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Hashmàl Pâarvhus
the senses can be fooled, easily.
Hashmàl Pâarvhus
Race Race : Demi-elfe, demi-humain.
Habite à Habite à : Beauclair, mais navigue là où son métier l'emmène.
Couronnes Couronnes : 31576
Messages Messages : 109
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the senses can be fooled, easily.
Lun 24 Juin - 2:16




Welcome home, my loving daughter
No bird soars too high,
if he soars with his own wings.



☾☾ Tu n’étais pas quelqu’un d’inconscient. Tu étais peut-être quelque peu stupide parfois, mais tu n’étais pas totalement aveugle à ce qui pouvait se passer dans ce monde et notamment ce que l’on pouvait voir sur les routes. Après tout, avant même de rencontrer Renarde, tu faisais partie de ceux qui prenaient justement la route, pour trouver quelque chose dont l’existence n’était pas encore affirmée. A cette époque-là, bien évidemment, tu ne te sentais en sécurité nulle part, pas même dans une chambre achetée dans une taverne et encore moins quand tu devais dormir à la belle étoile. Tu savais très bien qu’il en était de même pour toute personne qui prenait la route, quel que soit son genre, mais il était vrai que pour la gente féminine... Le combat était généralement plus difficile, plus ardu car elles étaient généralement considérées comme des cibles faciles et en ce sens, tout le monde les prenait pour des proies, venait à abuser d’elle sans prendre en considération toute les petites choses qui faisaient pourtant que l’humanité était une chose merveilleuse parfois. Tu étais malheureusement bien au courant des ravages qui étaient faits sur les routes, que ce soit aux hommes comme aux femmes, mais surtout à ces dernières, même si... Dès que l’on n’était pas humain, il y avait un risque encore plus grand. L’avantage de ta jeune fille, c’était qu’elle était une dragonne et que comparé à bien des espèces, elle pouvait s’en sortir avec peut-être plus d’aisance mais là encore.. Tu n’étais vraiment pas sûr. Surtout vu ses dires, il semblait y avoir pleins d’évènements dans sa vie que tu ne pouvais pas voir, pas appréhender et pas lui demander sous peine de réveiller des souvenirs qu’elle ne voulait probablement pas partager pour des raisons évidentes que ces souvenirs-là ne devaient pas être joyeux. Et tu faisais un tel travail sur toi-même depuis des années que tu n’avais pas envie que ces souvenirs réveillent tes quelques pulsions de violence qui étaient encore bien cachées depuis ton passage au Nilfgaard en tant que bourreau qui pouvait très bien briser les esprits par le jeu des souvenirs. Tu avais beau paraître comme un mage, oniromancien, assez simple, faible de corps et de force, mais tu demeurais un mage qui savait très bien jouer de ses incantations et de ses invocations spectrales quand il y avait le besoin. Et les gens qui avaient un jour osé toucher Renarde d’une manière peu recommandable, tu les avais effrayé, tous. Et tu n’hésiterais pas à retrouver ces derniers là pour leur donner ta manière de penser, histoire qu’il voit qu’il y avait du mauvais à énerver le mauvais mage. Cependant, tu esquissais un sourire aux mots de la jeune fille concernant tes pairs elfes. « Oh non. Déjà parce que les elfes aussi sont des proies mais aussi parce qu’ils sont moins… comment dire… Enclins à partir sur les routes comme le feraient les hommes. Une fois qu’ils ont un lieu où ils peuvent rester, ils y restent, généralement. » Et c’était plutôt vrai, à part pour quelques exceptions. Mais de ce que tu avais pu voir au cours de ta vie, les elfes étaient plus sédentaires que nomades, contrairement à d’autres espèces. Mais c’était probablement dû au fait qu’une majorité se croyait supérieure au reste du monde. Oui, c’était pas improbable. Mais bon, tu n’étais pas non plus une encyclopédie sur ton espèce, il n’était clairement pas impossible que tu te trompes.

Toutefois, en voyant le regard de ta jeune fille, tu remarques aussi que ta petite pique a fait mouche et qu’elle semble somme toute piquée par ce que tu as pu dire concernant tes préférences sexuelles, bien qu’au fond, tu n’en aies aucune. Tu aimes autant les hommes que les femmes, tu profites tout simplement du plaisir de la chair et tu es certain, presque à 100%, que tu ne te trouveras jamais personne à qui t’enchaîner. Tu perdrais bien trop d’amusement à rester avec une seule et unique personne. Le polyamour ? Oui, tu l’as considéré mais tu ne sais pas. Tu es et tu seras toujours réticent à l’idée de t’attacher à quelqu’un, ou plusieurs, de cette façon là, en sachant que le poids des paroles de Gaunter sont toujours présentes derrière ton crâne. Tu préférais alors profiter du temps qu’il te restait plutôt que de chercher forcément à te trouver quelqu’un pour combler des trous affectifs que tu n’avais plus depuis bien longtemps. Ou alors, tu te voilais la face, ce qui n’était pas improbable. Mais pour l’heure, tu te contentais de rire doucement aux paroles de la jeune femme. « Pépé ? Oh, je t’en prie, je suis pas si vieux et tu le sais très bien. Je suis encore vigoureux et endurant pour mon âge, ah. » Est-ce que tu enfonces un peu plus le clou ? Oui. Est-ce que ça t’amuses ? Oui. Mais tu n’iras pas plus loin, tu ne veux pas non plus traumatiser ta jeune fille, ce n’est pas vraiment le but. Il est juste amusant pour toi de voir des réactions aussi innocentes pour quelque chose que tu ne considères plus comme tabous depuis bien des décennies maintenant, surtout au vu de tes activités régulières en ce domaine. Un véritable sport, c’était d’ailleurs peut-être grâce à cela que tu gardais une certaine forme. Toutefois, ce sujet passa rapidement lorsqu’il fut question de la blessure mortelle que Renarde arborait avec une forme de fierté sur son buste et que tu ne pouvais t’empêcher de contempler, d’une certaine manière. Tu la voyais enfin, cette cicatrice qui l’avait amené à toi, blessée, terrorisée, et cherchant simplement à ne pas être tuée quand quelqu’un avait déjà essayé de le faire. Tu aurais voulu, à cette époque, faire de ton mieux pour retrouver le dit homme mais avec tes yeux en moins, il était certain que tu n’avais guère de chance. Tu pourrais aussi bien essayer de sonder la mémoire de ta jeune fille pour découvrir son visage et ce qu’il était mais… Cela comportait des risques que tu ne voulais pas prendre, dont celui de tomber sur des souvenirs que Renarde ne voulait pas te partager, et tu refusais catégoriquement de violer ainsi le jardin secret qu’était les souvenirs. Tu ne le faisais plus, du moins. Tu l’avais fait mais tu gardais ces souvenirs et les conséquences de ceux-ci loin. Ceux qui étaient au courant savaient tenir leur langue et tu n’avais pas besoin de le dire à ta jeune fille, alors autant garder ça pour toi. « Qu’importe ce qu’il était, c’était lui le monstre dans l’histoire. Lever son arme à l’encontre d’une créature, surtout pacifique, qui ne cherche aucun mal, c’est être inhumain à mon sens, et profondément cruel pour rien. Mais soit. » Tu soupirais doucement en reprenant une gorgée de ton vin. Tu savais que tous les sorceleurs n’étaient pas les mêmes mais quand tu voyais ce genre de comportement, faits contre des créatures qui ne demandaient qu’à vivre en paix, oui… Cela t’énervait profondément, malgré tout ton calme habituel.

Toutefois, tes sourcils se creusent légèrement en écoutant le discours qui est porté par Renarde, écoutant pour la première fois un récit dont elle t’avait toujours épargné parce que tu savais mieux que la forcer à en parler. Tu savais que les traumatismes avaient la peau dure et qu’il valait mieux ne jamais forcer les choses quand il s’agissait d’en parler, alors tu restais silencieux, la laissant ouvrir la boîte de pandore de ce qui vous amena tous les deux à vous rencontrer. Cette blessure funeste amenant quelque chose qui, visiblement, à ses yeux était important : toi. Tu avais toujours fait de ton mieux avec elle, en sachant très bien que tu ne serais pas parfait, que tu allais faire des erreurs, de grosses erreurs parce que tu n'étais pas un père inné, bien au contraire. Mais tu n’avais bien évidemment pas pu abandonner cette petite renarde blessée, oh que non. Cependant, ses mots, provenant de son récit à elle et non pas d’une fabule que tu t’étais imaginé, étaient brûlants de vérité et de douleur que tu ne pouvais pas ne pas sentir. Tu sentais aisément la douleur qu’il y avait dans l’acte qui avait perpétré cette blessure et tu te retenais, malgré tout, pour ne pas laisser le peu de colère que tu pouvais avoir s’exploser face à ce qu’elle te disait et l’homme qui lui avait fait ceci. Tu soupirais alors doucement, massant tes tempes pour calmer les nerfs qui s’étaient installés. « Si je le pouvais, Renarde, tu sais que je tuerais ce fumier, hm ? Même si c’est contre mes principes, je n’hésiterais pas, s’il était face à moi. » C’était peut-être ça, être père, au fond. Être capable d’aller contre des principes pour autrui, pour ce que l’on considérait être sa progéniture, par le sang ou non. Cependant, ses mots suivants t’arrachent un sourire, doux, alors qu’elle te rappelle les petits moments où elle courrait dans la maison comme une sauvage, dévalant les escaliers et les meubles comme si elle était encore sous forme animale alors que non… Elle était bien humaine. Le nombre d’échardes que  tu avais dû retirer de la peau de ses pieds et le nombre de genoux que tu avais dû soigner à force de s’écorcher sur le sol. Et le nombre d’heures passées à ce que tu lui apprennes la langue commune – à défaut de lui apprendre le dialecte de chez toi ou encore la langue ancienne qui s’avéraient être peine perdues. « C’est vrai que.. Tu m’en as fait voir de toutes les couleurs, petite renarde. Mais c’était ça aussi qui était beau. Tu rendais la maison vivante et d’une certaine manière, tu m’as sauvé aussi, ma puce. » Avant de me briser également, mais ça, tu te gardais bien de le dire. Elle n’avait pas besoin de savoir la peine que son départ avait causé et la spirale dans laquelle tu t’étais plongé pour combler le vide de son absence chez toi. Elle n’avait pas besoin de savoir ça, c’était aussi ça le rôle de parent : d’épargner aux enfants les peines qui pouvaient incomber les parents. Ils n’avaient pas besoin de savoir, aucunement et c’était pour ça que tu allais taire cela, pour le bien de Renarde. Cependant, avant de prendre le repas en main, tu te lèves doucement et viens coller un baiser sur le front de la jeune femme. « Heureusement que j’ai été là, alors. Car crois-moi, tu es bien plus jolie et bien plus importante vivante que dans un manoir d’un stupide marchand. » Toutefois, tu laisses le silence s’étirer après ça, laissant à la jeune femme le loisir de parler à nouveau ou non tandis que tu manges un peu, ton estomac étant étrangement tordu par les propos de la jeune femme. Il y avait un monde entre se douter de quelque chose et le savoir véritablement. Et là, la vérité faisait mal.

Renarde Pâarvhus & Hashmàl Pâarvhus

CODAGE PAR AMATIS

Hashmàl Pâarvhus
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Renarde Pâarvhus
What is truth if not an illusion?
Renarde Pâarvhus
Race Race : Dragonne
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Messages Messages : 36
What is truth if not an illusion?
Lun 24 Juin - 13:56
Le temps... une bien étrange bestiole de par mon avis alors que le fait que certaines choses nous collent à la mémoire et d'autres s'estompent avec le temps. J'ai conscience que je n'ai pas toujours été la petite princesse que la majorité des parents voudraient avoir, j'ai aussi conscience des efforts qu'avait fait le mage de ne pas perdre patience avec moi, son exaspération seulement égalée par les rires de mes bêtises. Je regarde le mage alors que je lui ouvre une réserve bien cachée de ma vie, cette vie avant que les humains ne deviennent de possibles monstres, que mon invincibilité soit dévoilé comme fausse et, plus le temps avançait, plus je pouvais mesurer combien je suis réellement vulnérable et fragile. Cette notion, je l'ai apprise par le sang, la sueur et les larmes. J'ai grandis et je sens alors des larmes me piquer les yeux. Malgré tout ce que j'ai fait ou n'ai fait, le mage m'aime encore, je peux le voir, je peux le lire et ma gorge se serre de nouveau alors que j'essuie d'un avant-bras rageur les larmes de ces putains d'émotions. J'avais eue peur que le vieil homme m'oublie avec les années, que son amour s'estompe, que la maison que j'avais dans ce monde devienne froide et stérile comme la terre après que j'ais crachées les flammes cristallines de mon curieux héritage. Je renifle, puis hoche la tête devant la déclaration qu'il tuerait l'homme si la chance lui en venait et je souris. « Il portait un casque étrange que je n'ai pas revu et j'avoue que je me souviens surtout de la lame, père. Et je ne veux pas attirer davantage d'ennuis sur ta maison que ma présence et la bourse que tu perdras de me nourrir quelques jours, le temps que je trouve ma prochaine caravane. » Je déglutis et prend une nouvelle bouchée avant de regarder le mage et je soupire. « Je peux rester plus longtemps mais... j'ai peur que si je reste trop longtemps, que je ne veuille plus partir, tu comprends? J'ai encore tant à voir, à faire... Et je ne tiens pas non plus à te chasser si tu décides de te faire monter. » Soudain, une image me vient et je regarde la table avec horreur. « Tu laves bien les meubles après tes... trucs, si? » Je ne sais pourquoi mais.. BEURK!

Ses paroles suivantes, par contre, me font sourire mais je sens aussi le courant de ses paroles. Je ne peux que demander, calme. « Qu'est-il arrivé quand je suis partie? Je n'ai réalisée qu'il y a deux ans que j'ai écris une lettre d'au-revoir à un aveugle... » à ma courte honte, l'homme était tellement habitué à sa cessité que j'en avais maintes fois oublié cette lacune, puis je tape ma lèvre doucement de mon ustensile. « et si je viens, il faudrait aussi que l'on établisse des critères, des règles et tout plein de trucs de sorte que si je trouve le beau mec qui peut me tenir tête, je pourrai aussi te faire tes petits-enfants. Bon, je sais par contre que je n'aime pas être attachée, que le fouet ne fait que m'enrager, que je n'ai nulle envie de laisser un homme explorer ma caverne arrière, que j'ai trop tendance à mordre pour faire ce trucs à genoux... fe... félatation? C'est ça? » Le mot est véritablement sur la pointe de ma langue (sans mauvais jeu de mot) et c'est un oubli sincère. « J'ai vu des femmes monter à cheval sur des hommes mais ce doit être ennuyant à force et puis, mine de rien, j'ai encore mal de penser à combien ça a fait mal. Alors je suppose que je dois être bien ennuyeuse sur le plan sexuel, de plus que j'aimerais plus confortable que le foin que j'ai trouvée dans mes cheveux pendant une semaine la seule fois. »

J'ai décidée de tuer mon père ce soir, j'ai appris avec plusieurs bardes à ne pas tenir ma langue pour mettre quelqu'un dans l'embarras, je prends une nouvelle bouchée avant de taper de la main sur la table, les bols bondissant un peu alors que je trouve ce mot.

« Fellation! »
Renarde Pâarvhus
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Hashmàl Pâarvhus
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Hashmàl Pâarvhus
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Lun 24 Juin - 19:25




Welcome home, my loving daughter
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☾☾ Même lorsqu’elle avait disparue de ta vie, par le biais d’une lettre que tu n’avais pu lire que des années plus tard – tu te demandais d’ailleurs ce qu’il lui était passé par l’esprit pour avoir une idée aussi tordue qu’écrire une lettre à un aveugle, mais soit, là n’était pas la question – tu savais que tu n’allais pas pouvoir l’oublier. Comment le faire, après tout ? Comment oublier la tornade qui avait littéralement changé ta vie et rendue ton quotidien bien différent de ce qu’il était à l’origine ? Comment oublier les rires, les bruits constants dans ta demeure et la présence constante et rassurante de la jeune femme quand tu étais pourtant persuadé que seule la solitude te suivrait pour les années à venir ? Il était certain que tu n’aurais jamais pu, décemment, l’oublier. Et c’était le cas : tu n’avais jamais oublié la jeune femme. Oh, d’une certaine manière, tu avais pu oublier les sensations et les sentiments qui étaient présents quant à la présence de quelqu’un chez toi, d’une personne aussi turbulente qu’elle mais jamais tu ne pourrais oublier les moments passés avec la jeune femme tant ils étaient précieux. L’un des rares moments où tu avais pu te sentir comme appartenant à une famille, à nouveau. Après tout, c’était après avoir délaissé tes frères et le reste de ta famille que tu avais trouvé Renarde, formant ce qui semblait être une famille bien particulière, composée uniquement de vous deux, mais ce n’était pas plus mal. C’était ta famille à toi et en aucunes circonstances tu n’aurais changé la chose, non. Elle te convenait, même si elle paraissait bancale, même si elle paraissait étrange, même s’il n’y avait aucun lien de sang entre vous d’eux, c’était ta fille et il faudrait te passer sur le corps pour lui faire quoique ce soit ou te l’arracher d’une quelconque manière. Elle était précieuse, et ce, depuis les premiers jours, et à aucun instant durant tes années d’errance, tes sentiments et ton attachement pour la jeune femme n’avait faibli. Tu la voyais certes toujours comme l’enfant turbulente à qui tu avais appris la joie de la lecture, l’écriture et l’alphabet commun, à qui tu avais appris comment se comporter comme une humaine en bonne et due forme. Cependant, elle était une jeune femme maintenant, ravissante par ailleurs, maintenant que tu avais le loisir de la voir de tes propres yeux, mais… Pourrais-tu un jour arrêter de la voir comme l’enfant que tu avais élevée ? Non, probablement pas.

