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Nuage Polaris de Spalla || I begin to assemble what weapons I can find, 'cause sometimes to stay alive you gotta kill your mind. ❞
Nuage P. de Spalla
What is truth if not an illusion?
Nuage P. de Spalla
Race Race : Doppler.
Habite à Habite à : Novigrad et Velen, tu gambades.
Couronnes Couronnes : 28122
Messages Messages : 105
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What is truth if not an illusion?
Ven 20 Sep - 12:16
No deeper madness than your own making. Visions lashing blades of shame,
but will you take the blame?
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Nuage Polaris Feyrith de Spalla

ft. Ezra Miller
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
nom: de Spalla, car c'est là d'où tu viens, ainsi que Feyrith, patronyme de ton père adoptif  ; prénom: Nuage, prénom donné par une jeune demoiselle, et Polaris dont tu préfères taire l'origine et que tu n'utilises que pour signer tes compositions ; âge: entre 57 ans et 68 ans, même si tu parais en avoir la vingtaine ; lieu de naissance: Lyrie, près de la forteresse de Spalla ; lieu d'habitation: Brunwich, Velen, tu t'es obligé à avoir une maison, mais tu te considères plus comme un sans domicile fixe, préférant dormir à la belle étoile ou squatter chez d'autres à Novigrad ; date de naissance: le 15 décembre, une date qui n'est probablement pas exacte mais qui est la date de ta rencontre avec Gorgyr ; race: doppler aux multiples formes animales mais ne possédant qu'une forme humaine que tu utilises de façon régulière, un elfe à priori Aen Elle avec un quart humain ; tu as également une forme humanoïde féminine, mais que tu gardes profondément secrète ; profession: barde itinérant de profession, de jour comme de nuit, dans les rues comme dans les tavernes, petit voleur à ses heures perdues et messager alternatif d'Elerinna de Novigrad ; situation amoureuse: Célibataire au coeur pris, ton cœur est pris par un vampire autour duquel tu gravites sans pour autant prononcer un mot sur tes sentiments ; situation financière: pauvre mais tout ce que tu gagnes part dans ta survie, et le reste? Aux autres ; orientation sexuelle: panromantique et demisexuel, ta confiance pleine et entière étant difficile à avoir, il est presque impossible de t'avoir dans son lit sans un minimum de combat ; groupe: Citoyen possédant bien trop de foi pour ce monde.

you're a storyteller
That day, I learned life and death are always so mixed up together, in the same way some beginnings are endings, and some endings become beginnings.



state of mind
I lay still for a while, picking up the scattered garments of my mind and trying to assemble some kind of reasonable outfit from them.

« ‘Pa, pourquoi les gens ne sourient pas ? » Tes doigts glissent, inlassablement, sur les cordes de l’objet que tu tiens entre tes doigts, laissant s’allumer une mélodie que tu connais sur un instrument que tu ne maîtrises pourtant pas. Tes yeux sont clos alors que chaque chose résonne et que le silence plane dans le reste de la pièce. Pas un mot n’est soufflé, seules quelques respirations se font sentir, alors que la chanteuse commence à entamer les paroles mélodieuses d’une symphonie que tu as composée dans le secret de tous. Les cordes de la harpe blessent le bout de tes doigts mais tu t’en fiches, éperdument, ce n’est pas ça qui compte. Ce n’est jamais ça qui compte. Tu ouvres tes yeux et tu vois ce que tu cherches en permanence : des sourires, des étoiles dans les yeux de certains, des larmes dans d’autres et quelques regards curieux. Eternel altruiste, tu observes ceux qui eux-mêmes, te contemplent dans ce qui est ta vocation, ce qui est ta plus grande prouesse : celle de donner du bonheur aux gens par ta musique. Tu souris doucement, et tu te reconcentres sur ce qui est la symphonie au pic de sa fortune, faisant fi du sang qui passe doucement sur le bout de tes doigts, à force de pincer les cordes, te concentrant sur cette simple idée que : tu veux que les gens soient heureux et aient un peu de bonheur face à ta musique. « N’est-ce pas là une putain d’illusion, Nuage ? Tu veux faire croire aux autres que tout ce que tu souhaites c’est qu’ils soient heureux ? Putain d’hypocrite. » C’est faux. Tu le sais que ce qui se souffle entre tes oreilles, c’est faux. Tout ce que tu as toujours souhaité, c’est que les autres puissent avoir un peu de bonheur. Altruiste à outrance, à excès, jusqu’à sacrifier ton propre bonheur pour le leur, tu sais que c’est vrai. C’est ancré dans ta personne, dans ton existence même. Tu refuses de tuer pour ta vie, tu refuses d’être un boulet pour les autres, tu refuses de peiner qui que ce soit avec la stupidité de tes propres problèmes, tu refuses d’être agaçant même si tu te sais l’être. Mais il n’y a rien de plus faux que de croire que ce que tu fais, c’est pour la notoriété, l’argent ou la reconnaissance. Tu n’es pas un hypocrite. Tout ce que tu souhaites, c’est aider ceux qui ont été brisés à se reconstruire, à avoir un peu de bonheur. A ton échelle, tu es conscient de ne pas pouvoir faire grand-chose, mais ça ne t’empêche pas d’essayer, n’est-ce pas ? Alors, tu le fais. Tu as des troubles de la concentration, alors tu sais que tu peux difficilement tenir une conversation pour réconforter les gens, mais tu peux tenir une mélodie pendant des heures, tu peux aider les autres en entamant une musique aussi douce que triste, aussi joyeuse que mélancolique, dans le simple but d’apaiser les autres, parce que c’est tout ce que tu sais faire et ça te convient. Tu es généreux, chaque pièce que tu gagnes et qui ne t’es pas utile à ta survie, tu l’offres au premier qui en a le besoin. Tu vis de l’abnégation de toi-même pour aider les autres, pour leur permettre de remonter quitte à ce que toi, tu tombes. Tu fais de ton mieux, même lorsque tu sais que tu n’es pas le meilleur dans ce domaine : tu aides les marchands à déballer leurs marchandises, tu aides les coiffeurs à nettoyer leur échoppe, tu aides la jeune dame à garder ses enfants et à faire la cuisine… Tu veux juste alléger le poids de ceux qui en ont trop. « Ouais, c’est ça. Tu aides les autres parce que t’as pas été foutu de m’aider moi, t’as pas été foutu d’aider ton père et t’es pas foutu de t’aider toi. Enfoiré. » Tu lèves les yeux, essayant de faire fi de cette voix, appuyant plus fort sur les cordes, te concentrant un peu plus sur la mélodie, te concentrant sur les sourires qui passent sur les visages des spectateurs. Ne te concentre pas sur la voix, non. Respire. Tu n’es pas un hypocrite mais il n’y a pas que du faux dans ce qu’il dit, tu le sais. Mais tu refuses de le voir. Non, c’est un problème à toi, et… Tu préfères te focaliser sur celui des autres parce que tu veux vraiment aider les autres, tu veux vraiment les voir heureux. Alors oui, peut-être que c’est pour remplir un vide que tu as, à force d’avoir perdu, mais… Tu veux vraiment que les gens soient heureux, dans un monde qui a couvert beaucoup trop de douleur en trop peu de temps. Tu te sens bien à l’idée que les gens puissent recouvrir un peu de bonheur rien qu’avec ta musique, avec les petites doses d’altruisme que tu donnes, avec l’abnégation de ta personne. Alors, non. Tu n’es pas hypocrite. Tu es simplement gentil. Tu es câlin, tu es joueur, tu es prêt à plein de choses pour voir le sourire des autres illuminés leur visage, tu es prêt à beaucoup de choses. Tu es peureux, sur pleins de points, mais tu ne l’es pas vis-à-vis des autres. Il te faut énormément pour t’effrayer et te faire fuir, parce que tu sais à quel point le recul fait mal, le rejet peut faire mal. Donc tu te contiens, généralement. Tu es bénévole, tu aides, tu fais de ton mieux, en permanence, parce que tu souhaites juste que le autres se sentent bien. C’est utopiste, tu le sais. Tu tends parfois le bâton pour te faire battre, mais… Soit. C’est ainsi. Tu te retrouves si souvent dans des situations étranges qui attisent ton empathie la plus profonde et la plus naturelle, ta nature câline et compréhensive, à juste trouver le mieux pour les autres. Tu n’es pas homme de mots mais homme d’actes, tu trouveras toujours une solution, pour aider quelqu’un. Tu es têtu. Tu es plein de choses, mais à tes yeux, tu n’es pas un menteur. Non. Non. Non. Tu es honnête, tu n’es pas hypocrite, tu… Tu essayes juste de bien faire pour que tout tourne correctement car il est hors de question que tu fasses, de nouveau, de mauvais choix. « Menteur. T’es juste un PUTAIN de menteur. »

« ‘Pa, pourquoi les gens me regardent bizarrement ? » Tu étais assis, sur une souche d’arbre dans une cour boueuse, des gens se retrouvant tout autour de toi, des enfants majoritairement. L’archet entre tes doigts, tu faisais doucement glisser le crin contre les cordes, laissant la mélodie s’échapper du corps de l’instrument en bois qui était calé dans le creux de ton épaule. Tu étais concentré. C’était le seul moyen de te garder complètement concentré sur quelque chose : te donner un instrument et te laisser jouer de tout ton saoul. Tu ouvres les yeux et la scène qui se déroule devant tes yeux te fait sourire, le plus naturellement du monde : des enfants qui dansent, qui font la ronde et qui s’amusent sur la musique que tu as décidé de leur faire, pour leur pause entre deux leçons. Avec ton habituelle timidité, tu laisses ta voix s’élever, claire et pure comme la forme de rossignol qu’il t’arrive de prendre. Ta voix est d’abord timide, n’osant qu’à peine surplomber les notes de la vièle, tout comme tu l’es, naturellement, malgré tout ce que tu dévoiles de ta personne en jouant. « Pffff… Nuage, encore un mensonge ? A d’autres. » Tu fermes tes yeux, inspire et reprend les notes, les paroles, comme si de rien n’était. Tu sais que tu ne le parais pas comme ça, que tu es timide, qu’au fond, tu as peur d’aller vers les gens, par peur de les embêter, d’être un boulet accroché à leur cheville. Tu es profondément timide, profondément peureux, tu ne t’en es jamais caché, jamais. Seulement, tu sais aussi ce que les gens pensent de toi, tu sais ce qu’ils pensent quand ils te voient : toujours souriant, toujours énergique ; une boule d’énergie, qu’ils disent, un rayon de soleil, que d’autres proclament comme si c’était une vérité universelle. Ce n’est pas faux, tu l’es. Tu es souriant en permanence, tu rigoles pour tout comme pour rien, tu bouges en permanence, un hyperactif que l’on pourrait croire, qui ne peut se contenter de rester planter là à se tourner les pouces. C’est vrai. C’est foutrement vrai. On croirait voir un enfant, dont l’innocence donne lieu à un sens de l’humour quelque peu bancal par son innocence. Tu es innocent. Tu as le cœur au bord des lèvres, toujours prompt à accorder ton amitié – ta confiance est plus difficile – toujours à apporter du bonheur aux autres par des sourires honnêtes et sincères. Tu ne ferais pas de mal à une mouche, tu te bats pour la paix, une utopie imaginaire que tu essayes de forger dans tes musiques, pour un bonheur universel qui s’accorde à tous. « T’es utopiste, Nuage, ça sert à rien. Ce monde est pourri. Tu es pourri. » Eternel optimiste, oui, aux yeux des autres, et tu essayes de t’en persuader, tu essayes de chasser le pire de tes pensées parce que tu dois l’être. Tu es vrai, pourtant. Tu te refuses au mensonge. A l’omission, peut-être, mais jamais au mensonge. Tu détestes la manipulation, tu détestes ne pas être sincère, alors tu fais de ton mieux. C’est toujours ça : tu fais toujours de ton mieux pour être bon parce que c’est tout ce à quoi tu aspires. Faire de ton mieux, être bon, foncièrement et pas juste en surface. Tu sais que tu as des casseroles, des défauts, mais tu essayes de faire au mieux pour les autres, parce qu’ils n’ont pas besoin d’une peste parmi eux, même si tu te sais parfois énervant, envahissant même. Tu n’aimes pas être seul, après tout, alors quand tu peux rester auprès de certains, tu le fais, et… Tu ne te rends bien souvent pas compte que tu es ennuyant, à moins qu’on te le fasse comprendre. Tu es aveugle sur ce point. Tu décèles difficilement la colère ou l’ennui à moins que cela soit véritablement visible tout comme tu décèles assez peu les sentiments que l’on peut te porter, l’attirance que l’on peut avoir pour toi. Tu ne le vois pas, pas parce que tu ne veux pas le voir – quoique – mais parce que tu ne le vois tout simplement pas. C’est ce qui te donne cet aspect parfois un peu susceptible quand on te pointe du doigt quelque chose que tu n’as pas vu et qui semblait pourtant… Si évident. « T’es mignon, Nuage, comme si… Comme si on pouvait t’aimer ah ! T’es un monstre ! » Tu inspires à nouveau, te concentrant sur les notes, sur ce qui te passionne plus que tout. La musique est ton catalyseur, c’est ce qui te garde sur terre, ce qui t’aide à te maintenir au-dessus de l’eau et c’est ce qui aide les autres, c’est ce qui en inspire certains, qui en calment d’autres, toi… C’est ce qui t’anime, ce qui garde la voix au loin, mais jamais pour très longtemps. Tu rouvres les yeux. Il n’y a plus personne, tu ne sais qu’à peine l’heure qu’il est mais.. Il est temps de plier bagage, avant que la solitude ne te creuse une tombe. « C’est ça, va-t’en, MONSTRE. Sale bête sans cœur ni tête ! Tu creuseras ta tombe tout seul, de toute façon. Parce que tu sais quoi ? Tu es tout seul. »  

« ‘Pa, pourquoi on m’a coupé les oreilles ? » Ta tête se balance de droite à gauche, tes doigts glissent contre les cordes de la mandoline alors que la pluie tape doucement contre la petite toiture sous laquelle tu es abritée avec d’autres malandrins qui ne souhaitent pas se rendre malade. Tu t’étais arrêté ici, dans une de tes aventures au travers des longs champs de Velen, lorsque la pluie avait commencée à tomber, sans que cela soit plus étonnant que ça. Car tu étais un aventurier, un curieux, impossible à tenir en place, toujours obligé de bouger, de découvrir de nouvelles choses, et … En voguant ci et là, c’était le meilleur moyen. Un marchand s’était joint, puis une fermière qui ralliait son village et deux enfants. Tu étais assis par terre, la mandoline sur tes genoux et tu jouais, apportant une certaine touche de douceur à une journée qui s’était couverte bien trop vite. Tu ne faisais plus attention au temps, ni même à la météo nuageuse et pluvieuse, alors que tes doigts coulaient naturellement contre les cordes. « Un génie musical » qu’avait dit ton père, il y a de ça un long moment. Tu étais capable d’apprendre à une vitesse impressionnante n’importe quel instrument, et tu étais passionné. Mais ça, c’était pour toute chose qui arrivait à tiquer ton intérêt et à capter ta curiosité, même si tu avais bien évidemment des préférences évidentes. Cependant, tu n’es pas difficile à occuper, non, tout comme il n’est pas difficile de piquer ta curiosité. Le plus dur, c’est de te garder concentré dessus, plus de cinq minutes. Un trouble de l’attention, qu’un médecin t’a dit. Tu ne sais pas vraiment de quoi ça découle ou autre, mais tu sais que c’est probablement à cause de ça que tu as du mal à écrire, à aligner les mots sur le papier, que tes conversations sont parfois floues et beaucoup trop rapides et surtout… C’est pour ça que tu te distrais au passage d’un papillon. « Un peu comme si tu avais 4 ans, merde. Putain, en plus d’être un monstre, t’es pas foutu de te concentrer. Pitoyable. » Tes yeux s’ouvrent brutalement, tu inspires, tu expires et tu reprends, remarquant que le marchand a repris sa route. Tant pis. Tu reprends ta musique, légèrement plus mélancolique alors que tu penses aux différents diagnostiques qui sont passés et ta difficulté à ne pas être anxieux face à ça. Mais bon, c’est comme ça hein ? La vie est faite ainsi. Tu n’es pas parfait et tu ne souhaites pas l’être. Tu fais juste de ton mieux. Et ça inclut plein de bonnes choses malgré tout ! Tu es peut-être quelque peu lâche, quelque peu peureux, mais tu es généralement déterminé et quelque peu teigneux. Quand tu as une idée dans la tête, tu ne l’as pas ailleurs et on ne pourra te déloger celle-ci qu’importent les manœuvres. Et encore.. Peureux, ça dépend pour quoi. Tu n’es pas le plus téméraire des garçons, c’est certain, mais tu ne fuiras pas devant tout et n’importe quoi, et pas devant n’importe qui. Après tout, tu as besoin des autres pour ne pas te perdre. Mais c’est un autre sujet pour un autre jour, pas aujourd’hui. Revenons à… Ah ! Oui. Il y a pleins de choses à dire, malgré tout. Et même si tu es concentré sur ta musique, à ce moment précis, tu sais qu’il va falloir que tu bouges, à un moment donné, car tu as faim. Tu es gourmand, un peu. Pas énormément parce que ce type d’achat ne fait pas parti de tes priorités, non. Mais il pleut encore, et tu ne peux pas trop bouger. « Ouais, parce que t’es une sainte-ni-touche, tu veux pas qu’on te voit trempé, qu’on voit ton corps, hein ? Pauvre bête. » Tu frissonnes doucement alors que tu remarques qu’il ne reste que la jeune femme. Cependant, la voix a raison, pour une fois. Tu es pudique, pour bien des raisons, et rares sont ceux qui ont pu voir ton corps nu, malgré tout. Tu es une créature particulière. Un rayon de soleil, comme ils disent, avec le sourire toujours présent, et pourtant… Dès qu’il est question de sous-entendus, de choses plus charnelles, tu es quelque peu perdu. Tu connais la chose, ce n’est pas le problème, non, tu n’es pas innocent à ce point-là. C’est juste que… Malgré tous les sourires et les bonnes attentions que tu as pour tout le monde, tu ne peux plus accorder cette vision – que tu juges pas très belle – à quiconque, ou du moins, pas si aisément. Si ton amitié est aisément accessible, ta confiance est plus difficile à obtenir. Tu débordes d’amour mais tu n’as personne à qui le donner parce que là-dessus, tu es peureux. Tu as peur. Et tu penses, très sérieusement, que tu ne mérites pas que l’on prenne ton amour, ton affection. C’est idiot, tu en es conscient. Mais n’est-ce pas moins idiot que le racisme qui court les rues et qui t’a enlevé le bout de tes oreilles ? Si, ça l’est moins. Il en demeure que tu es pudique, que tu accordes tout de même difficilement ta confiance et que tu as besoin de liens forts, de sentiments puissants alors que pourtant… Dans ta tête, tout est son pareil et son contraire en même temps. Néanmoins, tu fais de ton mieux, n’est-ce pas ? Toujours. Tu tiens tes promesses, tu te tiens à tes valeurs, tu essayes de ne pas t’égarer, tu es gentil, tu es bienveillant, tu souris toujours, tu… Tu essayes. Tu rouvres les yeux, et soudainement, la lune est descendue et… Tu es seul. Tu observes les alentours, il ne pleut plus. Tu vas devoir rentrer. Ton cœur se serre, ton estomac se tend légèrement, tu sens l’anxiété qui filtre sous ton épiderme. Il faut que tu rentres, alors… Tu inspires, tu expires, et.. tu pars pour rentrer. « Ne pas t’égarer ? Tu es déjà perdu, petit chiot errant. Et personne ne sera jamais là pour te récupérer. Démerdes-toi. »  

