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Elijah Nyx Caedreach
the crow : right hand of secret lust
Elijah Nyx Caedreach
Race Race : Vampire Supérieur
Habite à Habite à : Novigrad.
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the crow : right hand of secret lust
Dim 8 Sep - 12:28
parallélisme des énigmes
ft. Nabu
17h / 60h
La tour ascensionnelle était faite, bien. Tu étais tombé sur un squelette fort charmant de la demoiselle qui était morte ici, et maintenant… Tu devais rejoindre le village dit intemporel et à en juger par le nom, c’était simplement un village qui devait avoir été figé dans le temps par la force de la magie à l’œuvre ici ou par les forces des choses. Tu n’en savais rien et tu ne te posais pas véritablement la question à ce jour. Toutefois, tu aurais bien vite le loisir de découvrir de quoi il était question avec ce village à mesure que tu avançais en sa direction, faisant bien attention aux panneaux présentés afin que tu puisses te guider en toute sécurité et que chaque personne tombé ici-bas puisse le faire de la même manière. Tu découvrais, en marchant, des habitations détruites, dont trois petites, ainsi que de nombreux cadavres dont celui d’ours, d’une petite fille aux cheveux dorés ainsi que celle d’une œil qui tenait encore sous son plumage cadavérique un œuf doré. Ce paysage charmant n’était pas sans rappeler un monde en proie à la mort, partout, jusque dans sa création la plus fine. Les fondations de ce monde étaient en train de tomber, petit à petit, de s’effondrer pour ne devenir qu’un ramassis de cendres sur lesquelles rien ne pourraient plus tenir et c’était bien quelque chose qui t’effrayait aussi : tu ne voulais pas finir bloqué dans un monde qui allait, somme toute, devenir une ruine ambulante sur le point de s’écraser et de finir dans l’abysse d’un songe d’un autre temps. Si tu avais plus de temps et que ce monde n’était pas sur le point de s’effondrer, tu aurais probablement adoré pouvoir étudier un peu ce qui faisait la complexité d’un tel monde.

Toutefois, tu n’avais pas le temps de t’attarder là-dessus, d’autant que tu arrivais enfin à l’orée du village intemporel et qui, comme son nom l’indiquait, était figé dans le temps. Tu ourlais ton regard en direction des vêtements déposés ci et là au niveau du puits du village avant d’aviser la maison qui était plus éclairée que les autres, peut-être moins figée. Tu te décidais que tu reviendrais après voir cette épreuve étrange composé de vêtements originaux. Tu étais comme irrémédiablement attiré par cette demeure où deux feu-follets t’accueillaient et semblaient attendre les visiteurs. La porte poussée, tu tombais sur une pièce principale aux antipodes de ce que tu avais cru voir en arrivant. La pièce est à peine éclairée, dans un mauvais état, touché par la poussière et les arachnides qui ont faits leurs nids dans les moindres recoins de la demeure. Toutefois, tu remarques une porte où deux feu-follets attendent patiemment et tu t’y diriges, à peine serein. Tu poussais la porte, méticuleusement, pour tomber sur un sol humide et des murs faits d’un marbre blanc, aussi brillant que la glace elle-même. Tes yeux sont irrémédiablement attirés par la figure maligne qui se dégage de ce panorama glacial, une créature fine et svelte à la peau aussi pâle que puisse l’être le décor, des yeux azuréens qui percent ton âme avec une violence que tu ne calcules qu’à peine alors qu’il parle, déroulant un parchemin tout en faisant tourner la clé entre ses doigts. Une épreuve d’énigmes. Oh, dieu que tu étais mal barré. Ce n’était pas que tu étais mauvais en énigmes, mais tu avais encore du mal avec les subtilités de la langue commune, et… Ma foi, tu n’allais pas tardé à voir de quoi il s’agissait.

edit post-dé Tu observais, curieusement, le parchemin qui était déroulé devant toi, tes yeux fixant les mots qui apparaissaient sur le papier minutieusement. Je suis partout mais on ne peut jamais m’atteindre. Qui suis-je ? Tu avais déjà entendu cette énigme par le passé, probablement par l’homme du Nilfgaard qui s’était occupé de toi pendant des années et qui avait toujours eu une passion affolante pour l’astronomie et tout ce qui dégageait du ciel et de ces petites subtilités. Il te suffisait de te souvenir de la réponse, qu’il t’avait probablement répéter à de nombreuses reprises sans que jamais tu en trouve le sens véritable. « Qu’est-ce qui est partout et qui n’est jamais atteignable… » Tu soufflais en relevant tes yeux du parchemin pour observer les lieux, circonspect, légèrement perplexe face à ce qui t’était demandé. Le soleil et la lune pouvaient être une option, mais bien vite écartées dans l’idée où ils n’apparaissaient pas toujours au même moment. Le vent aurait pu marcher également, mais ce n’était pas une constante. Qu’est-ce qui était constant dans ce que l’on pouvait voir mais que l’on ne pouvait jamais attraper, si ce n’est le ciel ? Le ciel était une idée, mais d’une certaine manière, il était atteignable pour les oiseaux et autres créatures volantes… Tu pris quelques secondes pour réfléchir, cherchant les tenants et aboutissants de telle énigme afin d’en découdre les propos. « L’horizon ! » Un éclair de génie et tu avais pris, pendant quelques petites secondes, l’image d’un enfant qui venait de crier Eurêka après une longue quête à un trésor perdu et au fond, ce n’était peut-être pas si différent. Tu dévias ton regard sur la créature dont le sourire s’était élargi et la main s’était avancée, clé dans la paume. Tu y déposas tes doigts, laissant la marque s’imprimée à nouveau sur ton poignet, un petit sourire aux lèvres avant de t’éclipser en dehors de cette demeure pour t’interroger sur l’épreuve suivante.
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Elijah Nyx Caedreach
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Maître Jaskier
the quill is mightier than the sword
Maître Jaskier
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the quill is mightier than the sword
Dim 8 Sep - 12:28
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Maître Jaskier
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Edora Sighrist
What do you need me to do?
Edora Sighrist
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What do you need me to do?
Dim 8 Sep - 15:44
Le parallélisme des énigmesNabu
H-14

Plus que deux clés ! Edora touchait au but et marchait de plus en plus vite, faisant fi de la fatigue et de la faim, galvanisée par l'envie de sortir et l’issue de plus en plus proche. Ses pas finirent par la mener aux abords d'un village, un autre. Il n'était guère plus accueillant que le précédent, encore une fois, la corruption s'était infiltrée partout dans les interstices des briques et des tuiles, entre les pavés des rues et sur la végétation qui avait perdu sa magnificence. Ce monde était mourant et tout suintait de cette fatalité inéluctable. Elle avança tout de même, presque habituée à présent et en espérant que ce village promette une issue plus glorieuse que le précédent. Déjà sans vampire foireux dans les parages, elle avait peut-être plus de chance. Il n'était guère plus accueillant que le précédent.