Tu vois, cependant, les larmes dans les yeux de ta jeune fille et cela te serre le cœur, sachant très bien que tous ses souvenirs sont loin d’être aussi heureux que ceux que vous avez partagez tous les deux pendant votre temps ensemble. Tu aurais voulu pouvoir la prendre dans tes bras, faire en sorte que toutes les douleurs s’apaisent, cependant… Il y avait bien une chose que tu savais grâce au temps que tu avais passé à vivre : ces douleurs-là ne disparaissent jamais. Elles sont immuables, imperceptibles et virulentes, comme un poison qui s’infiltre et s’exfiltre entre les pores d’une peau, qui glisse sous l’épiderme et qui ne revient qu’à de minces instants, quand l’hôte ne s’en rend pas compte, quand l’hôte ne s’y attend aucunement. Et tu savais bien qu’il n’y avait pas de remèdes miracles à cela, bien que tu pouvais l’aider à annihiler les souvenirs, à les faire se disperser mais tu ne pourrais jamais résoudre le problème de la cicatrice qui sera toujours là pour lui rappeler le problème originel. A jamais le souvenir sera marqué, c’était ainsi que les choses étaient faites. Il en demeurait que toi aussi, tu garderais à jamais le souvenir de ta cécité, par cette marque faite sur ton cou, sans que tu ne saches jamais de quoi il était véritablement question. C’était parfois difficile, étouffant, mais c’était ainsi que tout se passait. Toutefois, aux mots de la jeune femme, tu lui accordes un mince sourire, éloignant par la même occasion tes propres souvenirs les plus maussades, les plus sombres de cette période où tu étais seul, sans vue, sans personne ni rien de plus que tes propres pouvoirs, tes propres pensées et la présence constante de la solitude, qui tournait autour de toi comme d’habitude. « Arrête, Renarde. Comme si tu allais m’attirer des ennuis, que ce soit à ma maison ou à ma bourse. Je savais très bien dans quoi je m’embarquais quand je t’ai recueilli et je n’en ai jamais regretté une seule seconde. Alors crois-moi que si je venais à voir un jour cet homme qui t’a marqué, que tu le veuilles ou non, il finira les yeux crevés. » Et mort, probablement. Il n’y avait aucune chance que tu le laisses envie, même avec des suppliques, même s’il se mettait à genoux pour implorer ta clémence, il n’y avait juste aucune chance pour qu’il survive à ton passage. Toutefois, tu éclatais de rire aux paroles de la jeune femme, ta tête basculant légèrement sur le côté dans le mouvement qui était éclaté par tes rires. Cependant, c’était l’occasion rêvé de t’amuser un peu plus des réactions innocentes de la jeune femme. Ainsi, tu laissais tes doigts se poser sur ton visage, ton pouce glissant sous ton menton tandis que ton index glissait sur tes lèvres tandis que tu avisais la table. « Maintenant que tu poses la question, j’ai un doute. » Tu soufflais alors, alors que ta main libre glissait contre le bois doux de la table. Ce n’était qu’un foutre mensonge. Tu ne l’avais encore jamais fait sur cette table : trop de risques d’être véritablement interrompus. Non. Ton bureau par contre, ou une de tes étagères ? Ouais, baptisés dans les règles de l’art. « Je rigole, Renarde. Bien sûr que la table est propre, bien sûr que je nettoie chaque lieu où j’ai le bonheur de… me faire monter, comme tu dis. Toutefois, je comprends bien ton problème. J’aurais malheureusement peur de ne pas être capable de te laisser partir et pourtant… Je sais bien que tu as encore énormément à voir et à découvrir. » Tu lui adressais un nouveau sourire chaleureux. Tu savais que même si tu aurais du mal, tu la laisserais partir. Après tout, c’est ce qu’il se passait avec les personnes que l’on aimait, n’est-ce pas ? On acceptait de les laisser partir, de les laisser vivre leur vie, du mieux qu’il pouvait, sans nous. Tu ne pouvais pas la suivre, même si au fond tu en aurais envie. Tu avais besoin de calme, d’être stable et de ne surtout pas retourner sur des lieux qui pourraient t’emmener dans une spirale dans laquelle tu n’en sortirais peut-être pas vivant.