Trigger Warning à rajouter. Bleh.

« ‘Pa, pourquoi j’ai mal ? » Les quelques petites notes de flûte s’échappent, au compte-goutte, lentement, brisant le silence installé dans la pièce dans laquelle tu es. Les seuls sons produits sont ceux du mouvement de ton corps dans l’eau de ta grande bassine de bois qui te sert de baignoire et les notes, mélancoliques, tristes, de ta flûte. Rares sont ceux qui peuvent avoir cette vision de toi, celle sans sourire, sans ton apparence joviale, sans… Ce qui fait de toi, toi. Il n’y a même personne qui peut le voir, tu le refuses. Tu es introverti, secret. Parler de tout et de rien, de ce que tu as pu faire dans une journée, c’est aisé pour toi, tu aimes parler. Tu adores ça, même quand les mots se mélangent dans ta tête et que tu te retrouves, bien trop souvent, à ne pas savoir où tu vas, que ce soit par écrit ou par oral. Mais… Dévoiler ce qui remonte à plus de quatre ans, dévoiler tes problèmes, ce qui se passe dans ta tête, tu en es incapable. Un mécanisme de défense peut-être, ou simplement parce que tu ne veux pas empoisonner les autres du propre poison qui consume ta conscience, jour après jour. Parfois, tu aimerais. Parfois, ta bouche s’ouvre pour le dire, et finalement… Finalement, aucun son ne s’en échappe. Personne ne s’y intéressait, de toute façon, n’est-ce pas ? « Exactement, tout le monde s’en fiche de ce qu’il se passe dans ta tête de nœuds. » Tu inspires, à nouveau, et expires. Chut, tais-toi, s’il-te-plaît. Un plaidoyer inutile depuis le temps que cette voix parasite chacune de tes actions jusqu’à modifier ton propre comportement dans certaines situations. Si tu avais pu t’échapper de cette voix qui porte les mêmes tonalités que la tienne, tu l’aurais fait. Mais cela fait bien trop longtemps que ça dure, bien trop longtemps qu’elle est là pour que tu arrives à l’en déloger naturellement. Elle te modifie, elle te modèle selon ses codes et ses envies. Ton comportement varie, prend des virages à 380 degrés. Toi, l’homme aux sourires solaires, aux mots gentils et aux bonnes attentions, tu deviens le monstre que l’on rêve de voir en toi, agressif, sur la défensive, prêt à aboyer sur quiconque qui attise ce comportement et, pire que tout… Avec l’envie, inhérente à cette deuxième personne qui est créée par ta propre culpabilité et ton regret, de tuer, de faire mal à ceux que tu as pourtant promis de toujours aider. Les monstres sont ceux qui attisent le plus cet aspect dérisoire et bancal de qui tu es. C’est comme jouer à la roulette à chaque fois, tu tires la bonne carte et tout se passe bien, quant à l’inverse… Tu peux aboyer, devenir plus agressif, presque méchant sans que ce soit de ton propre fait, de ton propre contrôle. Tu traînes ta culpabilité comme le plus lourd de tous tes fardeaux et au lieu d’être à ta cheville, il se matérialise dans ta tête, trouve dans tes plus profondes peurs ses racines les plus tenaces et les plus indescriptibles, t’offre mille nuance de noir et de rouge sur une toile blanche. Tu t’en veux d’avoir tué, de t’être sauvé, de t’être défendu, de ne pas avoir pu sauver cet elfe, de ne pas avoir pu sauver ton père adoptif, tu t’en veux pour tout. Et tu embrasses ce regret et cette culpabilité quand la solitude t’accable naturellement, quand il n’y a personne pour te ramener et qu’il n’y a que la douleur et les larmes pour t’engloutir dans les tréfonds d’épisodes paranoïdes et dépressifs. Tu vis à la belle étoile, tu vis dehors mais c’est entre les murs de ta maison que tu as le plus peur, peur de toi-même, de ce que tu es capable de faire aux autres et à toi-même. C’est dans ta maison que tu as le plus peur de mourir parce que tu sais que la lame n’est pas loin et que même la musique n’éloignera pas la voix dans ta tête. C’est dans ta maison que tu uses et abuses de ces mêmes lames, parce que tu refuses de faire du mal aux autres, alors… Tu le fais à toi-même, pour contenir le démon au loin, pour éviter que tu ne dérapes, que tout s’écharpe et se brise et qu’à jamais, la lame serait celle de trop par une nouvelle erreur. Tu préfères te faire mal que laisser aller à cette voix qui te dit de tuer, de blesser, de tuer avant que ce ne soit toi qu’ils tuent. « Et puis, au pire, si tu meurs, qu’est-ce que ça change ? Tu n’es rien. Je te déteste, ils te détestent tous au fond, parce que tu es un monstre, une ordure de la pire espèce ! » Un sanglot brise le silence et la flûte tombe au sol, dans un bruit sourd tandis que tu replis tes jambes contre ton buste, le front posé sur tes genoux, replié comme si tu pouvais te défendre ainsi. Mais tu ne le peux pas. Tu es faible, tu l’as toujours été. A quoi bon ? Tu es persuadé que les autres ne t’aiment pas, te prennent simplement en pitié, tu te convaincs et la voix te convainc de cette triste réalité dans laquelle tu t’enfermes lorsque tu es seul, et c’est pour cela que tes barrières sont hautes quand bien même ton cœur aime avec beaucoup trop de fermeté et de facilité. Tu aimerais qu’il ne le fasse pas, qu’il soit incapable d’aimer, mais ce n’est pas le cas. Tu n’attends pas à ce que l’on t’aime en retour, jamais. Tu ne penses pas mériter l’attention de qui que ce soit, tu ne penses pas qu’un monstre tel que toi, avec de tels problèmes, puisse posséder l’affection réelle de quelqu’un et… Au fond, ça te va. C’est quelqu’un que tu ne blesseras pas par inadvertance, c’est quelqu’un qui sera heureux, sans toi. Et c’est mieux. Ils sont mieux sans toi, et toi… Tu resteras dans les ombres que ta propre conscience créée, avec les mécanismes de défense foireux qui s’entourent autour de ton esprit, brisent ton éducation, tes valeurs, ta morale, tout est brisé. Tu les vois danser derrière tes yeux, représentant ton anxiété habituelle à l’idée d’être auprès des autres, de les ennuyer en étant trop présent, trop envahissant, trop énergique ; ta difficulté à t’attacher, contradictoire avec ce besoin d’amour que tu ne dévoiles jamais, que tu gardes pour toi, pour ne pas que les autres pensent que tu es un boulet, une sangsue ; ta culpabilité, ton regret, ton incapacité à avoir fait les bons choix quand il le fallait pourtant ; ta dépression épisodique, tes idées sombres et noires, nourries par ce regret constant, par cette brûlure qui arrache à ton crâne la douleur froide de l’asphyxie ; ta haine, ta propre haine de toi-même, celle de ce corps que tu mutiles et acharnes dans l’espoir de ne jamais toucher à un cheveu de qui que ce soit, d’un corps que tu as pourtant jurer de faire vivre mais que tu pousses, de plus en plus vers la tombe, que tu écharpes comme s’il s’agissait d’un oignon et que tu refuses de voir parce que sa laideur, ses cicatrices sont tout ce que tu détestes. « Je me déteste plus que quiconque pourrait me détester en retour, alors tais-toi ! Laisse-moi tranquille ! » Ta voix n’est plus qu’un infime sanglot, brisé et déconstruit, tout comme ta conscience qui ne sait quoi faire quand la voix se tait et que tu te retrouves face au silence et à la profondeur de ta propre haine de toi-même, de ce corps qui n’a jamais été le tiens et qui ne sera jamais le tiens et que tu as pourtant juré de faire vivre et dont tu creuses la tombe jour après jour. Tu sais que la voix est toujours là, quelque part, elle ne partira jamais. Elle sera toujours là tant que tu t’en voudras, tant que tu te détesteras. Même si tu n’es pas malheureux, même si tu es jovial et joueur, même si tu es curieux et aventurier, même si tu veux le bonheur des autres au dépit du temps, même si tu tombes amoureux et que tu souris à la rejection, même si tu louvoies dans les rues et entre les gens avec le sourire et que tu donnes avec aisance du bonheur aux gens… Peut-être que tout ceci n’est qu’une façade, un mensonge, comme le dit la voix. Au fond, tu sais que ce n’est pas le cas. Tu sais que tu es véritablement ainsi et que c’est de sa faute si tu en viens à penser que tout ceci n’est rien qu’un mensonge. Tu regardes tes mains, tremblantes, et tes yeux, légèrement vidé de tout ce qui pourrait les animer en temps normal, se tournent vers la lame qui est sur le petit meuble à tes côtés. « Non, ne fais pas… ! » Trop tard. La lame glisse sur ta peau, dans une entaille peu profonde mais suffisante pour faire couler un peu de sang dans l’eau du bain, devenue froide par le temps que tu y as passé. C’est comme si un poids se soulève, le temps de quelque secondes, alors que ta tête repose sur le rebord du bac, ton corps glissant doucement sous les eaux. Quelques secondes avant que la culpabilité ne revienne, ne brise à nouveau ta concentration et tout ce que tu es. Quelques secondes, mais c’est mieux que rien. Quelques secondes avant qu’une dernière larme ne glisse sur ta joue. Quelques secondes où tu as l'impression, claire et nette de respirer à nouveau, d'entrevoir ta propre personne à nouveau tandis qu'un sourire, quelque peu brisé, s'aligne sur tes lèvres. Quelques secondes où tu ne te détestes plus, où le regret s'échappe, où tu n'as plus peur de blesser quelqu'un parce que la voix dans ta tête le veut, où tes murs ne te paraissent pas si inconnus, où ton anxiété s'échappe doucement, où tous tes besoins malsains et contradictoires s'effritent au grès du vent. Quelques secondes, juste... Quelques secondes. Un rien contre toutes les minutes qui se sont écoulées où ton envie d'en finir était présente. Combien de fois as-tu glissé la lame contre ta gorge, suffisamment proche pour sentir la lame qui touche la peau mais pas suffisamment pour faire une marque, pour te blesser, parce que tu n'avais pas le courage de le faire? Beaucoup trop de fois pour t'en souvenir aujourd'hui. Tu n'as jamais eu le courage d'aller suffisamment profondément pour en finir. Tu as déjà finis dans des états où ta vie était en danger, en appuyant trop fort, avec une crise d'anxiété, avec le tumulte de tes propres pensés comme un tourbillon sans fin. Combien de fois as-tu espéré que quelqu'un en finisse avec toi? Combien de fois as-tu souhaité mourir? Combien de fois t'es-tu blessé dans l'espoir d'oublier? Beaucoup trop de fois. Ton corps en est témoin, les marques sur tes avant-bras, tes cuisses et tes côtes étant les vestiges de tes nombreuses névroses, de ta détresse infernale. Combien de fois as-tu souhaité que quelqu’un te prenne en pitié et plante la lame, une bonne fois pour toute ? Trop de fois. Et pourtant, tu te ravises à chaque fois, pensant à l’espoir, aux gens qui ont besoin d’aide et que tu ne peux abandonner, d’une certaine façon. La lame suffit, doucement, à calmer les névroses, pour un temps. Un simple soulagement qui s'échappe de tes lèvres mordues par le froid et tu entrevois presque une soirée moins mauvaise qu'elle n'a commencée. C'est le silence qui te répond, c'est tes rouages qui recommencent leur circuit normal, celui où tu es juste quelqu'un de gentil, pas malsain, pas contradictoire, pas paradoxal, pas guidé par une voix que tu ne contrôles pas. Juste toi. Pour quelques instants. Car tu sais que ça ne durera pas. Mais tu n'as personne. Il n'y a personne si ce n'est toi, et peut-être Etoile, qui déambule ci et là. Peut-être.. Peut-être que cette fois, c'était la bonne? Tu as beaucoup d'espoir. Tu espères tellement, tu vibres de cette fibre d'espoir, tu es animé par les envies, contraires et complémentaires, tu veux rire, tu veux parler, tu veux échapper à cette solitude, mais tu es chez toi. Ce n'est que pour une nuit. Ce n'est rien. Tu vas bien. Ce n'est qu'une petite entaille, ça fait mal, ça brûle un peu, mais ça t'offre tellement plus. Elle éloigne les monstres et les démons, elle éloigne la voix, elle éloigne des névroses, elle éloigne tout, en quelques secondes, et pour quelques secondes, tu crois vraiment qu'elle est partie, que cette fois-ci, c'était la bonne, tu oublies enfin tes ressentiments, tes regrets, ta culpabilité. Alors, tu fermes les yeux, rejetant ton envie de mourir et d'en finir au loin dans les abysses de ta conscience, essayant de garder ta concentration sur ta respiration. Tu sens que ton corps reprends ses droits, que ta conscience réelle reprend sa place, tu as envie de jouer, d'écrire des notes, de gratter quelques cordes, d'aller aider ton voisin à s'occuper de ces bêtes, tu veux vivre, tu ... « Tu n'apprendras donc jamais, Nuage. »

