plus intelligentes et les plus à même à nous comprendre, nous, créatures vivantes et bipèdes, et je ne doute point que votre intelligence égale celle des humains si ce n’est même plus. Je ne connais point votre nom mais je ne doute pas que dans un monde comme dans un autre, votre intelligence et votre sublime est loué dans bien des contes et des légendes volubiles. En tout point, sire Corbeau, vous êtes un être majestueux. » Tu t’arrêtais finalement, observant attentivement la créature et son jugement alors que tu avais essayé, du mieux que tu le pouvais, d’user des travers de la langue commune pour communiquer avec cette créature. Oh, tu aurais pu lui parler dans la langue natale qui était la tienne, mais tu avais peur qu’elle ne puisse comprendre les trémolos étranges s’il était étranger à ce dialecte des plus curieux pour ceux qui n’y étaient pas initiés.

edit post-dé Et la déception fut lourde et froide quand le corbeau ne t'adressa qu'un maigre regard avant de se détourner de toi, laissant le renard soupirer d’exaspération en voyant que le corbeau n'avait visiblement pas bu tes paroles. Tant pis, tu n'avais vraiment pas le coeur à retenter l'expérience. Et tu ne voulais pas véritablement perdre de temps là dessus, pour être parfaitement honnête, même si une partie de toi était légèrement déçue de cet échec, mais soit, c'était à priori le jeu et tu ne pouvais guère faire plus que prendre le chemin à revers et retrouver ce que le guide considérait comme le labyrinthe végétal où attendait une nouvelle clé. C'était un échec, mais tant pis, tu allais probablement survivre à cela.  

:copyright:️ 2981 12289 0
Elijah Nyx Caedreach
Revenir en haut Aller en bas
Maître Jaskier
the quill is mightier than the sword
Maître Jaskier
Race Race : Humaine
Habite à Habite à : Novigrad lors des longues nuit d'hiver, Beauclair lorsque le soleil revient
Couronnes Couronnes : 24262
Messages Messages : 501
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : [E] Flatteur, flatterie. Tumblr_o3f16ss8lp1rpd9dfo2_250
the quill is mightier than the sword
Sam 7 Sep - 23:15
Le membre 'Elijah Nyx Caedreach' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'[E] Flatterie' :
[E] Flatteur, flatterie. 19070312593724883316298030
Maître Jaskier
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
Sauter vers: