Victimes, ils deviennent bourreaux. Douce vengeance contre ceux qui se faisait une joie de les traquer, les acculer, les tuer. En cette nuit la tendance est inversée et l’heure de la traque est arrivée ! En groupe ou seuls, les monstres peuvent faire parler leurs instincts pour terroriser les habitants de Novigrad. Aucune porte, aucune fenêtre ne pourra arrêter cette frénésie et il est temps pour les monstres de dévoiler toutes leurs horreurs en cette nuit. Tuer est permis, effrayer est une prière nocturne et vous, les proies, devez tout faire pour vous sauver, vous protéger contre ce qui dort sous la lune. Mais encore faut-il parvenir à échapper à la furie que vous avez engendre.
RP COMMUN # TOUT LE MONDE
PNJ
Danaän Peryite
bard of a thousand words
Race : Humaine ¼ Elfe
Habite à : Quartier de l'Argentin à Novigrad mais elle bourlinge énormément
Couronnes : 42941
Messages : 457
Quelque chose à ajouter : "Toute musique est une suite de tensions et de relâchements, je vous laisse le soin de trouver l'analogie douteuse la plus appropriée"
Sam 26 Jan - 17:57
RAGE OF DEMONSRP COMMUN Ils avaient pourtant été prévenu, mais fier que sont les humains, ils trouvent encore le moyen de jouer les étonnés lorsque le châtiment s’abat sur leur tête. Danaän aurait pu se réjouir d’apprendre la venue imminente d’un cortège de barde constitué de monstre, mais elle avait bien compris que cela ne présageait rien de bon et que les humains aller enfin se retrouver confronté au fruit de leurs erreurs. D’un côté, elle était contente qu’ils obtiennent enfin le retour de bâton qu’ils méritaient pour leur intolérance, mais elle ne pouvait pas cautionner le massacre qui allait subvenir. D’autant plus qu’en tant d’humaine, et malgré ses opinions, elle pouvait très bien se retrouver victime de cette frénésie vengeresse.
Rage of Demons RP Commun.••• Spectacle délectable. La musique, les cris, le feu et le sang. Reflet orangé sur les murs, créé par les torches allumées, suivi des jeux d’ombrage fort amusant. Une ombre de taille moyenne, ici une plus petite… Ho… La petite venait de perdre la tête… Un sourire éclairait mon visage, alors que j’écartais les bras et relevais la tête vers le ciel. Sensation de toute puissance, alors que nous reprenions nos droits sur les hommes. Un rire, hilare et cristallin m’échappait. Enfin, nous pouvions laisser place à notre vraie nature, mettre fin à notre crise d’identité pour nous adapter à cette vulgaire humanité. Et cette sensation n’avait pas de prix, la pensée magique brouillant les inhibitions. Les souvenirs d’il y a cinq minutes me revenaient en mémoire. Les frissons redressant un peu les poils de mes jambes, remuant ma queue paisiblement.
Violence / Sexualité 18+:
Caressant le corps encore tiède de mon amant. Je le regardais en me léchant les lèvres. Nous étions dans sa chambre, dans sa petite maison, dans laquelle j’étais entrée par effraction. Ce connard, un client d’Elerinna au bordel méritait plus que son sort. Un gémissement échappait à ses lèvres, alors que je continuais de le chevaucher tendrement. Lent mouvement, mais ô combien contrôlé. Retenant ses poignets au sol près de sa tête de ma force surhumaine, je continuais de le malmener, alors que son pauvre organe génital avait déjà libéré sa saveur trois fois. Mais ce n’était pas suffisant, j’en voulais plus. Un coup de bassin soudainement plus fort, alors que je le chevauchais sans relâche. Mon propre gémissement brisait le silence de ses râles, alors qu’une coulisse de plaisir coulait le long de sa cuisse. M’immobilisant au-dessus de mon amant, je regardais son torse sanglant. Lacéré de mes griffes à de nombreux endroits. Avec une lueur amusée, je me penchais pour lécher une perle de sang sur une blessure près de sa gorge. Un goût de fer caressait mes papilles gustatives, alors que je ne voulais aucunement oublier son goût,
-Pitié… -Ho… Mon pauvre chéri… Tu as mal?
Il hochait la tête, les larmes coulant sur ses joues, alors que ses testicules devaient être maintenant bien bleus. Ricanant, je soufflais près de son oreille.
-Tu veux que je retire les pinces de tes testicules?
Nouveau hochement de tête, alors que je le considérais. Je m’étais bien nourri de ton plaisir et toujours sous ma forme humaine, mes yeux reptiliens et dorés le fixaient. Je lui montrais clairement ma nature inhumaine, alors que je murmurais en mordillant son lobe d’oreille,
-Non… Tu vas les garder… Tu n’as aucun respect pour la femme et ne mérites donc pas ma clémence…
Un nouveau râle, alors que je me déhanchais de nouveau légèrement, remuant ce membre moue et inerte en moi. Une moue boudeuse apparaissait sur mon visage, alors que je l’observais en silence. Un soupir m’échappait, alors que je me redressais sans avertissement, laissant ma victime au sol. Le pauvre homme reculait alors jusqu’au mur en couinant, comme un porc blessé. Il se libérait de l’emprise des pinces sur son organe génitales et je l’observais, nue et ma dague à la main,
-C’était plaisant, mais de courte durée… Ne t’inquiète pas, mon chéri… Les enfers sont fort agréables aux yeux des damnées.
Les mortels sont des jouets si fragiles… Tellement vulnérable… Utilisant ma vitesse surhumaine, j’apparaissais devant lui et sans forme de procès, lacérait sa gorge profondément. Le sang gicla sur mon visage et près de la fenêtre de sa chambre. J’observais son regard écarquiller, puis ses mains se poser sur sa gorge pour retenir le flot de sang. J’adorais cette sensation, ce liquide tiède sur mon corps, durs labeurs de mon travail. Alors qu’il échappait une lamentation des plus pathétique, je posais un baiser sur ses lèvres pour que la mort soit plus douce à son arrivée.
J’avais pris ma forme démoniaque par la suite. Mon torse nu, mes longs cheveux cachant un peu ma poitrine. Sortant pour entendre les cris avec plus de discernement, je sentais encore le sang de ma récente victime couler le long de mon corps pour en tracer de jolie coulisse. J’avais bien vu quelques succubes en ville, je n’étais pas la seule forte heureusement pour faire le sale travail. Soit, rappeler à ces bêtes de foire qui sont les rois. Une jeune femme attira mon attention. Une blonde, jolie et bien équipée. J’avançais alors vers celle-ci, le sourire sur les lèvres. Gavé sur le plan de la luxure, mais lueur sanguine encore bien présente.
Habite à : Quartier de l'Argentin à Novigrad mais elle bourlinge énormément
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Sam 26 Jan - 21:14
RAGE OF DEMONSRP COMMUN Cela ne lui arrivait pas souvent, mais cette fois, elle était bien obligée de le reconnaitre, Danaän avait peur. Peur des conséquences de la venue de ce cortège, car s’il était justifié que les humains payent pour leurs crimes, la rage et la vengeance que cela engendrait pouvait dépasser l’entendement. Serait-il encore possible de cohabiter après de tels événements ? Danaän ne changerait pas son opinion sur les monstres, mais d’autres qui jusque-là ne les condamnaient par forcément ou se contentaient de les ignorer pourraient subitement se mettre à les craindre, les haïr, les traquer. C’était sans fin, un cercle vicieux dont aucun ne pouvait sortir vainqueur. Elle avait vu des chasseurs de sorcières submergés quelques rues plus haut. Leurs corps lacérés, déchiquetés par les monstres revanchards. Oh ce n’était certes pas eux qu’elle allait pleurer, mais les monstres n’allaient pas s’arrêter à ses fanatiques, ils s’en prendraient à tout le monde et n’importe qui et les habitants de Novigrad allait tenter de se défendre. Ce serait un bain de sang futile. Le sang appelle le sang, la colère mène à la violence et la violence à la colère.
La jeune barde excédée laissa sa tête retomber en arrière sur le mur froid contre lequel elle était adossée. Le ciel était splendide ce soir, la lune majestueuse et les étoiles miroitantes. Elle serait surement montée sur le toit de sa maison pour en admirer les facéties la nuit durant et composer quelques notes. Mais non, elle se retrouvait là dans les ruelles crasseuses de Novigrad à se cacher pour sa vie. Elle sortit une petite bourse de sa sacoche de ceinture et prit une petite dose de Fisstech pour tenter de se calmer, ne pas céder à la panique. Ses pupilles se dilatèrent et elle sentit ses muscles se crisper et ses sens se décupler sous l’effet de la drogue. Un long soupir s’échappa de ses lèvres alors qu’elle fermait les yeux pour reprendre ses esprits. Elle rangea alors son matériel, prête à reprendre la route sans plus attendre. Elle se redressa pour s’assurer que la rue était déserte quand elle entendit un nouveau croassement de Jaskier, trop tard cette fois. Elle fit volte-face, une main sur la poignée de sa dague, prête à dégainer quand elle entendit les paroles suaves de la succube face à elle. Elle jura entre ses dents, ses muscles se crispant, elle était prête à courir ou à se battre. « Navrée mais je vais devoir refuser l’invitation. » dit-elle dans un sourire qui se voulait serein en entamant un mouvement de recul, toujours face à la démone devant elle. « Les réjouissances ne me déplaisent pas en temps normal mais je crains que celle-ci soient à mes dépends. » Ajouta-t-elle, en reculant encore davantage.
