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Renarde Pâarvhus
What is truth if not an illusion?
Renarde Pâarvhus
Race Race : Dragonne
Couronnes Couronnes : 29215
Messages Messages : 36
What is truth if not an illusion?
Jeu 11 Juil - 9:44

titre
ft. Hashmàl & Renarde



Time passes but family stays
Je peux enfin voir que mon très cher père comprend ce dont il tourne. La drogue... Un véritable fléau et quelle merde pour se retrouver malade comme un chien au réveil! Mais pire encore sont les gens qui en abusent et tentent de contraindre les autres à la consommation, surtout si ceux-ci ne savent ce dont il en retourne. Enfin, le passé est passé et, depuis, je suis très prudente de ce que les gens tentent de me lancer au visage, me faire inspirer ou avaler ou... glisser dans mon pantalon. J'avais éclaté le nez du con qui avait tenté de faire tomber de la poudre dans ma tenue de danse et tous avaient bien ris, prouvant que je dansais dans un endroit néfaste.

La route n'a pas été facile et j'ai perdu énormément de mon innocence quant au fait qu'une humaine est libre de voyager.

Je pique tranquillememnt dans mon assiette alors que mon père ne prend pas du tout comme je l'aurais souhaitée la nouvelle de ma possible débauche, j'aurais bien gonflée les joues mais ce serait gaspiller de la nourriture au final et ça, ce serait un crime bien pire que les poudres! Il semble enclin de vouloir parler mais je secoue doucement la tête en avalant ma bouchée et lui offre un sourire que je veux bien doux. « Je plaisante beaucoup, Père, mais je ne doute pas un instant que tu en sais atrocement plus que moi sur le sujet. J'en suis encore aux balbutiements et à faire comprendre à divers hommes que lorsqu'une femme dit non, ce peut être dangereux d'insister. Et oui, je plaisante bien sur les protections mais il est vrai que même humaine...» Je pose les doigts doucement sur la table et observe le visage de mon père alors que je fais un mouvement de va et vient du majeur contre ce bois poli. Au départ, le bruit est bien léger, un petit scritch scritch mais rapidement le mage pourra constater que je suis en train de creuser fort efficacement le bois de cette table, y laissant une trace bien propre avec un sourire. « Mais bon, je n'en suis ni là ni pensant forcément à cela. Je suis encore curieuse, on m'a dit sans cesse que la seconde fois est moins pire pour une femme mais avec le désastre de la première... et savoir que je suis bien plus forte que serait une humaine, il faudra un solide partenaire. En prime que si je mange bien, je suis increvable.» Je n'ai conscience du sous-entendu verreux de mes propres propos, bien entendu mais le mage pourra bien penser ce qu'il veut! Après avoir eue la chance de participer à un festin, j'avais dansée toute la nuit, buvant du vin est-est avec des gens, riant, captivant tous sans jamais tomber ni perdre équilibre (faux mais j'intégrais ces pas erronnés dans ma danse!). Le sujet revient par contre plus sérieux et je regarde mon bras tristement. Je suis heureuse de l'avoir mais parfois, la douleur est atroce. J'ai depuis longtemps questionnée si l'homme armuré avait été un sorceleur ou un tueur de dragon sans trouver la réponse et approcher un sorceleur... J'en frissonne un brin d'effroi. Ces gens sont des tueurs sans véritables âmes, n'est-ce pas?

Mais je connais alors une nouvelle déception alors que mon cher père me dit être peu avisé de ce qui permet aux gens de traquer les miens et j'hoche tristement la tête, buvant une gorgée de mon feu liquide avant de fermer la flasque. Je le regarde et sourit doucement, luttant contre les larmes qui me viennent de penser aux injustices de ce monde. J'hoche la tête mais le fait de ne pas être inquiète pour lui est contre-nature pour moi. Il a été là dans les meilleurs et les pires moments de ma vie. «Je vis selon ces principes, père, toujours. Et je veux bien croire que les sorceleurs ne tuent d'êtres pensants mais je ne suis entièrement d'accord. Je suis un monstre, selon les humains, après tout, et ce serait un honneur pour quiconque de me tuer et m'empailler.» mais je sens un sourire me venir, puis glousse doucement. «Cela dit, faire cela causera une pénurie de paille. Je fais un peu plus de huit mètres de long maintenant.» Sur ces mots, je recommence doucement à manger. Mon assiette est rapidement vide et je soupire, ce repas réchauffant autant mon corps que mon coeur et je souris au vieux mage.

«J'ai continuée les exercices de magie que tu m'as donné mais sans véritable résultat, je persiste par contre de les tenter. Et j'ai aussi un cadeau pour toi.» Je me lève doucement, laissant sur la table (Maintenant marquée par mes soins) et me dirige vers mon sac, fouillant celui-ci et en tirant mes vêtements de voyage sale jusqu'à trouver une cape lourde adaptée pour l'hiver (et feindre que le froid m'affecte). Je la déplie pour en tirer une écaille de la taille d'une main que je viens doucement poser sur la table. Malgré les mois depuis sa chute, celle-ci persistait de garder une chaleur plaisante, porteuse d'un brin de ma magie innée que je ne peux expulser. «Je pensais que ça pourrait te tenir au chaud les nuits d'hiver. Enfin...» Avec un sourire moqueur «Les nuits que tu ne trouves de compagnon nocturne pour te turlututer.»

(c) made by panic!attack

Renarde Pâarvhus
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Hashmàl Pâarvhus
the senses can be fooled, easily.
Hashmàl Pâarvhus
Race Race : Demi-elfe, demi-humain.
Habite à Habite à : Beauclair, mais navigue là où son métier l'emmène.
Couronnes Couronnes : 31576
Messages Messages : 109
Quelque chose à ajouter Quelque chose à ajouter : Welcome home my loving daughter - Page 7 Tumblr_osk7mxC9dM1qal0zgo2_250
the senses can be fooled, easily.
Jeu 11 Juil - 12:26




Welcome home, my loving daughter
No bird soars too high,
if he soars with his own wings.



☾☾ La drogue était quelque chose à laquelle tu avais été confronté, par le passé. Bien heureusement, pas en tant que victime, mais tu avais découvert les ravages et les bienfaits de la drogue. Si tu avais été, très tôt, confronté à l’alcool comme un élixir permettant de nombreuses surprises et de nombreuses choses positives sur toi… La drogue avait été un autre sujet sur lequel tu ne souhaitais pas forcément revenir par les années. Tu avais essayé le fisstech, jugeant que c’était probablement le plus simple à tester, celui qui avait probablement le moins d’addictif à long terme et qui t’attirait le plus, au moment où tu avais essayé. Toutefois, cela restait de la drogue et les effets que tu avais eu après ça, ça avait été probablement le pire. Des hallucinations, auditives comme visuelles, et l’impression terrible de ne jamais voir droit, de toujours voir flou, d’être constamment sur un bateau sur le point de chavirer de même que tu t’étais très vite retrouvé coincé dans des idées noires. Passée l’excitation du premier test, c’était très vite devenu quelque chose de difficile à gérer : les larmes, une psychose de paranoïa qui pointait le bout de son nez dès qu’un bruit était différent de l’habitude. Tout t’amenait à avoir peur de ton environnement quand tu avais pourtant veillé à ce que tout soit fait à la perfection. Depuis, tu n’avais pas touché à un seul gramme de cette petite chose, préférant en rester le plus loin possible, et encore plus quand tu voyais les effets sur d’autres. Toussaint était peut-être une contrée idyllique pour bien des gens mais il y avait des éléments qui étaient similaires, comme partout : les junkies traînaient toujours dans les ruelles sombres et les hommes mal intentionnés venaient toujours déposer de la drogue dans les choppes de bière de jeunes femmes et de jeunes hommes dans le simple but de pouvoir tirer le bas et avoir quelque chose sans un consentement qui était pourtant bien nécessaire. Il y avait de tout dans ce monde, et même si on était tenté de croire qu’il fallait de tout pour faire un monde, tu étais pourtant persuadé que l’on aurait pu se passer de ces gens-là qui étaient justement purement malsains. Toutefois, vous ne pouviez juste, tout simplement, pas les annihiler, ce n’était pas quelque chose d’éthique et chaque vie, d’une certaine valeur, méritait d’être jugée plutôt que d’être abattue de sang-froid. Néanmoins, il semblerait que tu n’aies pas tant à t’en faire pour ta jeune fille adoptive – bien que ça ne t’empêchera pas de t’inquiéter un minimum, comme tu l’as toujours fait – puisqu’elle semble bien au fait de ce qu’il se passe, et semble être fort capable de l’éviter. C’était parfait, d’une certaine manière.

Cependant, un sujet plus joyeux – pour toi, du moins – revient sur le sujet et ton sourire ne peut s’empêcher de s’agrandir quand tu vois les traits de son visage se mouvoir aux propos que tu peux proliférer avec une allégresse et une aisance presque singulière. Du moins, singulière pour quelqu’un qui ne te connaît pas intimement, du moins, qui ne connaît pas à quel point le sujet du sexe est quelque chose sur lequel tu es profondément libéré, avec le moins de tabous possibles, avec le moins de zones d’ombres probables. Ainsi, tu sais que si ta jeune fille espère te piéger ou t’embarrasser un peu sur ce sujet, il lui faudra bien plus que quelques palabres maladroites. Toutefois, tu lui accordes un sourire doux en retour du sien et de ses paroles. « Toute chose en son temps, Renarde. Et nous sommes différents, malgré tout. J’ai toujours été attiré par l’aspect sexuel des choses, ce n’est peut-être pas ton cas, ce n’est pas une norme ou quelque chose à laquelle tu dois t’accroché. » Tu souffles en premier lieu avant de prendre ton verre entre tes doigts et de faire remuer le vin qui est encore à l’intérieur, la robe pourpre glissant contre les rebords avec une allégresse palpable alors que tu t’apprêtais, là encore, à finir une bouteille avant même la fin de la journée. « Je ne sais pas si je te l’ai un jour dit, ma puce, mais ne te sens pas obligée d’être curieuse à propos de l’acte sexuel. Il n’y a aucun mal à ne pas l’être tout comme il n’y a aucun mal à l’être. Toutefois, sois toujours en accord avec ce que toi tu veux, et pas ce que les autres veulent, quitte à briser quelques nuques au passage. » Tu accordes un nouveau sourire à la demoiselle avant de prendre une nouvelle gorgée de ton vin, pour faire passer le goût un peu plus âpre de la viande et du ragout que tu as préparé. Toutefois, tes yeux sont bien vites attirés par le mouvement singulier que ta jeune fille exerce sur le bois de ta table. Tu aurais pu t’offusquer qu’elle l’entache ainsi, mais au fond, tu t’en fichais. Tu avais toujours été persuadé qu’il n’y avait rien de mieux que de voir tes meubles se modifier au fil du temps, par les gens, par les actes, par un petit rien qui donnait des souvenirs à un meuble imparfait qui était pourtant sans attaches, sans symbolique, sans souvenirs. C’était ça qui donnait de la substance à ce que l’on pouvait avoir, qui donnait une attache à du matériel : c’était les souvenirs, les petites marques, les petites aspérités qui se créaient avec le temps : une tâche de vin qui ne partait pas, une latte écartelée par un coup de poing trop brut, des marques de griffes contre le poids, le tissus qui s’effiloche avec le temps, des.. Petites choses qui donnent un grand tout et une valeur au rien. Toutefois, tu souris doucement aux propos de ta jeune fille, relevant légèrement ta tête alors que tu portes une main à tes cheveux, les glissant en arrière. « C’est comme ça que je t’ai élevé : pour que tu sois increvable, une véritable force de la nature. Bien que je suis bien au courant que mon éducation n’a rien à faire avec le fait que tu aies aussi puissante que cela, bien évidemment. » Tu rediriges ton regard sur ton repas, laissant ton verre de vin de côté pour quelques instants, le temps de picorer dans ton assiette, sans grande envie. Tu n’es pas un grand mangeur, étrangement, et la faim ne tiraille pas tes entrailles pour l’heure, elle est doucement présente, mais pas au point de donner cette envie, soudaine, d’avaler le contenu de ton garde-manger dans un mouvement éclair.

Le sujet retombe toutefois pour revenir à la cruelle réalité qui incombe la triste espèce de ta fille : elle est un monstre, au sens littéral du terme et non pas figuré. Et en ce sens, elle serait pourchassée tout sa vie pour la simple et bonne raison qu’elle était différente. Ce n’était même pas parce qu’elle avait accomplis de mauvaises actions, non, c’était tout simplement pour son existence et même toi, tu trouvais ça injuste, objectivement du fait qu’elle était ta fille adoptive. Tout ceci était purement et simplement injuste, sans aucune validité. Mais si le monde avait un jour décidé d’être juste, il n’y aura nul besoin d’étiquettes telles que celles qui étaient posées sur le front des monstres ou des marginaux en général. Il n’y aurait probablement pas de notion de normes ou de normalité, à ce stade, mais c’était ainsi. « Une triste vérité que leur motivation à tuer et empailler ce qui est différent d’eux, une constante avec leur brutalité parfois sans faille et leur bêtise incommensurable. Même face à un dragon de huit mètres, comme tu fais entendre ta taille, ils seraient capables de brandir l’épée, ces idiots. » L’être humain était capable d’une bêtise si grande qu’il était presque difficile de ne pas mourir de rire lorsque leurs histoires étaient contées par un barde quelconque qui avait trouvé amusant de faire usage de telle histoire pour mettre à mal l’espèce humaine. Oh, ce ne sont pas que les humains toutefois. Non, même les elfes et les nains peuvent être particulièrement enclins à la stupidité qui est pourtant une caractéristique très proéminente chez les humains, bien évidemment. Toutefois, c’est avec une certaine certitude que tu sais que les humains gagneront toujours la palme d’or de l’idiotie et de l’ineptie, rien qu’à voir leurs guerres de territoires et leurs palabres sans fin autour de telle ou telle croyance possédant plus de mérite alors qu’il n’en est rien. Tu esquisses un sourire à cette pensée avant d’observer ta jeune fille, repoussant ton assiette à moitié vide – pour cause que tu n’as pas très faim. Tu humes doucement lorsqu’elle t’apprend qu’elle a continué ses exercices de magie, bien qu’ils soient sans résultats probants, ce qui n’est pas totalement dénué de sens. Toutefois, tu hausses un sourcil lorsqu’elle t’annonce avoir un cadeau pour toi et tu penches légèrement la tête sur le côté quand elle pose une écaille gigantesque sur ta table. Tu fais alors lentement glisser le bout de ton index contre la texture rugueuse de l’écaille d’où s’échappe une certaine chaleur avant qu’un rire ne s’évade de tes lèvres aux mots prononcés par la rouquine. « C’est une très jolie écaille, ma puce. C’est une des tiennes ? » Tu laisses désormais ton pouce tester la surface et la texture de la chose, te rappelant quelques fins souvenirs de quand la jeune femme perdait encore quelques petites écailles, en fonction des saisons. « C’est un magnifique cadeau, et crois-mo que je vais en prendre plus que soin. » Tu relèves alors tes iris nébuleux vers elle, souriant comme si c’était la première fois que l’on t’avait véritablement fait un cadeau. Peut-être était-ce le cas, finalement ?


Renarde Pâarvhus & Hashmàl Pâarvhus

CODAGE PAR AMATIS


Hashmàl Pâarvhus
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Renarde Pâarvhus
What is truth if not an illusion?
Renarde Pâarvhus
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What is truth if not an illusion?
Jeu 11 Juil - 13:08

titre
ft. Hashmàl & Renarde



Time passes but family stays
Les yeux de mon père se font un peu distant et je connais cet air, le léger plissement de la base de son nez, il est en train de songer à quelque chose et, comme toujours, c'est là quelque chose de bien déplaisant. Parfois, je m'en veux de ne pas être la cause de chacun de ses sourires, de parfois lui rendre la vie plus difficile et le faire plonger dans ses souvenirs moins plaisant. Je le laisse trouver les mots qu'il veut dire, mangeant le contenu de mon assiette avec mon appétit coutumier malgré que je n'ai pas l'impression d'avoir faim, mon estomac légèrement noué par les souvenirs qui me sont aussi propres et déplaisant. Les cauchemars les premiers temps, les glapissements d'une renarde blessée qu'il avait prit dans ses bras avec douceur et qui avait été mordu maintes fois... Enfin. Je termine donc mon assiette, sachant que mon estomac était malgré tout vide et hoche la tête avec un sourire lorsqu'il me parle de la question de la sexualité. Pourquoi celle-ci le fait-elle autant sourire? Sans doutes parce que ce me fait rougir un peu à chaque fois, ressortant les petites taches de rousseur qui marquent le haut de mon nez ou simplement parce qu'il sait que je suis en train de tenter de l'embarasser. Je m'ennuie souvent de nos joutes verbales, Hashmàl, et je sais que je vais perdre celle-ci magnifiquement mais tu me montres combien tu m'aimes par tes mots qui me font encore fondre un peu. Dieu, dire que je t'ai presque embroché avec mon épée! (je dois d'ailleurs m'assurer ne l'avoir émoussée par-terre). «Je ne me force pas, Hashmàl, et je ne vais pas me laisser forcer. J'ai entendue parler que c'était parfois plus facile de laisser faire, que c'est moins pénible et que tout se passe rapidement mais c'est pas comme je le suis. Et je suis curieuse, mine de rien, il y a des différence entre mon cycle et celui des humains et elfes. Mais je ne veux pas être maman.» un brin d'ombre passe dans mes yeux «Bien que je ne peux pas faire pire que la mienne, je suppose. J'ai encore beaucoup à apprendre sur moi-même et les dragons avant de pouvoir songer élever mes oeufs. Et il faut un partenaire.»

Je souris et hoche la tête, le fait que je suis une boule vibrante d'énergie est un fait bien réel de ce monde, je l'ai rendu chèvre (miam, de la chèvre... (sauf les cornes)) avec cette énergie, les blagues que je me rends compte avec recul pouvaient être cruelles envers quelqu'un qui est dépourvu de vision (comme inverser certaines tenues qu'il gardait prêtes (les horreurs et les sourires des gens qui l'ont vue avec ces ensembles dépareillés...)). «Oh, je ne suis pas puissante et j'avoue craindre de pratiquer mes trucs draconiques car je dois le faire seule.». Vient avec cela un nouvel assombrissement de l'humeur quant au fait que les gens... sont idiots. Je n'ai que peu à rajouter sur ce sujet, la peur est là, encore mais je ne veux plus m'y attarder aussi j'enchaine avec ce cadeau. Il demande une question mais je crois que mon sourire est on ne peut plus clair alors que j'hoche la tête. Avec le temps, les mues se font de plus en plus rares et celle-ci est une des plus grosses que j'ai perdue. Je regarde et note le rouge, or et blanc de celle-ci, un motif bien joli malgré tout alors que je tente de faire fausse modestie en voyant combien celle-ci le rend joyeux. Avoir su que ça en prennait si peu!

Je baisse les yeux et fronce un peu les sourcils en voyant qu'il n'a terminé son assiette et, pour éviter une perte, je tire celle-ci vers moi et l'attaque avec appétit. La nourriture faite par un père pour son enfant est toujours un véritable festin mais avec ceci... «Je pourrais prendre un bain, père?» est la question une fois que je repousse l'assiette après m'être franchement empiffrée.

Quoi, je suis encore en train de grandir! je veux atteindre mon neuf mètres!

«Merci pour le repas» est la formule de politesse lorsque ce dernier se lève et me guide, je prend au passage mon sac et le suit jusqu'à une salle d'eau et je regarde autour pour des seau et, devant ma confusion, je le vois sourire et me présenter des fioles qui produisent de l'eau chaude. Ne pensez pas que je suis petite nature, je me lave régulièrement dans les ruisseaux et l'eau froide ne me dérange pas mais ceci... Je le remercie et emplie la bassine d'une eau bien chaude, tirant mon reste de savon pour me laver en fredonnant joyeusement. Bonté divine!

Le bain est par contre rapide... il reste encore tant de choses à discuter avec mon père, tant de choses à rattrapper! Je termine le bain et m'éponge avec un soupire avant de fouiller mon sac pour ma tenue de danse. Une magnifique robe bleu-verte qui fait ressortir mes yeux et mes cheveux mais, le plus important... un petit pantalon, très discret et moulant pour cacher ce que je ne veux pas montrer au monde. Oh, je ne compte pas le nombre d'hommes qui ont vu ma culotte, c'était une blague au village que je laissais les jeunes garçon voir celle-ci en échange de friandises mais depuis (ou plutôt pour cela) Hashmàl m'a fait comprendre la pudeur des humains et le tabou de la situation. Je sors donc de la pièce, laissant la bassine emplie (je n'ai demandée comment la vider et je ne veux briser les trucs de mon père (cette fois)), j'hume l'air avec un brin de maîtrise pour trouver le parfum du mage demi-elfe... et je capte l'odeur de son vin. Je descend donc, limier de chasse jusqu'à trouver la porte que je sens qu'il a emprunté, trahi par l'ouverture de celle-ci, je découvre la bibliothèque de mon père et ouvre de grands yeux.

«Bon dieu, tu as encore aggrandie celle-ci!»

Mes pas avaient été silencieux, mes pieds nus, j'observe les lieux avant de sourire au vieux mage et m'avance, suivant le rythme d'une musique que je pense. 1-2-3-4... J'arrive devant lui et tourne sur moi-même, ma robe remontant avec soin sur mes jambes, donnant l'illusion de ne rien porter dessous avant de faire face à ce dernier.

«Elle me va bien, n'est-ce pas? Alors, sur quoi travailles-tu cette fois?»

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Renarde Pâarvhus
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Jeu 11 Juil - 13:13
Renarde Pâarvhus a écrit:

Welcome home my loving daughter
ft. Hashmàl & Renarde



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Les yeux de mon père se font un peu distant et je connais cet air, le léger plissement de la base de son nez, il est en train de songer à quelque chose et, comme toujours, c'est là quelque chose de bien déplaisant. Parfois, je m'en veux de ne pas être la cause de chacun de ses sourires, de parfois lui rendre la vie plus difficile et le faire plonger dans ses souvenirs moins plaisant. Je le laisse trouver les mots qu'il veut dire, mangeant le contenu de mon assiette avec mon appétit coutumier malgré que je n'ai pas l'impression d'avoir faim, mon estomac légèrement noué par les souvenirs qui me sont aussi propres et déplaisant. Les cauchemars les premiers temps, les glapissements d'une renarde blessée qu'il avait prit dans ses bras avec douceur et qui avait été mordu maintes fois... Enfin. Je termine donc mon assiette, sachant que mon estomac était malgré tout vide et hoche la tête avec un sourire lorsqu'il me parle de la question de la sexualité. Pourquoi celle-ci le fait-elle autant sourire? Sans doutes parce que ce me fait rougir un peu à chaque fois, ressortant les petites taches de rousseur qui marquent le haut de mon nez ou simplement parce qu'il sait que je suis en train de tenter de l'embarasser. Je m'ennuie souvent de nos joutes verbales, Hashmàl, et je sais que je vais perdre celle-ci magnifiquement mais tu me montres combien tu m'aimes par tes mots qui me font encore fondre un peu. Dieu, dire que je t'ai presque embroché avec mon épée! (je dois d'ailleurs m'assurer ne l'avoir émoussée par-terre). «Je ne me force pas, Hashmàl, et je ne vais pas me laisser forcer. J'ai entendue parler que c'était parfois plus facile de laisser faire, que c'est moins pénible et que tout se passe rapidement mais c'est pas comme je le suis. Et je suis curieuse, mine de rien, il y a des différence entre mon cycle et celui des humains et elfes. Mais je ne veux pas être maman.» un brin d'ombre passe dans mes yeux «Bien que je ne peux pas faire pire que la mienne, je suppose. J'ai encore beaucoup à apprendre sur moi-même et les dragons avant de pouvoir songer élever mes oeufs. Et il faut un partenaire.»

Je souris et hoche la tête, le fait que je suis une boule vibrante d'énergie est un fait bien réel de ce monde, je l'ai rendu chèvre (miam, de la chèvre... (sauf les cornes)) avec cette énergie, les blagues que je me rends compte avec recul pouvaient être cruelles envers quelqu'un qui est dépourvu de vision (comme inverser certaines tenues qu'il gardait prêtes (les horreurs et les sourires des gens qui l'ont vue avec ces ensembles dépareillés...)). «Oh, je ne suis pas puissante et j'avoue craindre de pratiquer mes trucs draconiques car je dois le faire seule.». Vient avec cela un nouvel assombrissement de l'humeur quant au fait que les gens... sont idiots. Je n'ai que peu à rajouter sur ce sujet, la peur est là, encore mais je ne veux plus m'y attarder aussi j'enchaine avec ce cadeau. Il demande une question mais je crois que mon sourire est on ne peut plus clair alors que j'hoche la tête. Avec le temps, les mues se font de plus en plus rares et celle-ci est une des plus grosses que j'ai perdue. Je regarde et note le rouge, or et blanc de celle-ci, un motif bien joli malgré tout alors que je tente de faire fausse modestie en voyant combien celle-ci le rend joyeux. Avoir su que ça en prennait si peu!

Je baisse les yeux et fronce un peu les sourcils en voyant qu'il n'a terminé son assiette et, pour éviter une perte, je tire celle-ci vers moi et l'attaque avec appétit. La nourriture faite par un père pour son enfant est toujours un véritable festin mais avec ceci... «Je pourrais prendre un bain, père?» est la question une fois que je repousse l'assiette après m'être franchement empiffrée.

Quoi, je suis encore en train de grandir! je veux atteindre mon neuf mètres!

«Merci pour le repas» est la formule de politesse lorsque ce dernier se lève et me guide, je prend au passage mon sac et le suit jusqu'à une salle d'eau et je regarde autour pour des seau et, devant ma confusion, je le vois sourire et me présenter des fioles qui produisent de l'eau chaude. Ne pensez pas que je suis petite nature, je me lave régulièrement dans les ruisseaux et l'eau froide ne me dérange pas mais ceci... Je le remercie et emplie la bassine d'une eau bien chaude, tirant mon reste de savon pour me laver en fredonnant joyeusement. Bonté divine!

Le bain est par contre rapide... il reste encore tant de choses à discuter avec mon père, tant de choses à rattrapper! Je termine le bain et m'éponge avec un soupire avant de fouiller mon sac pour ma tenue de danse. Une magnifique robe bleu-verte qui fait ressortir mes yeux et mes cheveux mais, le plus important... un petit pantalon, très discret et moulant pour cacher ce que je ne veux pas montrer au monde. Oh, je ne compte pas le nombre d'hommes qui ont vu ma culotte, c'était une blague au village que je laissais les jeunes garçon voir celle-ci en échange de friandises mais depuis (ou plutôt pour cela) Hashmàl m'a fait comprendre la pudeur des humains et le tabou de la situation. Je sors donc de la pièce, laissant la bassine emplie (je n'ai demandée comment la vider et je ne veux briser les trucs de mon père (cette fois)), j'hume l'air avec un brin de maîtrise pour trouver le parfum du mage demi-elfe... et je capte l'odeur de son vin. Je cherche donc, limier de chasse jusqu'à trouver la porte que je sens qu'il a emprunté, trahi par l'ouverture de celle-ci, je découvre la bibliothèque de mon père et ouvre de grands yeux.

«Bon dieu, tu as encore aggrandie celle-ci!»

Mes pas avaient été silencieux, mes pieds nus, j'observe les lieux avant de sourire au vieux mage et m'avance, suivant le rythme d'une musique que je pense. 1-2-3-4... J'arrive devant lui et tourne sur moi-même, ma robe remontant avec soin sur mes jambes, donnant l'illusion de ne rien porter dessous avant de faire face à ce dernier.

«Elle me va bien, n'est-ce pas? Alors, sur quoi travailles-tu cette fois?»

(c) made by panic!attack

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Ven 12 Juil - 14:06




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No bird soars too high,
if he soars with his own wings.



☾☾ Tu savais que tu avais failli à bien des choses dans l’éducation de la jeune femme, pour la simple et bonne raison que tu n’avais pas la fibre paternelle naturellement. Tu étais même bien loin d’être un bon père, tu étais bien loin d’avoir eu une éducation exemplaire, mais si tu pouvais rectifier certains tirs que tu n’avais pas jugé bon de préciser par le passé, tu le faisais. Tout comme tu essayais, peut-être inconsciemment, de lui dire à quel point tu tenais à elle et à quel point tu faisais attention à elle malgré tout, en lui rappelant ô combien elle devait faire attention à elle et être sûre de ce qu’elle pouvait faire et ne pas faire, que, dans tous les cas, la décision devait être la sienne, surtout lorsqu’il était question de sexualité. Ce dernier sujet était particulièrement vaste et même toi, avec ta sexualité débridée, tu avais encore des zones d’ombres, mais il était important qu’elle sache que la curiosité n’était pas obligatoire, qu’elle ne devait pas se forcer. Tu lui avais expliqué bien des choses par le passé à ce sujet, mais tu n’avais jamais jugé bon de lui dire qu’il n’y avait pas de mal à ne pas tomber amoureux, qu’il n’y avait pas de mal à ne pas être attiré par le sexe. Tu voulais qu’elle sache qu’il n’y avait pas de mal à ça, et que ça ne faisait pas d’elle un monstre au sens figuré du terme, que ça ne faisait pas d’elle une créature de foire que l’on exhibait comme un clown. Non, ça ne la changeait pas, ce n’était pas un problème, c’était un choix – ou non – et c’était simplement elle. Ca ne la changeait pas, ça ne la dénaturait pas, bien au contraire. Elle restait authentique et tu voulais qu’elle le sache, vraiment. Tu souriais alors doucement à ses mots, ravi de savoir qu’elle ne se forçait aucunement. Et elle ne voulait pas être maman. Tu ne pouvais pas la blâmer. Tu n’avais pas souhaité de famille non plus, auparavant, avant de trouver Renarde et de t’improviser père, mais c’était différent. « Se laisser porter par les choses, c’est effectivement plus simple, quand on a le luxe d’avoir l’esprit libre de tout conflit, ce qui, à mon sens, est loin d’être ton cas, encore plus avec ta nature. Et je comprends que tu ne veuilles pas être maman. Ce serait mal venu de ma part d’essayer de te convaincre que tu changeras peut-être d’avis plus tard, parce que tout dépend de toi et de tes envies. » Tu souriais à nouveau, essayant vraiment de ne pas pousser ta fille à réfléchir à cette décision. Tu n’allais pas être cet homme moralisateur qui pensait véritablement que le temps pouvait changer les décisions. Non. Tu ne le pensais pas, qui plus est. Dans ton cas, tu avais changé d’avis pour la simple et bonne raison que tu t’étais attachée à cette jeune petite puce et qu’il était hors de question de l’abandonner. « C’est pas faux oui. Tu as encore le temps, largement, pour penser à cette perspective. Tu es jeune. Dans tous les cas, ne pas vouloir d’enfants n’est pas un mal, tu sais. Cela ne fera pas de toi une mauvaise femme, même si certains le pensent. » Et c’était vrai. Combien d’hommes avais-tu entendu grogner contre leur aimée parce qu’elle ne voulait pas d’enfants ? Ou combien qui avaient décidés de quitter leur compagne pour cette même raison ? Bien trop. Tu espérais que les mentalités allaient évoluées avec le temps, mais rien n’était moins sûr.