« Je suis désolé. »




get to know better
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Quelles sont tes capacités physiques? Possèdes-tu des compétences magiques? Quel est ton petit plus ? Etant donné ta nature, tu es polymorphe, et en ce sens, peux prendre l’apparence de qui tu veux ou de n’importe quelle créature. Cependant, tu as des préférences pour certaines formes, notamment celle canine avec ton poil roux et blanc, une forme de chat blanc, une forme de rossignol, une forme de cerf et quelques autres pour te fondre dans les endroits les plus étroits, afin d’aider à tes larcins. En termes physique, tu n’es pas très bon quand il est question de combat à mains nues, étant très vite désavantagé par ta légère maladresse, cependant, tu n’es pas mauvais quand il est question de grimper ou d’escalader ou même d’user d’armes tel que le sabre ou le lance-pierre que tu maîtrises à la perfection, au grand dam de ceux qui souhaitent t’embêter. Parce que si tu ne tues pas, tu sais très bien jeter des pierres pour divertir ou pour blesser un peu, si ta vie est en danger.
Que peux-tu nous dire sur ton métier? Sur ce que tu fais au quotidien? De métier à proprement parler, tu n’en as pas. Oh, bien sûr, tu es toujours prêt à aider les autres, faire des commissions pour quelques couronnes, mais ce n’est pas une profession, bien évidemment que non. Pour subvenir à tes besoins, tu fais parti d’un groupe de voleurs notoire de Novigrad et de Velen, ce qui te permet de récolter quelques couronnes sur des larcins que tu considères comme innocent. Ta vocation, cependant, est celle de barde, de musicien. Tu écumes les tavernes le soir pour donner un peu de bonheur par ta musique et les routes la journée pour dévoiler quelque peu de gaieté dans des terres ravagées et des gens qui le sont tout autant. Maîtrisant la vièle, le luth, la mandoline, et la flûte, tu possèdes tout un attirail d’instruments qui te permet d’être aussi polyvalent que ton humeur et ton génie musical le permet.
Possèdes-tu une arme avec toi? Si oui, comment l'as-tu obtenue et quelle est sa valeur pour toi? Tu possèdes effectivement deux armes. La première est un sabre ophiri, assez court, en acier trempé, avec des inscriptions naines gravées le long de la lame, bien que tu ne saches pas bien ce que cela signifie, même si Grogyr t’a longtemps dit qu’il s’agissait d’une vieille prière pour les guerriers en départ. Ta seconde arme n’est autre qu’un lance-pierre, que tu portes toujours sur toi, avec un sac de pierres. Les deux armes ont été faites par Grogyr, ton père adoptif, et bien que tu gardes le sabre chez toi comme souvenir, tu ne quittes cependant jamais ton lance-pierre, et un petit couteau, juste au cas où.
Quelles sont tes idéologies par rapport au groupe auquel tu appartiens ou veux appartenir? Tu ne vas pas mentir, tu aimerais qu’il y ait un peu moins de racisme parmi les citoyens de ce monde, et un peu plus de gaieté, et c’est pour ça que tu travailles à ce que chacun soit un peu plus heureux, que chacun se sente mieux qu’auparavant après ton départ. Ça ne marche bien évidemment pas toujours, mais tu fais toujours de ton mieux pour donner un sourire aux gens. Tu ne défends pas plus les humains que les non-humains ou les monstres. Ils sont tous sur le même pied d’égalité, à tes yeux. Tu es un utopiste, un éternel optimiste, quand bien même tu es une victime du racisme que tu détestes. Ça te perdra, peut-être.