D’un mouvement agile, elle sauta par-dessus les caisses et partit en courant dans une direction aléatoire, celle d’où provenait le moins de clameur et de musique. Elle devait fuir, se cacher, elle n’avait pas l’intention de se battre bon sang. Elle voulait simplement survivre et tenter de calmer le jeu de ces ménestrels funestes, tenter de leur faire entendre raison, de leur prouver que tous les humains n’étaient pas des bêtes assoiffés du sang de la différence.
Rage of Demons RP Commun.••• Les pas de recul, l’odeur de transpiration et la peur dans son regard. Je me léchais la lèvre inférieure, lent mouvement langoureux. Mon mouvement félin, dans un doux déhanché, alors que ma nouvelle source de distraction me donnait envie de continuer de jouer au chat. Lorsque ma souris refusait mon invitation à venir jouer, je lui lançais une moue boudeuse, alors qu’une nouvelle goutte de sang coulait le long de mon torse, dessinant un macabre spectacle sur ma poitrine dénuée.
-Ts Ts Ts… Si tu cours petite souris, je vais devoir te poursuivre… Pourquoi ne pas rendre la chose agréable et célébrer ensemble?
J’effectuais un autre pas dans sa direction, mes sabots claquant au sol comme une paire de talon haut sur la pierre. Je la voyais bondir agilement derrière les caisses qui la cachaient il y a quelques secondes d’un incube. Penchant ma tête sur le côté, je claquais ma langue avec mécontentement. Je ne pouvais effectuer un tel bond pour ma part et il me faudrait contourner les caisses. Élan de jalousie, alors que l’idée de lui briser les chevilles pour l’empêcher de recommencer me venait en tête. Avec un sourire des plus malicieux, je laissais ma voix suave briser le silence de nouveau,
-Dernier avertissement ma chérie. Tu peux venir ici et quémander pour mon pardon, ou subir mon courroux si j’ai à courir.
Et elle est était partie… Courant à toute allure Dieu sait où! Si elle voulait jouer à ça… Je l’avais prévenu! Je comptais mentalement jusqu’à dix, laissant à ma petite gazelle un peu d’avance pour rendre le jeu amusant. Et une fois mon compte terminé, j’usais de ma vitesse surhumaine pour la pourchasser dans les rues que je connais si bien. Après les avoir arpentés pendant 500 ans, je considère de plus en plus à écrire mon savoir sur une carte et la vendre à un prix ridiculement élevé pour ces pauvres nobles incultes qui se perdent encore dans cette misérable ville. La pauvre humaine, je la rattrapais de plus en plus. Je la voyais au loin et souriait de façon malsaine. Ho… Voilà qu’une idée me venait en tête…
Tournant à droite à la prochaine ruelle, j’entendais de moins en moins la musique qui mettait tant de bonheur dans mon cœur glacé. Ho, elle regretterait de m’avoir éloigné de ma source de joie et de calme. Je continuais tout droit, puis soudainement, prenait la ruelle à gauche pour apparaître droit devant la blonde. Elle avait le temps de freiner pour éviter la collision normalement, mais je ne lui laissais pas ce luxe. Je lui fonçais dessus, toujours avec cette vitesse surhumaine et l’agrippait à la gorge. Plaquant ensuite la pauvre barde dos contre un mur de brique sans douceur. Mon ton était rieur, amusé, lorsque je soufflais finalement,
-Je t’ai trouvé petite souris! Mais maintenant, que vais-je faire de toi?
J’observais le visage de ma victime, sans serrer trop fortement son cou. Une poigne ferme, alors que l’autre bras reposait le long de mon corps avec une nonchalance insultante. Peut-être lui avais-je fêlé une côte en la planquant contre le mur, où casser? Je n’y avais pas été de main morte je devais avouer, mais cette forme est tellement limité dans son utilisation que j’oublie souvent comment gérer ma force. Penchant ma tête sur le côté, je soufflais un peu irrité du manque de chaos ambiant,
-Il manque de musique… Par ta faute, je rate le spectacle…
La considérant de nouveau, j’admirais ces traits. Une très belle blonde qu’il y avait devant moi. Les belles créatures méritent toujours d’avoir une chance de survie. Ronronnant presque à la sensation de sa veine palpitante contre ma main, je réfrénais mon envie de meurtre et de sang.