Tu esquisses un nouveau sourire lorsqu’elle te demande ce qu’il t’est arrivé après son départ. Tu laisses alors un de tes doigts gratté une rayure sur la table avant qu’Ubis ne se lève, paresseusement et qu’il grimpe, nonchalamment sur tes genoux, s’enroulant sous une forme de boule. Ta main quitte alors la table pour se glisser dans le poil soyeux de l’animal, un léger ronronnement s’échappant alors des cordes vocales de l’animal, un réflexe, quelque chose de naturel qui provient tout simplement de sa forme féline. « Je n’ai pas fait grand-chose, tu sais. J’ai voyagé, ci et là, bien que je suis resté un moment dans notre ancienne maison, en pensant que tu reviendrais. Mais je dois avouer que oui, écrire une lettre à un aveugle… Je t’ai vu être plus intelligente que ça. » Toutefois, tu n’as guère le temps de t’attarder sur la suite d’une véritable histoire de ta vie puisque la jeune femme commence à parler et à débiter tout un lot de paroles concernant de possibles règles, de petites choses concernant son possible retour ici et tu ne peux empêcher, à nouveau, le rire qui vient s’échapper de ta gorge, notamment quand elle écorche avec grâce le terme fellation. Tu espères vraiment que tu n’auras rien à lui expliquer de plus sur ce domaine. Non pas que tu n’avais pas envie, hein, mais vraiment… C’était quelque chose que d’expliquer à sa fille les petites subtilités qui existaient dans l’acte sexuel. Toutefois, ça te surprenait, le nombre de choses qu’elle arrivait à te sortir d’un coup d’un seul, mais tu en étais plus amusé que choqué, malgré tout. « Tu es tout de même bien renseignée sur le sujet, ma puce. Mais j’imagine que ce sont des choses dont nous pouvons discuter, maintenant que tu sembles avoir… Gagné de la maturité sur le sujet, j’imagine. » Un nouveau sourire pointe sur tes lèvres et tu éclates à nouveau de rire quand elle trouve le mot qu’elle écorchait il n’y a pas si longtemps et tu prends une nouvelle gorgée de ton vin, avec toujours le même sourire amusé sur le bord de tes lèvres. « C’est ça, trésor, une fellation. Quelque chose d’exquis quand on sait la faire parfaitement, mais qui… Je peux le concevoir, peut ne pas être agréable à faire. Tout est question de goûts. » Tu souris à nouveau, sachant très bien que sur ce domaine, la jeune dragonne aura bien du mal à te mettre en déroute.

Renarde Pâarvhus & Hashmàl Pâarvhus

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Hashmàl Pâarvhus
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Renarde Pâarvhus
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Renarde Pâarvhus
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Jeu 4 Juil - 13:05

Welcome home my loving daughter
ft. Hashmàl & Renarde



Time passes but family stays
Mon père ne semble pas être dépité par ma pitrerie du moment et c'est autant plus décevant car j'aimais bien être capable de le mettre un peu à mal en ce jour. Il semble ne pas avoir capté cependant dans mon discours quant à l'alcool un détail bien crucial que je prend la peine de lui dire bien que je sais que ce sera sans doutes pour éveiller la colère paternelle.«Je parle surtout de ceux qui glissent divers produits dans les alcools pour faire perdre la tête aux gens qui sont récalcitant de réchauffer leur lit. Je t'avoue que je suis bien heureuse que mon polymorphisme ne semble pas affecter la dose de drogue qu'il faut pour me faire perdre les pédales.» Eh oui, bien entendu, un de ces malveillant avait tenté de me droguer, je me souviens toujours de la lueur prédatrice de ses yeux quand j'avais pris le verre pour le vider cul sec devant lui, l'attente puis la stupeur que je n'aie pas la bonne grâce de tomber dans les pommes comme toute femme le devrait! Ah, le charme du genre humain, si présent et si puissant, l'incapacité d'accepter le refus... Et la foutue nausée qui a durée deux jours après et m'avait fait m'enfermer loin de la civilisation pour cuver ce mal-être sous ma forme la plus naturelle.

Je prend une nouvelle bouchée en observant mon père qui me fait sourire de ses propos. « Un minimum? J'aurais crue que c'était amplement de me traumatiser quand j'étais encore une petite chose toute fraichement éclose mais tu veux dire que tu pourrais me parler bien davantage de ce qui en est? Oh, bien sûr, si tu courbes l'échine pour les hommes...» Je prend ma flasque, je sens que je vais avoir besoin d'un peu de courage liquide pour taquiner le mage et je prend une rasade avec plaisir, cette douce chaleur alors que je glousse et pique un morceau de son assiette pour manger, un sourire on ne peut plus espiègle aux lèvres. « Mais tu parlais surtout de trouver "la personne" qui serait pour moi, cela, je m'en souviens, dois-je déduire que c'était simplement pour éviter que tu aies à me tirer des draps de quelqu'un ou as-tu trouvé toi aussi la personne pour te faire une fellation divine ou te sodomiser jusqu'à ce que tu cries de plaisir?» je joue avec ma flasque, pensive. « J'ai bien un homme dans une caravane que j'aime bien et il porte une grosse armure, alors je suppose que ce sera suffisant, tu ne cessais de parler de protection, je peux comprendre puisque mes ongles pourraient faire des ravages sur sa peau quand je le laisserais me monter.» Un bluff total mais je veux surtout emmerder mon paternel comme toute bonne adolescente. Certes, je détourne le sujet de la cicatrice car les soins qu'il m'a offert jadis m'ont permis de survivre à défaut d'oublier cette marque, le symbole de ma faiblesse alors que je gratte du bout des doigts celle-ci, offrant un sourire moins cruel au vieil elfe.« Oui, merci père d'avoir pris soin de moi avec cela. Mais je voudrais justement poser une question... les tueurs de dragons, comment font-ils pour nous trouver lorsque nous sommes sous forme humaine? Ils semblent toujours en maraude et... j'avoue que je crains le jour que j'en croiserai un de nouveau. Pire, je ne sais ce que je ferais si je revoyais celui qui...» Je baisse les yeux sur ma cicatrice. « Je suis partie autant pour voir le monde que de crainte qu'un jour, un de ces chasseurs débarque chez-toi en me trouvant les dieux seuls savent comment et... Je sais que tu es fort, père, mais je ne veux pas te voir blessé, encore moins par ma faute. Comment pourrais-je me cacher de ceux qui vivent leur vie dans le seul but de me traquer et m'exterminer pour la simple raison que j'ai vue le jour?»