Parmi les maisons désuètes, il y en avait une qui attira davantage l'attention de la nilfgaardienne. Elle n'était pas en meilleur état, elle n'était pas non plus moins corrompue, c'était autre chose, une attraction surnaturelle et inébranlable qui avait guidait ses pas jusqu'à présent. Elle rentra donc dans la bâtisse pour n'y trouver que plus de corruption encore. Pourtant, elle continua d'avancer jusqu'à une nouvelle porte gardée par deux feux follets. Elle continua toujours, franchissant ce nouveau seuil pour découvrir une pièce bien différente du reste, immaculée et habitée par un seul être qu'elle devinait être le maître divin des lieux. Le regard de l'espionne ne manqua pas de remarquer la clé que l'homme tenait entre ses mains et elle ne put retenir un sourire de satisfaction. Au moins la force qui l'avait mené jusque-là ne lui avait pas indiqué une nouvelle épreuve sans contrepartie. Ne lui restait plus maintenant qu'à découvrir qu'elle allait être ce nouveau teste. Elle écouta les paroles de l'homme, relevant l'allusion à la curiosité. Évidemment qu'elle était curieuse, c’était quasiment un prérequis indispensable dans son métier. Pas d'espionnage sans une grosse dose de curiosité. Concernant les énigmes en revanche, sa familiarité avec ce type de jeu venait davantage de ses origines et des jeux menés par les puissants. Ils avaient toujours eu à cœur de prouver leur supériorité sur le reste du commun des mortels par quelques traits d'esprit sibyllins que les autres n'étaient pas censés comprendre. Alors des énigmes, elle en connaissait quelques-unes, restait à savoir si cela était suffisant. « Une énigme hum ? Fort bien, annoncez la couleur et nous verrons si les mondanités pompeuses ont portées leurs fruits. » Sur ses mots, la jeune femme vit le parchemin de l'homme se déplier face à elle pour y découvrir l'énigme à laquelle elle allait devoir répondre.

Édit poste-de : « Qu'est-ce qui est devant nous mais que l'on ne voit jamais ? » Edora ne put s'empêcher de froncer un sourcil devant les quelques mots inscrit tout en répétant l'énigme en espérant la comprendre plus vite. Elle porta une main à son menton dans une expression qu'elle arborait très souvent dans son travail lorsque quelques informations lui donner du fils à retordre de par leur clarté toute relative. Qu'est-ce qui pouvait bien se trouver devant nous sans être vu ? Cela ne pouvait pas être une réponse terre à terre du type "l'horizon" ou "l'air", déjà parce que d'une part, on pouvait contempler le premier et d'autre part la réponse devait sûrement semblait plus spirituelle à l'une des déités de ce monde que s'était montré si tordu jusqu'à présent. Plusieurs hypothèses se formèrent dans l'esprit de la jeune femme et elle en venait toujours à la même conclusion, cela devait avoir à faire avec le temps. L'avenir. Hum... Pourquoi pas, elle ne voyait que cela en vérité alors autant se fier à ses réflexions. Elle finit donc par annoncer sa réponse avec assurant et conviction « La réponse est "l'avenir" » et c'était visiblement la bonne puisqu'elle vit l'homme sourire et sentit une nouvelle clé s'inscrit sur son poignet. Elle rendit alors son sourire à la déité qui s'était montré généreuse de ne lui avoir infligé qu’une épreuve sommes tout assez simple. Elle quitta finalement la pièce, la maison et le village pour partir en quête de la dernière clé qui lui donnerait accès à son avenir à elle qu'elle devinait fort plaisant en compagnie d'un incube en particulier.
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Edora Sighrist
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Maître Jaskier
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Dim 8 Sep - 15:44
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Danaän Peryite
bard of a thousand words
Danaän Peryite
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bard of a thousand words
Lun 9 Sep - 13:43
Le parallélisme des énigmes
Nabu



H - 24 avant la fin de l'illusion

Tu avais flatté un corbeau, survécu à une chute de la tour de Raiponce et survécus également à une pièce de théâtre improvisée et le tout t’avait rapporté des clés. Tu étais en bonne voie pour sortir et ce monde terrestre semblait moins enclin à te mettre face à tes peurs et tes tentations les plus profondes et tu n’allais pas t’en plaindre. Tu te connaissais, tu connaissais les tourments tortueux des coins sombres de ton esprit, tu connaissais même ces pensées que tu refusais d’admettre et celles que tu t’évertuais à cacher sous les drogues et les excès. Alors la dernière chose que tu voulais, c’était les voir t’être imposé sans que tu puisses t’y soustraire, sans que tu puisses fermer les yeux, sans que tu puisses fuir. Tu savais qu’il te faudrait les affronter un jour ou l’autre, ces aversions que tu avais pour le monde dans lequel tu vivais, mais tu ne voulais pas le faire, pas maintenant. Alors si ce territoire de terres et de poussières pouvait continuer à te confronter à des épreuves dans lesquels tu n’avais pas besoin de mettre ton esprit à nu, ce n’était pas plus mal.