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Possèdes-tu des traits physiques particuliers? Tatouages? Piercings? Lunettes? Anormalité physique? Des bijoux? Physiquement, il est difficile de ne pas remarquer que tes oreilles ont été coupées, qu’un morceau a disparu, même si tu fais de ton mieux pour le cacher avec tes cheveux noirs. Le visage que tu as pris est plutôt banal, loin d'être particulièrement attirant à ton sens, étrange mélange entre un elfe et un quart d’humain. Tu ne possèdes pas de réels signes distinctifs visibles si ce n’est un grain de beauté sous ton œil droit, ou ta barbe, que tu tailles de façon régulière malgré tout. Tu as d’autres signes distinctifs mais qui ne sont pas visibles à moins que tu retires tes vêtements. A commencer par tes marques de mutilation, ornant tes avant-bras, tes côtes et tes cuisses, intérieur comme extérieur. Ces dernières années, tu décidas d’ailleurs d’en cacher certaines par des tatouages, celles qui étaient trop profondes, mais également parce que tu aimes l'aspect artistique du tatouage. Le premier tatouage n'est pas de ton fait, mais bien de l'elfe que tu as tué et dont tu as pris la forme, quelque chose qui était en rapport avec ses origines, une composition géométrique qui décore le haut de ton dos. Ainsi, le second tatouage que tu as eu a été fait avec ton père, quand tu étais encore jeune, un torque tressé sur ton biceps droit, avec deux têtes de dragon aux bouts et ton prénom originel et le nom de ton paternel adoptif cachés dans les tresses. Le troisième n’est autre que sur ton oreille gauche, coupée, représentant une guirlande de lierre. Tu possèdes la constellation d'Orion, celle du Serpentaire, celle du Loup et celle de la Baleine, dans une composition mixte sur tes côtes, à gauche tandis que la constellation d'Andromède orne ton aine, à droite, avec l'aide de quelques grains de beauté. Gorgyr t'en a fait un, également, de lui même, sur la cheville droite, représentant la constellation du Dragon et de l'Aigle. Tu as également un petit croissant de lune et un petit soleil stylisé sur la cheville gauche. Le dernier en date est sur ton bras droit, une composition de lignes avec de la géométrie qui recouvre alors certaines marques de ta mutilation, même s'il t'arrive d'appuyer encore sur cette zone, déformant parfois le tatouage, contre ton gré. Tu portes également un bracelet composé de petites boules de bois d'acajou, souvenir du scoia’tael dont tu as ôté la vie. Parmi les autres signes distinctifs, tu en as un que bien des gens ne comprennent pas. Tu es plus ou moins décomplexer de ton corps, quand tu es vêtu tout du moins, et tu sais ton visage relativement banal, peu attractif, mais ça tu t'en fiches. Cependant... Tu as un style vestimentaire parfois étrange, lié au fait que tu sois genderfluid et que tu n'apportes aucun intérêt au genre. Tu ne suis guère la mode, prenant ce qui te paraît facile à porter, sans trop te soucier de l'association des couleurs - bien que tu ne portes pas non plus des couleurs trop criardes non plus. Tu sais que tu ne correspond guère à ce que la société attends d'un homme, mais tu t'en soucies guère, et comme pour en rajouter sur ton décalage, il t'arrive de porter des cuissardes et des bottes à talon et de parfois t'amuser de corsets. Tu as une étrange fascination pour ce type de chaussures et de vêtements, usuellement réservé à la gente féminine. Mais tu aimes bien marcher avec des talons, alors tu t'en fiches. Tu ne le fais pas tous les jours, mais... ça t'arrive, régulièrement. Sous tes formes animales, il n'y a guère de choses distinctives à l'exception de tes yeux : vairons. La seule petite chose dans la copie parfaite, mêlant les deux couleurs oculaires que tu as pu avoir avec tes formes humaines. Le bleu de la jeune fille, et le caramel actuel.
Possèdes-tu un animal de compagnie? Si oui, dis nous en un peu plus? En ta capacité de doppler, tu ne devrais pas avoir besoin d’animal de compagnie et ce n’est pas si faux. Pourtant, à mesure que tu te baladais dans Velen, tu tombas sur cette petite créature toute frêle qui répond désormais au nom d’Etoile, un petit chat – sphynx de race, tu appris – au poil grisâtre et aux yeux citrons, que tu trouvas dans des ruines et que tu gardas avec toi. Il ne te suit pas toujours à la trace mais il n’est pas rare de vous voir tous les deux ensembles. De même, tu fais parti de ses quelques personnalités qui aime à nourrir les animaux errants.
Quelles sont tes activités favorites en dehors de ton travail? Il n'est pas si difficile de t'occuper, bien qu'il soit plus difficile de te garder occupé, avec tes problèmes de concentration. Cependant, ce n'est pas pour autant qu'en dehors de ce que tu considères comme ton travail, tu n'y arrives pas. Curieux par nature, il n'est pas rare de te voir replié dans un coin d'une bibliothèque, le nez dans un ouvrage d'histoire car tu es passionné d'histoire, à défaut de l'être pour d'autres sujets. Silencieux, il n'est parfois pas rare que tu passes la nuit dans les dites bibliothèques ou librairies. Pour peu que l'on arrive à capter ton attention, tu t'intéresses à tout, tu es curieux de tout. Toutefois, en dehors de ton temps passé sur les scènes ou à jouer de tes doigts pour du larcin, tu passes énormément de temps sur ce que tu sais faire de mieux : aider les autres. Tu passes ton temps à écumer les rues pour aider ceux qui en ont le besoin, que ce soit pour déplier le linge, garder des enfants, nettoyer des ustensiles de cuisine, ou même encore aider à porter des cartons. Tu as cependant des loisirs, comme tout le monde, en plus d'aider les autres, même si ça fait majoritairement parti de tes occupations premières. Tu prends énormément de temps à composer, écrire des chansons - bien que tu aies toujours du mal avec les paroles - pour que d'autres les joue. Il t'arrive même de les vendre ou de les donner, de temps à autres, sous ton prénom originel, mais ce n'est pas non plus quelque chose de grandiose. Tu es également un fin amateur de peinture. Ayant apprit les bases du dessin il y a de ça quelques années, tu maîtrises le dessin d'animaux, d'objets et d'autres choses, mais tu as encore des difficultés à représenter les êtres humanoïdes. Toutefois, tu as une certaine maîtrise de la couleur et tu adores peindre sur les autres ou sur les murs, en plus des toiles, que ce soit avec des pinceaux ou avec tes doigts. A force d'usage, tu as également appris à coudre, et il n'est pas rare de te trouver avec quelques aiguilles et du fil dans les doigts, en train de coudre quelques petites choses ou juste de raccommoder tes vêtements parce que tu n'as guère l'inspiration à passer des heures chez le tailleur pour ça, malgré ton amour pour les corsets et les cuissardes. Il n'est pas rare, aussi, de te voir juste déambuler ci et là dans les rues sous une forme animale quelconque, te fondant dans la masse pour juste observer les gens et chercher une forme d'inspiration pour de futures balades tout comme il t'arrive de te joindre aux rondes de gens, de danser comme si rien n'avait d'importance. Si ton père adoptif était un passionné d'astronomie et t'as appris énormément de choses à ce sujet, tu n'en as retenu que peu, mais tu as gardé cette passion pour observer les étoiles et reconnaître les constellations que tu peux connaître ; et c'est parfois pour cette raison que tu aimes dormir à la belle étoile.
En trois mots, décris nous ton passé, ton présent et ton futur ? Alliance. Allégorie. Allégresse.
Quel est ton opinion vis-à-vis de la Destinée? Le vieux bougre qui fut ton père adoptif te poussa à y croire, alors… Aujourd’hui, tu y crois dur comme fer, comme tu crois en la déesse Melitele. Tu ne te questionnes d'ailleurs pas vraiment à ce sujet, jugeant qu'il est de mauvaise augure que de juger ce qui te dépasse de toute évidence. La destinée est quelque chose de curieux, sans nul doute, mais tu y crois, d'une certaine manière. Tu crois au fait que les gens sont peut-être mis sur ton chemin pour une bonne raison et non pas par un hasard total. C'est étrange, oui.
who are you?
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Suis-je faible ? oui.
Nuage P. de Spalla
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Adam Ulver Isenhart
What is truth if not an illusion?
Adam Ulver Isenhart
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What is truth if not an illusion?
Ven 20 Sep - 12:17
Le Puppy est làààààààààààà !! Nuage Polaris de Spalla || I begin to assemble what weapons I can find, 'cause sometimes to stay alive you gotta kill your mind. ❞ 391820783
RE-RE-RE-RE-BIENVENUE à toi sur ton propre forum !!