(c) made by panic!attack

Renarde Pâarvhus
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Jeu 4 Juil - 16:56




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No bird soars too high,
if he soars with his own wings.



☾☾ Si tu devais t’offusquer à chaque pitrerie ou à chaque petit tabou que certaines personnes s’amusaient à balancer, tu serais probablement la personne la plus outrée du monde. Toutefois, tu avais une patience et une résistance à la connerie qui était presque considérée comme sur humaine à ce stade et tu étais parfois tellement libéré sur certains sujets qu’il en fallait énormément pour pouvoir te mettre dans l’embarras. Bon, avec Renarde, c’était quelque peu différent puisque tu l’avais vue grandir et en ce sens, il était bien plus simple pour elle de te mettre dans l’embarras mais tout de même… Cela demeurait un certain challenge pour bien des personnes qui ne trouvaient que rarement les petites failles permettant à briser ce calme olympien et ton aisance à parler de tout comme de n’importe quoi. Toutefois, Renarde avait réussi l’exploit, bien qu’infime, de te mettre très légèrement dans l’embarras quand elle était plus jeune et que tu devais lui apprendre comment copuler ou du moins.. Comment les enfants – suppôts du mal, si on te demandait ton avis – étaient conçus entre humains, elfes et autres humanoïdes peuplant ce monde. Ou encore, plus récemment, quand elle avait sous-entendu qu’elle était peut-être enceinte. Et encore, d’une certaine manière, ce n’était pas vraiment de l’embarras mais plutôt de la surprise, dans ce cas de figure. Après tout, tu n’allais pas être embarrassé que ta jeune fille, adoptive qui plus est, ait des relations sexuelles ou même.. Soit enceinte. Non, la différence était surtout dans le fait qu’elle t’aurait annoncé ça de but en blanc, sans préambule, sans même te présenter le père ou autre de la jeune créature qui pouvait pousser dans son ventre. Enfin, il en demeurait que maintenant, elle te mentionnait – et ce de façon plus explicite – les espèces d’idiots qui s’amusaient à mettre de la drogue dans les verres d’alcools de leurs victimes pour les rendre plus souples à l’idée de coucher. Tu n’admettais guère cette idée, la trouvant plus répugnante qu’autre chose, et tu détestais particulièrement ce qu’il advenait de ces messieurs, soit… Rien. Ils réussissaient, la majorité du temps, à s’en sortir comme de rien n’était car la justice était généralement de faire taire la victime, si par malheur elle s’en souvenait. Un triste sort. « Bien heureusement que ton polymorphisme joue là-dessus oui. Ces gens-là sont… Déplorables et encore, je trouve le mot faible, que l’on puisse arriver à un tel stade de manipulation juste pour de la baise, c’est véritablement dégoûtant. » Et tu le pensais sincèrement, et mine de rien, tu étais heureux que cela ne soit pas arrivé à la jeune femme. Tu aurais probablement retourné ciel et terre pour retrouver l’enfoiré qui aurait osé faire telle chose, même si cela voulait dire te mettre dans une situation inconfortable où la violence aurait été requise, à bien des échelles. Non, ce n’était pas une bonne idée. Toutefois, tu étais prêt à le faire, que ce soit pour ta jeune fille ou pour une autre personne qui faisait partie de tes amis. Tu ne pouvais accepter ce genre de comportements, odieux et illégaux, qui donnaient à voir le pire de l’humanité. Bien que cela ne soit pas difficile à faire, s’il était possible de rendre la chose moins aisée… Personne ne s’en donnait à cœur joie, à priori.