Pour l’instant donc, les choses tournaient à peu près rond alors que tu déambulais toujours dans le village intemporel. Tu te souvenais que le nain que tu avais croisait précédemment avait parlé d’énigme en venant de cette direction, ne te restait plus qu’à trouver le lieu de l’épreuve. Tu ne connaissais pas beaucoup d’énigme. Il faut dire que, sans vouloir dénigrer l’intellect de ton père, ce n’était pas du tout la tasse de thé de Luther. Les notions de ces jeux sibyllins, tu les avais apprises à l’académie pendant les années où tu étudier la musique et la littérature. Mais même si tu avais des bases, tout comme Luther, tu n’en avais pas fait un véritable passe-temps, loin de là. Le seul atout que tu avait été ta faculté à te jouer des mots et les connaitre peut-être mieux que la plupart des gens. Tu espérais tout de même que cela soit suffisant et que la fatigue ne ferait pas trop vriller ton cerveau lorsque tu arrivas devant la porte d’une maison qui attira plus ton attention. Tu devinas sans mal que c’était le lieu que tu cherchais et tu poussas la porte sans attendre. La pièce qui se dessina sous tes yeux faillit te faire faire demi-tour alors la corruption était omniprésente et qu’il n’y avait aucune trace d’une divinité ou d’une fable quelconque. Mais la porte qui se trouvait au fond de la pièce et qui était encore miraculeusement épargnée te poussa à continuer, à l’ouvrir et à avancer dans cette nouvelle salle aux antipodes de la précédente. Elle était blanche, immaculée, luisante d’une marbre parfaitement polie et d’une surface d’eau miroitante. Au centre de la pièce un homme tenait un parchemin et une clé. L’homme aux énigmes. « Va pour une énigme, posez votre question. » Répondis-tu à ton laïus. Pour le coup et pour une fois, la curiosité n’y était pas pour grande chose, la soif de rentrer chez toi en revanche... Tu attendis donc patiemment qu’il déplie le parchemin sous tes yeux pour connaitre l’énigme à laquelle tu allais devoir trouver une réponse.

Édit post-dé : « Je tombe sans me faire mal ? » Tu lus l’énigme à voix haute comme pour être sûre que c’était bien cela. Mais oui, c’était bien cette question à laquelle tu avais déjà la réponse. C’était presque trop facile à vrai dire si bien que tu pensas à l’éventualité d’un piège avant de vite la repousser. Après tout, tout le monde n’avait pas forcément la réponse, tout le monde n’avait pas passé autant de temps que toi à observer le ciel et notamment le ciel nocturne, tout le monde n’avait pas passé autant de temps que toi à essayer de l’apprendre par cœur et à composer des musiques et écrire des paroles capable de rendre hommage à sa complexité et sa beauté changeante. Tout le monde n’avait pas forcément cherché toutes les manières de décrire le coucher du soleil et le réveiller de la lune. Tes carnets étaient pleins d’ode au ciel, aux étoiles et à la lune alors la réponse tu l’avais et tu souris à l’homme, presque malicieuse, presque trop fière avant d’énoncer la réponse. « C’est la nuit qui tombe jour après jour sans se faire mal. » L’homme sourit à son tour et une nouvelle marque apparut sur ta peau, la huitième. « Je vous remercie maitre des énigmes. » Tu t’inclinas face à lui, reconnaissance de cette victoire facile avant de quitter les lieux. Tu touchais au but, et heureusement car tu étais ici depuis de longues heures et tu ne savais pas combien de temps il te restait.

b l a c k f i s h
Danaän Peryite
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