Un léger rire éclaire ta gorge aux mots de ta jeune fille quand elle parle de ses trucs draconiques qu’elle doit exercer seul, te rappelant, toutefois, une des tares d’être un elfe et ne pas être un dragon. Tu ne pouvais pas lui apprendre ce genre de choses, tu n’étais pas compétent en ce domaine et tu ne le serais jamais, même avec toute la volonté du monde. Il y avait des choses qui t’échappaient pour cause de ta propre nature, mais tu ne pouvais guère faire grand-chose contre ça si ce n’est essayer de te renseigner au mieux sur le sujet. Ce que tu avais fait, une fois la vue recouvrée mais… Malgré ça, les livres étaient rares, les informations étaient minimes et c’était parfois terriblement faux, par rapport à ce que tu avais pu constater au fil des années avec Renarde à tes côtés. Ce n’était pas toujours des écrits faits par des sorceleurs mais parfois par des gens qui avaient juste le bonheur – ou le malheur, pour certains – de croiser le chemin d’un dragon et ainsi… Les textes étaient biaisés par l’expérience de celui qui l’avait vécu, donnant à voir des torchons d’inepties que tu avais eu tôt fait de jeter parce que tout ceci ne représentait en rien la race que tu avais côtoyée pendant cela des années, te donnant ainsi une connaissance malgré tout vague au sujet de ceux-ci. Ta connaissance n’était peut-être pas pharamineuse, mais tu en savais suffisamment pour pouvoir dégager une ineptie d’une autre, pour pouvoir déduire que ceci était stupide et ceci était totalement peu cohérent. Tu relevais cependant les yeux vers la jeune femme, après qu’elle ait engloutie la totalité de ce qu’il restait dans ton assiette, lui adressant un sourire des plus doux. « Bien évidemment. La question ne se pose même pas. » Sur ces mots, tu ne tardes pas à la conduire dans la salle d’eau au second étage car même s’il s’agit de ta fille, tu ne partages pas ta salle d’eau au premier, d’autant plus que certains objets ne sont pas rangés et que tu préférais vraiment qu’elle ne tombe pas dessus. Vraiment. Ainsi, tu préfères la guider à celle du deuxième étage qui est tout aussi bien équipée et qui possède les mêmes ustensiles pour la toilette et non pas ton débarras de produit d’esthétique que tu sembles acheter à tout va dans le simple but d’affiner ton âge de temps à autres ou pour prendre soin de tes cheveux. Tu la laisses alors dans la pièce avant de redescendre au premier étage, ouvrant la porte de la bibliothèque pour t’y glisser, Ubis ne tardant pas à être à ta suite pour aller se poser sur un énorme coussin moelleux déposé au pied d’un divan.

Tu décides même, après quelques secondes de réflexion, de prendre le livre de poésie que tu as laissé entamé avant l’arrivée de la jeune femme, avant de t’installer dans un fauteuil, réajustant au passage une bougie afin que la lumière ne vacille pas ainsi qu’une paire de petites lunettes que tu déposes sur ton nez afin de pouvoir lire correctement. Tu ne tardes donc pas à te perdre entre les mots et les syllabes du poète Ophiri que tu as appris à aimer au fil des années, trouvant sa poétique des plus lyriques tandis que ses métaphores font des envolées magistrales au paradis du cosmos. Toutefois, ton attention est très vite coupée par l’arrivée de la jeune femme et son exclamation au sujet de ta nouvelle bibliothèque. Tu déposas alors un marque page dans l’ouvrage avant de le déposer sur la petite table qui est à ta droite. « C’est exact oui. Tu connais mon amour pour les livres, ma puce, j’ai pas pu m’en empêcher. » Avec l’apparition, certes surprise, de Sethi non loin, tes yeux s’adaptent à la couleur et tu ne peux t’empêcher de remarquer la jolie robe que ta jeune fille porte et tu esquisses un nouveau sourire, ton coude se posant contre l’accoudoir du siège, ta main retenant ton visage tandis que tu l’observes faire des pirouettes. Tu ne t’imaginais pas pouvoir la voir, il y a de ça des années, et maintenant… Elle est belle et bien là, sous tes yeux, et c’est terriblement singulier en même temps d’être familier à souhait. Un sentiment d’être à ta place, mine de rien, qui n’était pas revenu depuis son départ de la maison, sans un mot si ce n’est une lettre que tu n’avais pu lire qu’il y a de ça des années. « Elle te va à ravir. La couleur est parfaite pour tes yeux et tes cheveux et la coupe est terriblement parfaite pour ta morphologie. Tu n’aurais probablement pas pu choisir mieux, vraiment. » Tu humes doucement alors que Sethi grimpe le long de ta jambe pour venir se caler, finalement, autour de ton cou, sans serrer, se laissant juste prélasser, sa tête reposant mollement contre ton épaule. « Figure toi que je ne travaille sur rien, pour l’heure. Je profite du retour de ma vue pour pouvoir enfin dévorer tous les ouvrages de poésie que je n’ai pas eu le loisir de lire par le passé. » Et pour appuyer ton propos, tu déposes ta main libre sur l’ouvrage, le tapotant du bout des doigts avant de reposer tes yeux sur la jeune femme, un petit sourire sur les lèvres. « Alors ? Cette danse ? »



Renarde Pâarvhus & Hashmàl Pâarvhus

CODAGE PAR AMATIS

Hashmàl Pâarvhus
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