D’ailleurs, la jeune rouquine semblait se donner à cœur joie que de te rappeler les moments forts sympathiques de son enfance où tu avais dû l’observer entre quatre yeux pour lui raconter comment se passait la conception de mini-monstres. Ce n’était véritablement pas quelque chose que tu avais trouvé d’agréable à faire, quand bien même tu avais déjà une sexualité fort libérée à ce sujet. Il y avait un monde entre agir et en parler à une jeune demoiselle à peine en âge de comprendre ce qu’était un pénis. « C’est toi, petite chose fraîchement éclose, qui m’avait demandé parce que TU voulais savoir, je me serais bien passé de ce discours ô combien gênant mais pourtant lucratif sur comment sont conçus les enfants. Toutefois, si tu veux savoir plus de choses, tu es plus âgée et … Je suis plus qu’enclin à t’en parler, si ça t’intéresse. » Tu lui répondais, un sourire aux lèvres, tandis que tu prenais une nouvelle gorgée de ton vin, en t’amusant des réactions de la jeune femme au sujet de la sexualité. Il fallait dire que c’était un pan de ta personnalité qu’elle ne connaissait pas auparavant, du fait que tu avais essayé d’être le père le plus exemplaire possible et en ce sens, ne pas lui montrer à quel point tu pouvais être débauché sur ce sujet. Après tout, l’idée n’était pas non plus de lui donner des idées à faire n’importe quoi. Vous étiez différents, en bien des points, et cela devait jouer énormément aussi. Toutefois, tu ne pouvais t’empêcher de ricaner doucement à ses mots. « Crois-moi, ma puce, je n’ai trouvé nulle personne de ce type, je n’en ai guère le besoin toutefois… Ça doit être agréable, d’avoir ce genre de personnes à ses côtés, et c’est parfois mieux, d’une certaine manière. Mais tout le monde est différent, Renarde, tout le monde n’a pas besoin des mêmes choses, c’est à toi de voir ce qui te conviendra le mieux. » Toi, c’était être totalement libre de tes faits et gestes et d’avec qui tu souhaitais coucher sans avoir à rendre de comptes à qui que ce soit. Peut-être qu’un jour tu te caserais avec quelqu’un, mais pour l’heure, ce n’était absolument pas dans la liste de tes priorités. C’était même quelque chose de très subsidiaire qui pouvait très bien attendre tes derniers jours pour que tu te penches sur la question. Aucun besoin de ce côté-là. Toutefois, tu t’étouffais quelque peu avec ton vin aux mots de la jeune femme avant de sourire doucement. « Pas ce type de protections, Renarde, mais... J’imagine que ça peut être utile aussi, contre une dragonne aussi farouche que tu sembles l’être. » Ton sourire se fait un peu plus malicieux alors que tu picores ci et là ce qui se trouve dans ton assiette, profitant des bienfaits de la nourriture sur ton corps quelque peu épuisé depuis quelques jours. Toutefois, tu souris doucement aux mots de la jeune femme, un sourire quelque peu fermé par les souvenirs qui t’assaillent du jour où tu avais sentis la cicatrice pour la première fois et que tu avais dû t’en occuper, à l’aveugle, sans savoir la profondeur ni même la grandeur de la marque, de même que tu n’étais pas un médecin, tu ne savais guère comment on pouvait s’occuper de ce genre de cicatrices ni même de plaies. Tu avais fait au mieux, et tu étais justement simplement content, bien qu’un peu triste, d’avoir réussi à faire de ton mieux. Toutefois, tu haussais doucement les épaules à sa question. « Je ne sais absolument pas comment ils font pour vous découvrir sous forme humaine, vraiment. Ils attendent sans nul doute une erreur de votre part, ou quelque chose, je ne sais vraiment pas. C’est un mystère sans nom. » Tu soufflais avant de prendre une bouchée de la viande qui avait marinée, laissant les saveurs de la viande remplir ton palais. Toutefois, les paroles suivantes de ta fille ont le don d’offrir un pincement à ton cœur alors que tu poses tes couverts tout en t’enfonçant un peu plus dans le siège. « Tu ne devrais pas t’inquiéter pour moi, Renarde, vraiment. Je ne sais comment les chasseurs font, vraiment, mais… Je pense qu’à Toussaint, tu es plus en sécurité, les chasseurs ne courent pas les rues, et s’il y a des sorceleurs, ils ne s’attaquent guère aux créatures pensantes. La vie est cruelle, mais je ne te l’apprends pas, n’est-ce pas ? Mais il faut que tu penses à toi et à ta survie, en faisant au mieux pour ne jamais faire d’erreurs ou leur donner l’occasion de lever l’épée sur toi. » Tu soupirais doucement, trouvant ce sort bien trop triste pour des créatures qui possédaient parfois bien plus d’humanité que les humains eux-mêmes.


Renarde Pâarvhus & Hashmàl Pâarvhus

CODAGE PAR AMATIS


Hashmàl Pâarvhus
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