On l'attendait, le voici et j'en suis joie !! J'ai très hâte de lire les aventures de cette bouille !! Adam s'impatiente de le voir, Dany s'échauffe déjà la voix alors que Celes.... Ben Celes elle échauffe juste son poignet pour faire un beau lancer... Mouai...

Sur ce, des bisous chaton et longue vie à Nuage ! Nuage Polaris de Spalla || I begin to assemble what weapons I can find, 'cause sometimes to stay alive you gotta kill your mind. ❞ 3101886259
Adam Ulver Isenhart
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Elerinna de Novigrad
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baroness of secret lust
Sam 21 Sep - 14:16
Mais quelle fiche par tous les dieux QUELLE FICHE ! Nuage Polaris de Spalla || I begin to assemble what weapons I can find, 'cause sometimes to stay alive you gotta kill your mind. ❞ 1246740532
Bon tu connais mon avis sur ce petit alors je vais pas m'étendre plus que nécessaire mais... sache juste qu'il est beaucoup trop touchant et mon cœur a fondu en lisant son histoire et son caractère Nuage Polaris de Spalla || I begin to assemble what weapons I can find, 'cause sometimes to stay alive you gotta kill your mind. ❞ 2094027315  

En tout cas j'ai hâte de le voir en jeu et je te félicite pour ce coup de génie, à croire que t'as une réserve infinie de personnages fantastiques dans ta petite caboche bounce

Re-re-re-re-bienvenue chez toi ! Nuage Polaris de Spalla || I begin to assemble what weapons I can find, 'cause sometimes to stay alive you gotta kill your mind. ❞ 2270492092
Elerinna de Novigrad
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Maître Jaskier
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the quill is mightier than the sword
Mar 24 Sep - 14:52

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Bienvenue à bord !

Te voilà inscrit, cher citoyen ! Tout est à priori en ordre pour que tu puisses commencer ! Ton sauf-conduit, maintenant validé par les administrateurs, te permet de parcourir le forum à ta guise et d'ainsi explorer les options qui s'offrent à toi.

Mais la première chose qu'il te faudra faire, jeune citoyen, c'est d'aller rédiger ton activité rp histoire que l'on sache où regarder pour savoir que tu es actif. Ensuite, il te sera sûrement nécessaire que de trouver des amis ou des ennemies, et pour cela, rien de mieux que de poster une fiche laissant l'opportunité aux autres de venir te trouver ou toi même d'aller les trouver ! Mais si tu crois la paperasse finie, ce n'est toujours pas le cas, malheureusement. La course aux documents ne fait que commencer car il te faut un toit même si tu es un voyageur et qu'il ne s'agit que d'une chambre. Il te faut également réclamer tes couronnes car elles te seront nécessaires pour bien des choses. Tu peux également déjà réclamer à trouver une aventure !

Si tu ne l'as pas déjà fait auparavant, on te conseille d'aller lire les cours d'histoire de l'ambassadeur Var Attre qui te seront possiblement utiles pour la suite. Tu peux aussi aller voir le panneau d'affichage si il y a des petites annonces. Et si tu te sens perdu, n'oublies pas que le guide sera toujours là pour t'orienter ! Mais, chose importante : n'oublie pas de t'amuser ! La chatbox est ouverte, ainsi que le flood et le graphisme si l'envie te vient. N'hésite pas non plus à venir taper aux fenêtres des administrateurs si tu as une question et maintenant.. Va t'amuser !
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Maître Jaskier
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